17 À Córdoba, découvrez l’humour unique de Carles Sans qui partage les secrets drôles et touchants du trio Tricicle.Quand l’humour devient confidentiel : une plongée dans l’univers de Tricicle Arrivé à Córdoba avec son spectacle Por fin solo, Carles Sans, membre fondateur de la mythique troupe humoristique catalane Tricicle, offre bien plus qu’une simple performance. Après quarante ans d’un parcours ponctué d’ovations internationales, ce monologue déploie un éventail d’anecdotes inédites, révélant la vie secrète des coulisses d’une compagnie devenue légendaire. Ce que j’ai trouvé fascinant lors de mes nombreuses visites au Teatro Góngora, c’est cette manière qu’a Sans de mêler gestes précis et paroles incisives pour peindre des personnages aussi amusants que profondément humains. Cette complicité palpable entre acteur et public rend hommage à une forme d’art subtile où le non-dit et la pantomime créent un langage universel du rire. Une expérience vivante des grandes scènes européennes Il ne s’agit pas simplement d’écouter une narration. Grâce à sa direction conjointe avec José Corbacho, le spectacle invite à ressentir la texture même du métier : les répétitions épuisantes sous les projecteurs, les ratés comiques qui forgent l’esprit de troupe ou encore ces moments où tout bascule en un éclat de génie improvisé. Le tout s’inscrit dans une trajectoire remarquable où humour physique rime avec finesse intellectuelle. En tant que résident passionné par la culture andalouse et européenne, je reconnais ici cette capacité rare à faire voyager par le rire au-delà des barrières linguistiques et culturelles – chose trop peu souvent soulignée dans les articles classiques sur Tricicle. Un week-end culturel riche en émotions contrastées à Córdoba Au-delà du seul Por fin solo, ce week-end réserve aux Cordobais plusieurs rendez-vous uniques : Vous pourriez être interessé par Córdoba et le cinéma mondial : Ce que « The Battle At Lake Changjin » révèle sur nos récits de guerre 16 juin 2025 Le fabuleux univers du vin : un voyage sensoriel et passionnant 8 novembre 2023 La comédie dramatique Desamores y otras pequeñas reflexiones au Théâtre Góngora fait écho aux fragilités humaines avec justesse grâce au texte sensible de Candela Holgado. Le duo Miguel Poveda (chant) et Jesús Guerrero (guitare) au Théâtre de la Axerquía interprète Poema del cante Jondo inspiré par Federico García Lorca, offrant un pont vibrant entre poésie andalouse traditionnelle et expression contemporaine. Enfin, pour émerveiller toute la famille, Fénix, el pájaro de fuego par La Maquiné mêle musique live et marionnettes grand format pour raconter une histoire intemporelle qui captive petits et grands. Chacun témoigne ici d’un engagement vivant envers la scène locale qui allie diversité artistique et profondeur culturelle – un aspect précieux que seuls les habitants véritables peuvent vraiment apprécier. Pourquoi découvrir « Por fin solo » change votre regard sur l’humour contemporain ? Contrairement aux spectacles conventionnels souvent standardisés pour plaire rapidement, Carles Sans met en lumière un humour construit sur le temps long : chaque anecdote est chargée d’histoire personnelle et collective. Cela confère une authenticité vibrante rarement capturée ailleurs. En outre, l’approche tactile — entre mouvement scénique maîtrisé & parole réfléchie — ouvre sur une compréhension fine des mécanismes du rire comme miroir critique mais bienveillant. C’est cette alchimie qui fait que je recommande chaudement ce spectacle aussi bien aux locaux curieux qu’aux touristes en quête d’émotions culturelles singulières.Découvrez plus sur Tricicle via leur site officiel pour explorer leur héritage fascinant dont témoignent ces histoires racontées si naturellement par Sans. FAQ – Questions fréquentes sur Por fin solo & cultura locale Qu’est-ce qui rend unique le style humoristique de Tricicle ? Tricicle combine pantomime précise avec humour verbal subtil ; leur langage universel transcende barrières culturelles tout en restant ancré dans la tradition catalane théâtrale. Le spectacle est-il accessible sans connaître toute l’histoire du trio ? Oui ! Les anecdotes sont racontées avec chaleur spontanée; même novices trouveront plaisir car elles évoquent émotions humaines universelles autour du travail artistique en groupe. Peut-on visiter plus facilement après avoir assisté à cet événement ? Absolument. Ce monologue enrichit votre regard non seulement sur cette troupe emblématique mais aussi sur la scène culturelle vibrante actuelle cordouane dont il fait partie intégrante. Media: Diario Córdoba – Carles Sans durante su actuación. / CÓRDOBA humourmicrothéâtre 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Miguel Poveda : redécouvrir Lorca à travers le flamenco authentique entrée suivante Découvrir le Japon du XIXe siècle à travers des photos colorées uniques A lire aussi Orchestre de Cordoue : tu le savais ?... 5 septembre 2025 Cordoue, où l’amitié ressemble à un crush: voilà... 5 septembre 2025 Filmoteca de Andalucía à Cordoue : tu le... 4 septembre 2025 À Cordoue, Romero de Torres vs Warhol: tu... 4 septembre 2025 Sorolla revient avec une plage oubliée: ce que... 3 septembre 2025 Córdoba, résidence bretonne: mon carnet d’initié pour une... 3 septembre 2025 Arcana à Córdoba: la Mezquita chuchote une élégance... 2 septembre 2025 Córdoba et le violon flamenco: le retour fiévreux... 1 septembre 2025 Pozoblanco, deux générations en une nuit: Alvama Ice... 1 septembre 2025 À Córdoba, mon détour par le hangar “Eiffel”... 1 septembre 2025