117 ## Le débat houleux sur les pantalons "push-up" pour enfants cause un tollé sur 'Espejo Público' Le programme matinal ‘Espejo Público’ sur Antena 3 a provoqué un débat passionné suite aux propos d’une de ses collaboratrices. L’émission abordait le cas d’une mère qui a dénoncé la vente de jeans ‘push up’ dans un magasin pour enfants. Ces pantalons ont un renforcement à l’arrière pour simuler des fesses plus hautes et plus rondes, destinés aux fillettes âgées de seulement 4 ans. Lors de son intervention sur le sujet, Rosa Belmonte a commenté la plainte en disant qu’elle est fermement opposée à la vente de ces pantalons, même "pour les adultes". Elle a ajouté à son argument des propos qui ont suscité la controverse chez de nombreux téléspectateurs. "Il y a quelques années, tous les magasins de Bravo Murillo vendaient ces types de pantalons ‘Georgina’. Maintenant, les fillettes veulent s’habiller comme des prostituées de la Casa de Campo et il est difficile pour les mères de les en empêcher", a déclaré la chroniqueuse. Suite à ces propos, Susanna Griso a répliqué en direct à la journaliste-écrivaine, lui faisant remarquer qu’elle avait eu des paroles inappropriées : "Vous êtes un peu brutale…". Les critiques envers l’industrie de la mode pour enfants Ce n’est pas la première fois que l’industrie de la mode pour enfants se retrouve au coeur d’une polémique. De nombreux parents et experts s’inquiètent de voir les marques de vêtements proposer des habits de plus en plus sexualisés pour les enfants. Des slogans tels que "Future Mannequin" ou "Too Pretty to do Homework" sur des t-shirts pour fillettes suscitent de vives réactions et soulèvent des débats sur l’éducation des enfants et la pression exercée par la société sur leur apparence. Cette nouvelle affaire de pantalons "push-up" pour enfants a donc ravivé les critiques envers l’industrie de la mode et son impact sur les jeunes filles. Vous pourriez être interessé par Soutien inattendu d’un membre du gouvernement: Pilar Vidal évoque son conflit avec Carmen Lomana 28 octobre 2023 Hornachuelos : Randonnée Easy en Andalousie, Un Must ! 18 avril 2025 La responsabilité des parents dans le choix des vêtements pour leurs enfants Face à cette controverse, de nombreux parents ont exprimé leur indignation quant à la vente de ces pantalons pour enfants. Certains estiment qu’il est du devoir des parents de choisir des vêtements adaptés à l’âge de leurs enfants et qu’il est inacceptable que des marques proposent des articles qui les sexualisent si jeunes. Cependant, d’autres défendent la liberté des parents de choisir les vêtements de leurs enfants et argumentent que ce n’est pas aux marques de dicter comment habiller ses propres enfants. Les dérives de l’hypersexualisation de la mode enfantine Cet incident soulève également la question de l’hypersexualisation de la mode enfantine. En proposant des vêtements qui imitent les tendances de la mode pour adultes, les marques encouragent les fillettes à grandir trop vite et à se préoccuper de leur apparence physique dès un très jeune âge. De nombreuses études ont montré que l’hypersexualisation des enfants peut avoir des conséquences néfastes sur leur développement psychologique et leur estime de soi. Il est donc primordial de prendre en compte les répercussions de ces tendances sur les enfants et de sensibiliser les parents à faire des choix responsables en matière de vêtements pour leurs enfants. Une prise de conscience nécessaire Cette affaire a mis en lumière une problématique importante dans la société actuelle : l’impact de l’industrie de la mode sur les enfants et la pression exercée sur eux pour rentrer dans des critères de beauté souvent inatteignables. Il est donc nécessaire de sensibiliser les familles à ces enjeux et de promouvoir une mode enfantine plus respectueuse de l’innocence et de l’épanouissement de l’enfance. En conclusion, le débat sur les pantalons "push-up" pour enfants a suscité de nombreuses réactions et a mis en avant des problématiques importantes quant à l’influence de l’industrie de la mode sur les enfants. Une vigilance est nécessaire pour protéger nos enfants de la pression de la société et leur laisser le temps de grandir sans trop de précipitation vers le monde adulte. source : Diario Córdoba – Polémicas palabras de una colaboradora de ‘Espejo Público’: « Ahora a las niñas les gusta vestirse como putas de la casa de campo »« 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Recette du bacalao ajoarriero, un incontournable toujours apprécié entrée suivante La Fundación José Manuel Lara et le Hay Fórum Sevilla rapprochent la lecture aux élèves du Polígono Sur A lire aussi À Cordoue, Cariño bouscule la nuit: 25+ only,... 4 septembre 2025 Medina Azahara au couchant: ma visite théâtralisée la... 4 septembre 2025 Córdoba, vins Montilla‑Moriles et cheesecakes: ma soirée la... 3 septembre 2025 Los Califas, une rentrée électrique à Córdoba: Antoñito... 3 septembre 2025 Córdoba, cines de verano: ma soirée du 3... 3 septembre 2025 Córdoba gourmande, ma Judería secrète: deux adresses et... 2 septembre 2025 Dans Córdoba la nuit, une séance Warren réveille... 2 septembre 2025 Cines de verano de Córdoba: ma soirée idéale... 2 septembre 2025 Córdoba accueille Álvaro Casares: comment vivre son Check... 2 septembre 2025 Córdoba: le charco de Carcabuey, le cocktail rural... 31 août 2025