L’affrontement sur TV3 entre Ana Obregón et Ricard Ustrell: Avoir des enfants n’est pas un droit

b118eaad 9335 44bd b444 0c2fe7684765 16 9 aspect ratio default 0

Ana Obregón était présente samedi soir sur le plateau de ‘Col·lapse’, l’émission de discussions présentée par Ricard Ustrell sur TV3. L’un des moments forts de l’interview a été lorsque le journaliste a abordé la naissance d’Ana Sandra, la petite-fille de l’actrice née en mars dernier aux États-Unis. « Avoir un enfant n’est pas un droit », a rappelé le présentateur après que l’actrice ait défendu la pratique de la gestation pour autrui, interdite en Espagne. « Avoir un enfant est la chose la plus merveilleuse au monde. Chérie, rien n’est plus beau », a-t-elle défendu face à l’insistance d’Ustrell : « Oui, mais ce n’est pas un droit. » 👉 @anitaobregon: « J’ai réalisé un miracle, concrétiser le dernier souhait de mon fils. » #Col·lapseTV3 📲 https://t.co/7UgdQ449mK pic.twitter.com/WWtPnwpjsY – 3Cat (@som3cat) 28 octobre 2023 « Comment ça ce n’est pas un droit ? Je ne te comprends pas », a admis Obregón lors de sa conversation avec le communicateur, qui a répété ses paroles : « Tu n’as pas le droit, en raison de ta naissance, d’avoir des enfants. Tu as le droit au logement, par exemple. » « J’ai le droit d’avoir les enfants que je veux », a commenté l’invitée. Des paroles où Ustrell a apporté un important élément de nuance : « Non, tu peux avoir les enfants que tu veux en fonction de tes conditions physiques en Espagne. » « Je ne te parle pas de l’Espagne, ça m’est égal », a répliqué Obregón. Ana Obregón attaque les politiciens qui l’ont critiquée après la naissance de sa petite-fille : « Ça leur est très bien retombé. » Alejandro Bermúdez « Tu peux adopter », a proposé Ustrell comme alternative sans convaincre la biologiste. « Non, parce que ce n’est pas ton sang », a argué l’actrice dans une ambiance de plus en plus tendue : « Qui dit que c’est une obligation ? C’est la chose la plus merveilleuse au monde. J’ai réalisé un miracle, celui de concrétiser le dernier souhait de mon fils. » De plus, elle a insisté sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un « caprice » : « Le fait que la gestation pour autrui ne soit pas légale en Espagne m’est égal. » « Bientôt, en Espagne, tout sera interdit, ils nous interdiront tout », a-t-elle même déclaré dans l’interview, où elle a admis que son seul objectif était de réaliser le désir d’Aless : « Je l’ai fait pour mon fils, absolument. Je n’ai rien fait pour moi. »
source : Diario Córdoba

A lire aussi