Culture La Junta reporte le processus de paiement de huit euros pour accéder à Medina Azahara après l’été par María Fernanda González 10 juillet 2024 86 L’augmentation du coût d’entrée des musées et sites archéologiques andalous prévue avant l’été Le conseiller du Tourisme et de la Culture, Arturo Bernal, a annoncé que le Conseil de gouvernement de la Junta de Andalucía approuverait avant l’été un dossier permettant aux principaux musées et sites archéologiques andalous d’augmenter le coût d’entrée pour les visiteurs. Le cas le plus notable était celui de Medina Azahara, où les touristes devraient maintenant payer huit euros. Actuellement, les visiteurs de l’Union européenne n’ont rien à payer pour y accéder. Le gouvernement andalou entre en mode vacances à partir de la fin du mois. Pendant cette période, l’approbation du dossier sur les frais d’entrée n’est pas prévue, qui fixait plusieurs niveaux en fonction de l’importance du musée ou du site archéologique. La proposition, défendue par le président de la Junta, Juanma Moreno, a suscité une importante contestation de la part du secteur. Selon ce qui a été rapporté par le Diario de Sevilla et confirmé par ce journal, le gouvernement andalou a décidé de repenser un projet sur lequel il travaille depuis la législature précédente. À l’époque déjà, il avait été proposé de faire payer l’accès à ces espaces culturels, sous prétexte que ce sont les visiteurs qui doivent financer leur entretien et leur garde. Le conseiller Arturo Bernal a été chargé de préciser la proposition, de concevoir un changement de réglementation et même d’élaborer une mémoire économique et financière sur le coût des billets et les recettes prévues. La politique actuelle de gratuité des espaces culturels appartenant à la région remonte à 1989 et n’a été révisée qu’en 2001, lorsque les prix en anciennes pesetas ont été convertis en euros. À ce moment-là, il a été décidé que les visiteurs non ressortissants de l’Union européenne devraient payer 1,5 euro pour visiter n’importe quel lieu de ce type, à l’exception de la synagogue de Cordoue, où le tarif est de 0,30 euro pour ces touristes. La proposition actuelle prévoit que tout le monde devrait payer huit euros pour visiter Medina Azahara, même si certaines réductions sont prévues pour les retraités, les chômeurs ou les étudiants. La mémoire, qui pour l’instant n’est qu’un projet, indique qu’il faut payer huit euros pour visiter Medina Azahara, cinq euros pour entrer dans les musées archéologique ou des Beaux-Arts, et trois euros pour accéder à la synagogue ou au château de Belalcázar. Pour l’instant, on ne sait pas encore comment sera la nouvelle réglementation, mais on sait que la proposition actuelle est suspendue jusqu’à nouvel ordre. L’objectif est de repenser la mesure après les vacances d’été. D’autre part, les sources consultées indiquent que le paiement des billets n’est pas immédiat, mais qu’il faudra un long processus, car il faudra modifier la réglementation qui régit les principaux musées et monuments d’Andalousie, pratiquement un par un, en plus du processus de validation du dossier. Votre collaboration est très importante en ce moment où l’exercice du journalisme est menacé. Devenez membre ici, faites un don à Cordópolis et ensemble, nous réussirons grâce à votre soutien à avoir une société cordouane plus libre et mieux informée. source : Cordópolis – La Junta aplaza hasta después del verano el trámite para cobrar ocho euros por entrar en Medina Azahara 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María, globe-trotteuse passionnée de Córdoba et de journalisme, a parcouru le monde entier, explorant Córdoba et dévoilant des histoires qui relient les gens à leur patrimoine. Des rues historiques de l'Andalousie aux villes dynamiques du monde entier, elle s'est immergée dans diverses cultures, développant une profonde compréhension de la région et de ses habitants. Maîtrisant le français, Megan allie ses compétences linguistiques et son expertise journalistique pour raconter des histoires captivantes et mettre en lumière l'essence unique de chaque lieu qu'elle visite. Son dévouement à la narration garantit que la riche culture et les traditions de Córdoba et au-delà sont partagées avec un public mondial. entrée prédédente Almuzara décortique le cinéma d’épouvante : de la projection des ombres du XVIIIème siècle au ‘terreur élevée’ entrée suivante Fêtes, suicide, tablaos et restaurations : l’histoire de la guitare de Julio Romero de Torres A lire aussi Journées Cervantines à Castro del Río par la... 7 novembre 2024 Court-métrage sur l’Alzheimer à Pozoblanco au Memorables Festival 7 novembre 2024 Exposition ‘Donde habita el agua’ de Francisco Escalera 7 novembre 2024 Concert à Madrid pour les victimes de la... 7 novembre 2024 Concert à Madrid pour les victimes de la... 7 novembre 2024 Sara Soler : Illustration en direct chez Crash... 7 novembre 2024 Margaret Atwood : Peur d’une présidente femme et... 7 novembre 2024 Alcalá Norte : L’héritage de The Cure et... 7 novembre 2024 Sergey Belyavsky : Dualisme guerre et paix au... 7 novembre 2024 Cinéma24 : Hommage à Manolo Bellido et Marisol... 7 novembre 2024