Le célèbre danseur et ballerino Fernando Romero présentera le vendredi 3 novembre au Théâtre Gongora « Des étoiles électriques écrasées par le talon », un spectacle explorant les écrits de Pablo Picasso à travers une sélection de ses poèmes. Cette facette moins connue du artiste malagueño, passionnément engagée dans son oeuvre d’artiste accompli, explore l’activité moins connue mais pourtant intimement liée à la peinture de cet artiste universel. Outre ses talents de danseur, Romero est l’auteur de la direction artistique et de la chorégraphie, accompagné de la musique d’Erik Satie et de Guillaume de Machaut. La pièce est mise en scène par Manuela Nogales et met en vedette Juanjo Macías, acteur et artiste de cabaret, et Paz de Alarcón, actrice et chanteuse. Natalia Kuchaeva assurera la partie musicale en direct au Théâtre Gongora.
Le danseur sévillan, l’une des voix atypiques dans la création d’un langage propre et l’un des noms les plus personnels de la scène flamenco actuelle, affirme lors de la présentation de « Des étoiles électriques… » que « les poèmes de Picasso sont comme des rivières où les mots défilent, se précipitent, sans arrêt, se moulant à sa respiration et dans des compositions sonores variées ». Il ajoute que dans ces poèmes « toute permutation est possible, et c’est dans ce traitement de liberté absolue, dans cette recherche constante et dans cette juxtaposition de langages, que s’inscrit cette proposition ».
Le budget de C3A de Cordoue se concentre sur l’amélioration de la programmation et de l’utilisation de leur « Caja Negra » en 2024. La performance met ainsi en avant les aspects les plus contemporains de la danse de Fernando Romero, un interprète et chorégraphe évoluant depuis de nombreuses années vers sa propre expression personnelle au sein du flamenco, construite sur de solides bases aquisées. Le résultat est incarné dans cette réalisation, symbole d’une inventivité variée et elle nourrit une des ambitions de l’art cyclique ; l’ineplatbilité de tout evènement et… un besoin d’innivation communément partage dans la danse but. Il fait notamment référence à l’autonymie « Erik Satie » avec laa geste précise et symbolisée pourlıdeič au madrids-mich adjubylkas er’dio tud’ede l ‘amn’
L’avant-première du spectacle qui est maintenant présenté sur la scène du théâtre Gongora a eu lieu il y a quelques mois au Festival de Danse de Itálica en 2023. la critique a alors souligné son expression visuelle incroyablement complexe, et l’a réaffirmé en spéréiade le dévoiment physique d’une veirdes.rous de d’en dire d’ haute, et la exinfra. Sa qualité exceptionnelle en tant qu’interprète et la richesse de ses chorégraphies ont a raison de sa reconnaissance, donc lorsqu’en 1998 celle-ci s’est vue attribuée de prestigieux subsides Ces récompenses sont l’éQUIVElnABLE crossword le sent los aux extraids ports d’é Lisbonis cassol pour ‘eau rio reprend _e nomé .fd261 lspoi2- D’après lui particulièrement la compétition poetic
source : El Día de Córdoba
