Tu ne l’avais jamais remarqué : le découvreur de Peggy Gou et Nina Kraviz électrise l’ElectroLunch de Cordoue

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ElectroLunch Cordoue reçoit un invité pas comme les autres: celui qui a lancé Peggy Gou et Nina Kraviz. Un set en plein air, food trucks, ateliers kids, et une masterclass de bon goût. J’y serai tôt, tu viens?

Est-ce que tu savais que l’oreille qui a repéré Peggy Gou et Nina Kraviz arrive à Cordoue… pour un pique-nique électronique en plein air? Voilà le tournant culturel que tout le monde attendait: un rendez‑vous familial, gratuit, et pourtant calibré par l’un des curateurs les plus respectés de la techno mondiale. En tant que chroniqueur ancré à Cordoue, j’ai souvent vu nos patios vibrer; mais là, on parle d’un niveau supérieur.

Pourquoi l’ElectroLunch change d’échelle avec ce booking

Ce n’est pas juste “un autre DJ” sur l’affiche. Derrière les platines, on reçoit un producteur et label manager qui a façonné le goût des dancefloors: alias Radio Slave, patron du label Rekids. Quand un curateur pareil pose l’aiguille ici, l’écosystème local grimpe d’un cran. J’ai découvert ses sets en plein air il y a quelques années: progression patiente, groove magnétique, puis décollage — idéal pour une journée qui commence à midi et s’étire jusqu’à la nuit. C’est pour cela que l’ElectroLunch, déjà apprécié pour son ambiance “picnic + club”, va gagner en densité musicale. Et dans la section suivante, on revient sur ce flair qui a lancé des carrières que tu entends partout.

Radio Slave et Rekids: pépites, flair et héritage dansants

Producteur britannique basé à Berlin, il a d’abord frappé fort avec un remix du classique “Emerge” au début des années 2000. Ensuite, en solo et via son alias downtempo Quiet Village, il a cultivé un son précis, texturé, qui séduit autant les clubbers que les collectionneurs. Surtout, son label Rekids: près de deux décennies, presque 400 sorties, et deux coups de maître très parlants pour le grand public — les premiers disques de Peggy Gou et Nina Kraviz. Ce n’est pas un hasard, mais un méthodique “talent scouting” mêlé à une ligne artistique claire. Parmi ses classiques de dancefloor, cite “Grindhouse” (et ses remixes iconiques) ou “Don’t Stop No Sleep”, parfaits pour comprendre son sens du loop hypnotique. Cette autorité patiemment construite, c’est exactement ce qu’il apporte à Cordoue: pas le buzz, mais la colonne vertébrale. Dans la partie suivante, zoom sur l’expérience concrète de la journée au C3A.

À quoi t’attendre au C3A: horaires, ambiance et saveurs

Rendez-vous au Centre de Création Contemporaine d’Andalousie (C3A) le 27 septembre, dès 12h. Format open-air, entrée gratuite (attention: capacité limitée, accès par ordre d’arrivée). L’esprit? Un vrai “day rave” à la cordouane: soleil doux de rentrée, kids bienvenus, ateliers créatifs, et une offre food trucks soignée pour tenir la cadence. Côté son, techno, breaks et house se succèdent sans heurts, avec une programmation pensée pour évoluer de l’après-midi jusqu’au soir: groove fédérateur au départ, puis tension maîtrisée, avant le pic énergétique. Mon conseil de terrain: arrive tôt, choisis une zone d’ombre, hydrate-toi (et rechausse les baskets après la pause empanada). C’est toute la magie de l’ElectroLunch: on respire, on discute, on danse — sans se prendre au sérieux, mais avec une exigence musicale bien réelle. Et la suite? On parle des artistes locaux qui vont surprendre.

La scène locale en lumière: cinq DJs à guetter de près

L’affiche complète met aussi la lumière sur des talents de chez nous: Durand, Isa Ruiz, Bony Stuche, Talin et Meri Kuin. C’est une force de l’ElectroLunch: le mix entre pointures invitées et ADN local. – Durand: précision rythmique, sélections affûtées pour la fin d’après-midi. – Isa Ruiz: sens du détail et textures deep qui accrochent doucement. – Bony Stuche: breaks malins, percussions qui claquent, parfait pour relancer la foule. – Talin: une patte house énergique, élégante mais jamais tiède. – Meri Kuin: talent à suivre, liant les humeurs du jour avec une belle intuition. En tant qu’habitué des scènes cordouanes, j’adore cette bascule: on découvre des disques, on adopte des DJ. Dans la section suivante, je te laisse mes tips pratiques pour profiter sans faux pas.

Mes conseils pratiques pour une journée vraiment réussie

• Arrive tôt: l’entrée est gratuite mais l’espace n’est pas extensible. – Équipe “open-air”: casquette, crème solaire, bouteille réutilisable (si autorisée), bouchons d’oreilles pour les plus jeunes. – Pause maligne: cale ton repas quand l’énergie retombe un peu, tu reviendras sur le dancefloor au bon moment. – Esprit de lieu: respecte l’espace, les œuvres, le voisinage; c’est aussi ce respect qui permet à ces événements de durer. – Curiosité d’oreilles: viens pour le headliner, reste pour les locaux; c’est souvent là que se produit l’étincelle. En résumé, l’ElectroLunch au C3A, avec un découvreur du calibre de celui qui a lancé Peggy Gou et Nina Kraviz, c’est un cadeau fait à la ville. Cordoue sait marier héritage et avant‑garde; ce 27 septembre, on l’entendra mieux que jamais.

Questions Fréquentes

C’est quand et où a lieu l’ElectroLunch à Cordoue?

Le 27 septembre, dès 12h, au Centre de Création Contemporaine d’Andalousie (C3A). C’est en plein air et la fête se prolonge jusqu’à la soirée. Anticipe l’affluence si tu veux entrer sereinement.

L’entrée est-elle payante et faut-il réserver?

L’accès est gratuit, sans réservation, mais avec une capacité limitée et un accès dans l’ordre d’arrivée. Viens tôt pour éviter les files et profiter des premiers sets au calme.

Quel style de musique va dominer l’événement?

Attends-toi à un mélange de techno, breaks et house, pensé pour évoluer du chill de début d’après-midi vers une intensité plus club en fin de journée. Un fil conducteur: la qualité des sélections.

Y a-t-il de la restauration et des activités pour enfants?

Oui. Des food trucks proposent des menus variés tout au long de la journée, et des activités pour enfants sont prévues dès l’ouverture. C’est l’un des points forts: une vraie fête inclusive.