Imanol Arias s’ouvre à Boris Izaguirre: ses opinions sur l’amnistie et ses démêlés avec le fisc

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Imanol Arias, en pleine actualité avec la première de la dernière saison de ‘Cuéntame cómo pasó’, s’est converti ce week-end en l’un des protagonistes de ‘Más vale sábado’. L’acteur, également engagé dans le théâtre avec le retour de la pièce ‘Muerte de un viajante’, a discuté avec Boris Izaguirre de sa carrière professionnelle ainsi que de divers sujets d’actualité politique et sociale. En particulier, l’animateur a demandé à son invité son avis sur l’amnistie, un sujet sur lequel il s’est montré catégorique. « J’ai vécu deux amnisties. Celle de 1977, qui a pardonné certains plus que d’autres, et j’ai également vécu l’amnistie fiscale », a commencé Arias avant de partager son opinion : « Je pense qu’elle doit avoir une motivation et essayer de l’expliquer ». « Les gens qui la soutiennent doivent bien l’expliquer. Et les gens qui ne la soutiennent pas doivent également l’expliquer », a défendu l’acteur sur cette question : « Je ne sais pas s’il s’agit tant de pardonner ». « Il faut qu’il y ait beaucoup d’engagements pour que, si quelque chose se termine, ce qui commence ait une autre espérance », a-t-il assuré.

Imanol Arias n’a pas hésité à répondre aux questions d’Izaguirre sur ses problèmes avec Trésorerie après avoir été accusé en 2017 d’avoir fraudé trois millions d’euros au fisc. « Trois millions est le montant résultant de toutes les amendes », a-t-il souligné : « Mon problème n’était pas un problème de dissimulation d’argent, même si au départ on le pensait. Je payais mes impôts avec une formule qui, apparemment, ne m’était pas attribuée ». « Ce que j’ai fait, c’est payer cette somme en amendes, j’ai réparé les dommages que j’ai causés. Je ne me considère pas coupable, mais responsable », a reconnu Arias, et a rappelé pour sa part qu’il n’était pas « le seul » dans cette situation. « Mais avoir une moustache et travailler 20 ans avec une blonde attire beaucoup l’attention », a-t-il lancé en faisant référence à son travail dans ‘Cuéntame’: « Il y a la moitié de la profession qui est ainsi ».

De plus, même s’il a reconnu que cet épisode a pu influencer son image publique, il a avoué que c’était quelque chose à quoi il n’accordait pas « une grande importance ».
source : Diario Córdoba

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