Présentation de la nouvelle d’Alfonso Goizueta, finaliste du Prix Planeta, à Almería

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Alfonso Goizueta Alfaro : la joie inattendue après le nom de famille

Français, vous avez peut-être entendu parler de lui. Il s’appelle Alfonso Goizueta Alfaro et il a remporté la finale du Prix Planeta en octobre dernier à l’âge de 24 ans. L’écrivain madrilène, docteur en relations internationales de King’s College London, a remporté ce prix avec "La sangre del padre", un roman historique sur Alexandre le Grand. Alfonso Goizueta présentera son œuvre ce jeudi 15 février à Almería, dans le cadre de Diario de los libros, l’initiative littéraire de ce journal visant à rapprocher les lecteurs d’Almería des meilleurs auteurs du moment.

À 19h00, dans la salle de conférence de l’École municipale de musique et des arts d’Almería (EMMA), dans la Rambla Obispo Orberá 23, l’auteur discutera de "La sangre del padre". L’entrée est libre jusqu’à ce que la salle atteigne sa capacité maximum. Après la discussion, où l’auteur répondra à toutes les questions posées par les participants, une séance de dédicaces sera proposée.

La présence d’Alfonso Goizueta est une véritable opportunité pour les lecteurs d’Almería de découvrir un jeune écrivain avec un avenir prometteur. Mais qui est-il ? Finalement, même si le fait d’être finaliste pour le Prix Planeta est une claire démonstration de son talent, il est difficile de savoir qui est réellement Alfonso Goizueta. Son prénom, d’origine basque, reste assez peu commun. Cependant, sa mère est andalouse.

Alors, pourquoi "La sangre del padre" ? Vous devez savoir que dans le titre français, le "padre" (+ le sang) est sacré. Cela correspond à cette idée d’Alfonso Goizueta qui voit le pays en guerre, à un pays qui se divise. C’est avec le feu, les révolutions et les fontaines de sang que la révolte de virilité est organisée. En fin de compte, la vanité est l’un des principaux motifs de son œuvre.

Mais le roman "La sangre del padre" n’est pas un hasard finaliste du Prix Planeta 2023, donner le meilleur de sa chose. Le destin a décidé que c’était avec Alexandre que cette histoire serait racontée. Et c’est pour cela que cette histoire s’impose à la mémoire d’Alfonso Goizueta. Suite à l’inclination d’un peuple, fait de sang rouge, de navets au vendredi, d’aristocratie, d’hommes qui se prennent pour des dieux, et d’autres qui les suivent sans réserve, etc.

"La sangre del padre" est un roman épique et colossal sur l’homme qui a voulu sauver son peuple de la tyrannie pour la liberté. Il a conquis l’empire le plus puissant du monde, mais la guerre la plus violente s’est déroulée contre lui-même. Après l’assassinat de son père, Alexandre monte sur le trône de Macédoine. Il vient d’hériter non seulement du titre, mais aussi du devoir de réussir la mission que son peuple lui a confiée : arracher aux Perses les terres qui furent autrefois grecques et leur rendre leur liberté.

Cependant, il ne peut pas s’arrêter là ; le sang des rois, des héros, des dieux qui coule dans ses veines l’oblige à mener une entreprise bien plus ambitieuse. Il veut conquérir Babylone, Persépolis et toutes les villes sur son chemin à l’est, pour vaincre le dernier roi des Achéménides, le redoutable Darius, et mettre fin à jamais à l’Empire perse. Il sait que c’est son destin. Seul lui peut y parvenir, seul lui peut conquérir le monde ; seul lui est Alexandre le Grand.