181 Imanol Arias, en pleine actualité avec la première de la dernière saison de ‘Cuéntame cómo pasó’, s’est converti ce week-end en l’un des protagonistes de ‘Más vale sábado’. L’acteur, également engagé dans le théâtre avec le retour de la pièce ‘Muerte de un viajante’, a discuté avec Boris Izaguirre de sa carrière professionnelle ainsi que de divers sujets d’actualité politique et sociale. En particulier, l’animateur a demandé à son invité son avis sur l’amnistie, un sujet sur lequel il s’est montré catégorique. « J’ai vécu deux amnisties. Celle de 1977, qui a pardonné certains plus que d’autres, et j’ai également vécu l’amnistie fiscale », a commencé Arias avant de partager son opinion : « Je pense qu’elle doit avoir une motivation et essayer de l’expliquer ». « Les gens qui la soutiennent doivent bien l’expliquer. Et les gens qui ne la soutiennent pas doivent également l’expliquer », a défendu l’acteur sur cette question : « Je ne sais pas s’il s’agit tant de pardonner ». « Il faut qu’il y ait beaucoup d’engagements pour que, si quelque chose se termine, ce qui commence ait une autre espérance », a-t-il assuré. Imanol Arias n’a pas hésité à répondre aux questions d’Izaguirre sur ses problèmes avec Trésorerie après avoir été accusé en 2017 d’avoir fraudé trois millions d’euros au fisc. « Trois millions est le montant résultant de toutes les amendes », a-t-il souligné : « Mon problème n’était pas un problème de dissimulation d’argent, même si au départ on le pensait. Je payais mes impôts avec une formule qui, apparemment, ne m’était pas attribuée ». « Ce que j’ai fait, c’est payer cette somme en amendes, j’ai réparé les dommages que j’ai causés. Je ne me considère pas coupable, mais responsable », a reconnu Arias, et a rappelé pour sa part qu’il n’était pas « le seul » dans cette situation. « Mais avoir une moustache et travailler 20 ans avec une blonde attire beaucoup l’attention », a-t-il lancé en faisant référence à son travail dans ‘Cuéntame’: « Il y a la moitié de la profession qui est ainsi ». De plus, même s’il a reconnu que cet épisode a pu influencer son image publique, il a avoué que c’était quelque chose à quoi il n’accordait pas « une grande importance ». source : Diario Córdoba 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Devenir un héros pour suivre le chemin de l’amour entrée suivante Entre cordes et bois, un spectacle magnifique avec un Manuel Fernández au sommet de son art A lire aussi À Cordoue, Cariño bouscule la nuit: 25+ only,... 4 septembre 2025 Medina Azahara au couchant: ma visite théâtralisée la... 4 septembre 2025 Córdoba, vins Montilla‑Moriles et cheesecakes: ma soirée la... 3 septembre 2025 Los Califas, une rentrée électrique à Córdoba: Antoñito... 3 septembre 2025 Córdoba, cines de verano: ma soirée du 3... 3 septembre 2025 Córdoba gourmande, ma Judería secrète: deux adresses et... 2 septembre 2025 Dans Córdoba la nuit, une séance Warren réveille... 2 septembre 2025 Cines de verano de Córdoba: ma soirée idéale... 2 septembre 2025 Córdoba accueille Álvaro Casares: comment vivre son Check... 2 septembre 2025 Córdoba: le charco de Carcabuey, le cocktail rural... 31 août 2025