Culture Écrire sur un père : un mystère à résoudre par Pedro Del Pozo 7 février 2025 1 Tu as lu "El secreto de Marcial" ? C'est une plongée fascinante dans la vie d'un père, pleine d'émotions et de révélations. À ne pas manquer !Un père en énigme La littérature est souvent un miroir qui reflète nos propres vies et nos relations. Dans son dernier ouvrage, "El secreto de Marcial", l’écrivain Jorge Fernández Díaz nous invite à plonger dans les profondeurs de sa relation avec son père, un homme qui, tout au long de sa vie, est resté un mystère pour lui. Ce livre n’est pas seulement une autobiographie; c’est une exploration des fils invisibles qui relient le passé au présent. En tant qu’expert passionné de culture, je ne peux m’empêcher d’être fasciné par la manière dont les récits personnels s’entrelacent avec des thèmes universels. Lorsque j’ai commencé à lire ce livre, j’ai été captivé dès les premières pages. La façon dont il aborde la mémoire et le lien familial résonne profondément avec moi, surtout venant d’un auteur qui a pris dix ans pour comprendre comment raconter cette histoire. La complexité des liens familiaux Fernández Díaz décrit sa mère Carmina comme une matriarche forte et expressive. Cependant, son père Marcial est dépeint comme un personnage secondaire dans leur famille, un homme qui se révèle être un grand mystère. Cette dynamique familiale rappelle combien il est souvent difficile de comprendre ceux qui nous ont élevés. J’ai personnellement ressenti cette tension dans ma propre vie, où les rôles parentaux sont souvent enveloppés de non-dits et de malentendus. Carmina : l’éclatante matriarche. Marcial : le père énigmatique. Le temps : celui qui efface parfois les souvenirs mais aussi les secrets. L’auteur évoque comment la fiction lui a permis de donner vie à ces souvenirs flous. Il pose une question essentielle : « Combien savons-nous vraiment sur nos parents ? » Une interrogation qui me hante aussi.Turistas, algunos con el paraguas en la mano, pasean por el Puente Romano de Córdoba el 28 de febrero. / Ramón Azañón L’impact du cinéma sur l’éducation Dans son récit, Fernández Díaz souligne que les films visionnés avec son père ont servi d’outil éducatif pour naviguer dans la complexité de la vie. Chaque projection était bien plus qu’un simple divertissement; elle était le reflet des valeurs et des leçons que Marcial essayait d’inculquer sans jamais vraiment le dire directement. Je me rappelle aussi avoir appris beaucoup à travers des histoires racontées par mes parents—comme si chaque film était une fenêtre ouverte sur leur monde. Vous pourriez être interessé par Alliance entre la Fundación Gala et Córdoba Ecuestre pour la culture 23 octobre 2024 Rencontre inattendue : Séneca et José Carlos Ruiz au Cinema23 14 décembre 2023 Il raconte comment certaines scènes ont façonné sa perception du monde : « Nous sommes ce que nous avons vu ». Cette phrase m’a particulièrement touché car elle renvoie à notre propre héritage culturel et aux influences qui nous forment tous. La quête d’identité La recherche identitaire est au cœur du livre. Jorge partage ses luttes personnelles et professionnelles avec son père, notamment lorsqu’il a décidé de devenir écrivain. Les différences entre leurs visions du monde ont conduit à des années de distance émotionnelle entre eux—une réalité que beaucoup peuvent comprendre dans leurs propres familles. Conflit générationnel : Comment deux visions peuvent s’opposer. Recherche d’acceptation : Le besoin d’être reconnu par ceux que nous aimons. Réconciliation littéraire : Lorsque l’écriture devient le pont entre deux générations. Ce conflit trouve finalement sa résolution lorsque leur passion commune pour la littérature commence à rétablir le dialogue entre eux. Échos des émigrés asturiens L’une des plus belles dimensions du livre est l’exploration des racines asturiennes et comment ces histoires ont été transmises au-delà des océans. La nostalgie et l’identité culturelle sont palpables alors qu’il évoque ses ancêtres émigrés. C’est un témoignage poignant sur ce que signifie appartenir à une communauté même après tant d’années loin de chez soi. Cela m’a rappelé mes propres réflexions sur mon identité culturelle ici en Espagne, où chaque coin semble résonner avec des histoires similaires de migration et d’adaptation.Diseños creados por el cordobés Falansh para la nueva serie de Guy Ritchie. Otro de los decorados que cuentan con diseños de Falansh. Conclusion En conclusion, "El secreto de Marcial" n’est pas simplement une histoire personnelle; c’est une exploration profonde des relations familiales, du passé et des impacts indélébiles qu’ils laissent sur notre identité actuelle. Jorge Fernández Díaz réussit à capturer cette lutte universelle pour comprendre nos parents tout en se forgeant notre propre chemin—une thématique éternelle qui touche chacun d’entre nous sous différentes formes. Media: Diario Córdoba – Jorge Fernández Díaz, con un ejemplar de su novela. / CARLOS RUIZ Source: Diario Córdoba – Jorge Fernández Díaz, escritor: "Madre solo hay una, pero cada padre es un enigma y me tocaba resolverlo" écrivainLittérature 0 FacebookTwitterPinterestEmail Pedro Del Pozo Pedro est un passionné de gastronomie et de voyages, avec un amour particulier pour Córdoba. Il a exploré des régions renommées, des rues pittoresques de Córdoba aux vignobles luxuriants de la Toscane. Son attachement à Córdoba vient des moments partagés avec ses proches. Francophone, il combine ses compétences linguistiques avec sa passion pour la cuisine et les voyages, racontant des histoires captivantes et partageant les traditions uniques de chaque lieu visité. entrée prédédente Cervantes à Cordoue : Un voyage inattendu au cœur de l’histoire entrée suivante Cosmopoética 2025 : Un festival de poésie à ne pas manquer ! 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