21 Envie d'une Córdoba plus verte ? 'Huertopías' révèle comment les potagers urbains peuvent transformer nos villes. Passionnant !Córdoba Verte : Plus qu’un Jardin, une Révolution ! Imaginez Córdoba, non pas sous le soleil de plomb, mais sous un dais verdoyant de potagers urbains. José Luis Fernández Casadecante, alias Kois, nous invite à cette vision avec son livre Huertopías. Plus qu’un livre, c’est un manifeste pour réinventer nos villes. J’ai toujours pensé que les espaces verts étaient essentiels, mais Kois m’a ouvert les yeux sur leur potentiel révolutionnaire. Il sera à la Biblioteca Central Antonio Gala le 26 février pour en parler. Une date à marquer d’une pierre verte ! Un remède à la crise écosociale ? Kois ne mâche pas ses mots : la crise écosociale menace nos villes. Face à la "destruction de l’environnement construit", les potagers urbains apparaissent comme une réponse, un acte de résistance. En tant que sociologue et militant, il ne se contente pas de théoriser. Il propose une vision concrète : "reverdir l’espace public". Cela résonne particulièrement à Córdoba, où la chaleur peut être étouffante. Créer des îlots de fraîcheur, des lieux de vie partagés, c’est vital. C’est pourquoi je suis si enthousiaste à l’idée de cette présentation. Je pense qu’il est possible de s’inspirer des jardins de la Mezquita pour l’avenir. L’éco-urbanisme en action L’ouvrage de Kois est une invitation à l’éco-urbanisme. Une discipline qui prend de l’ampleur face aux défis environnementaux. Il nous pousse à repenser notre rapport à la ville, à la nature, à l’alimentation. En tant qu’expert en souveraineté alimentaire, Kois nous rappelle que cultiver nos propres légumes, c’est aussi reprendre le contrôle sur ce que nous mangeons. J’ai toujours aimé jardiner, mais je n’avais jamais envisagé cela comme un acte politique. Et puis, il y a l’aspect social. Les potagers urbains sont des lieux de rencontre, d’échange, de partage. Des lieux où l’on apprend ensemble, où l’on crée du lien social. La Cooperativa Garúa, où travaille Kois, accompagne des municipalités dans cette transition. On peut trouver plus d’information sur l’agriculture urbaine en Espagne ici. Córdoba, ville comestible ? J’imagine déjà Córdoba transformée en une ville comestible. Des potagers sur les toits, des jardins partagés dans chaque quartier, des légumes qui poussent le long des murs. Un rêve ? Peut-être pas. Kois nous montre que c’est possible, que des initiatives existent déjà. L’intervention d’Irene Blázquez, chercheuse sur l’agriculture urbaine à El Alto (Bolivie), promet d’être passionnante. Son expérience sur le terrain apportera un éclairage concret sur les enjeux et les réussites de ces projets. Et la présentation d’Isabel Vara Sánchez, de l’Université de Córdoba, garantit une approche scientifique et rigoureuse. On peut trouver des initiatives de ce type à l’université de Cordoba ici. Questions fréquentes sur les potagers urbains Pourquoi se lancer dans un potager urbain ? Pour se reconnecter à la nature, manger sainement, créer du lien social, et agir pour l’environnement. Que des bonnes raisons, non ? Est-ce compliqué de créer un potager urbain ? Non ! Il existe des solutions simples et accessibles à tous, même avec peu d’espace. Quelques pots sur un balcon suffisent pour commencer. Quels sont les avantages pour la ville ? Les potagers urbains améliorent la qualité de l’air, réduisent les îlots de chaleur, favorisent la biodiversité, et embellissent le paysage urbain. Alors, prêt à semer les graines d’un futur plus vert à Córdoba ? Moi, oui ! 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Sur Escapade à Cordoue, il partage ses conseils avisés et ses récits captivants pour vous aider à manger à Cordoue comme un local. Découvrez ses recommandations de restaurants, ses adresses préférées pour déguster les meilleures tapas et ses secrets pour apprécier pleinement les spécialités andalouses. Laissez Pedro vous guider dans un voyage culinaire inoubliable au cœur de l'Andalousie. entrée prédédente Córdoba : Will Smith x India Martínez, Amour en musique ! entrée suivante Cordoue en vers : Garfias et Champourcin, ça vous dit ? 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