Partager 0FacebookTwitterPinterestEmail 123 Mayte Martín: La Diosa de la Musique Hispanique Mayte Martín est une artiste espagnole hors du commun. Sa musique, un mélange de bolero, tango et copla, est empreinte d’une grande sensibilité et d’une voix envoûtante. Ce jeudi 14 mars 2024, elle a présenté son dernier album, intitulé Tatuajes, au Théâtre de la Maestranza, devant un public conquis. Une soirée intimiste et envoûtante Accompagnée par le pianiste Nelsa Baró, le contrebassiste Guillermo Prats et le batteur Vicens Soler, Mayte Martín nous a offert une soirée pleine d’émotions. La sobriété de la mise en scène, la légèreté des arrangements et la compacité du groupe ont laissé toute la place à sa voix, qui s’est faite maîtresse des lieux. Martín a choisi de présenter son répertoire de manière dépouillée, en mettant l’accent sur ses textes purs et délicats. Elle utilise fréquemment l’a cappella, un choix artistique qui lui permet de dévoiler toute l’ampleur de sa voix et de toucher directement notre cœur. Sa technique de chant impeccable, associée à une interprétation authentique, est un véritable hommage à la musique hispanique. Tatuajes : un album qui célèbre les classiques Le dernier album de Mayte Martín, sorti il y a peu, est un recueil de grands classiques de la musique espagnole et latino-américaine. Avec des reprises de chansons célèbres telles que Te recuerdo Amanda, El breve espacio en que no estás ou encore Lucía, Martín rend hommage aux auteurs qui ont façonné son style musical. Un mariage réussi entre la guitare et le chant Considérée comme une des plus grandes voix du flamenco, Mayte Martín ne cède pas à la tentation de « flamenciser » ses chansons. Au contraire, elle les traite comme des miniatures, en y apportant une touche personnelle et subtile. Sa voix cristalline, alliée à la simplicité des arrangements, donne une nouvelle dimension à ces chansons intemporelles. Un héritage musical transmis de génération en génération Mayte Martín est une des héritières d’une longue tradition de musiciens talentueux. Avec son premier album, Free Boleros, où elle était accompagnée par le célèbre pianiste Tete Montoliu, elle a marqué les esprits et a instauré son style unique. Tatuajes, son dernier album, est la continuité de ce premier opus et dévoile tout le talent de cette artiste complète. Vous pourriez être interessé par Gala solidaire à Cordoue : l’art du flamenco au service des enfants 1 juin 2025 Córdoba et les restaurants du monde : ce que le palmarès 2025 révèle aux gourmets curieux 20 juin 2025 La déesse de la musique hispanique Mayte Martín est considérée comme l’une des meilleures interprètes des trois styles musicaux qui caractérisent la musique hispanique : le bolero, le tango et la copla. Sa voix puissante et sa capacité à transmettre des émotions en font une artiste inimitable. Sa performance au Théâtre de la Maestranza a confirmé sa place de déesse de la musique hispanique. Une soirée mémorable, mais une pointe de folie aurait apporté plus de magie Malgré une soirée inoubliable, certains regrettent toutefois qu’il n’y ait pas eu plus de prise de risque dans l’interprétation des chansons. Martín a privilégié une exécution fidèle à l’album, ce qui a empêché une totale révélation des secrets de ces chansons intemporelles. Toutefois, des moments d’émotions intenses ont été partagés avec le public, notamment sur la chanson Procuro Olvidarte, qui a été l’un des points forts de la soirée. Un spectacle dans la complicité et la beauté Malgré tout, Mayte Martín a su créer une complicité forte avec son public et ses musiciens. Cette ambiance conviviale a permis une immersion totale dans son univers musical. Un spectacle où la beauté des voix et la qualité des musiciens ont transporté le public dans une atmosphère à la fois mélancolique et envoûtante. En résumé, la soirée Tatuajes fut un véritable voyage dans l’univers musical de Mayte Martín, une artiste passionnée et talentueuse qui nous a fait partager sa vision de la musique hispanique. Un spectacle à la fois intime et grandiose, qui a régalé les oreilles et touché les cœurs de tous les spectateurs présents. source : El Día de Córdoba – Intimidad sin secretos« Partager 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente L’exposition du 2ème Festival International de l’Aquarelle se déroule dans le Patio Baroque du Palais de la Merced entrée suivante Reconnecter ce qui était ensemble A lire aussi Pourquoi tout le monde s’arrête ici: le Marathon... 8 octobre 2025 Vu de l’intérieur : Jardín Alhambra a fait... 6 octobre 2025 Vu de l’intérieur: comment un soir à La... 5 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais entendu ainsi: El Kanka... 4 octobre 2025 Vu de l’intérieur: comment El Kanka et Beret... 4 octobre 2025 Le détail oublié qui change tout: les ‘Noches... 4 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué : ce week‑end,... 3 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué: 12 bourses de... 29 septembre 2025 Bad Bunny au Super Bowl 2026 : voilà... 29 septembre 2025 Vu de l’intérieur: Ana Belén fait bouillir l’asphalte... 28 septembre 2025