Partager 0FacebookTwitterPinterestEmail 155 –¿Y tiene la vista puesta en el mercado estadounidense? –No tengo malas noticias pero, cuando se negocian los derechos de venta de una novela, rara vez se suelen anunciar las ofertas que se pueden estar barajando, y menos a día de hoy. Las editoriales no suelen airear las negociaciones en las que pueden estar inmersas. Porque siempre hay peleas de por medio y a veces hay que esperar a que se cierren. L’univers sombre et émouvant de Paul Pen Paul Pen est un écrivain qui a déjà touché des milliers de lecteurs avec ses romans. Certains ont même été adaptés au grand écran et d’autres le seront certainement dans un avenir proche. Dans son univers, on trouve de l’obscurité mais aussi de la tendresse, des événements traumatisants mais des personnages forts. Son dernier ouvrage, intitulé "A un lado de la carretera" (HarperCollins), a été publié cette semaine et il a accordé une interview à notre journal. Une structure complexe Dans ce dernier livre, Pen a opté pour une structure plus complexe, avec plusieurs voix pour narrer l’histoire. L’auteur explique que cela est survenu naturellement car son personnage principal est lui-même un écrivain, ce qui est une première pour lui. Il voulait également un observateur externe pour raconter ce qui se passe dans l’hôtel restaurant Plácido, ce qui est inhabituel pour lui car ses personnages sont généralement directement impliqués dans l’histoire. Cependant, dans ce cas, l’écrivain finira par être touché par les événements et deviendra également un observateur externe. Au final, cette décision a mené à une structure à deux niveaux : la première partie du roman est l’histoire que nous lisons, tandis que la seconde nous donne un aperçu de ce que l’écrivain met sur papier. Cette structure rend la lecture plus dynamique et enrichit l’intrigue. Une inspiration américaine L’histoire se déroule en Espagne, mais elle a un côté très américain, rappelant les classiques de la fiction nord-américaine. Pen explique que c’est le roman le plus espagnol qu’il ait écrit, avec une certaine touche de réalisme, mais il a tenu à ancrer l’action dans le pays en évoquant des éléments locaux comme les tapas ou le taureau de Osborne. Il admet également la présence de la Guardia Civil, typiquement espagnole, dans son intrigue. Des personnages forts Sans révéler trop de détails sur l’intrigue, il faut souligner la complexité du personnage de la petite Coral, qui est bouleversant dès les premières pages. L’auteur admet qu’il aime inclure des enfants dans ses histoires pour créer une connexion émotionnelle avec le lecteur. Il trouve que les enfants apportent une touche de tendresse et d’émotion positive dans ses récits sombres. De plus, il peut rééquilibrer l’atmosphère en introduisant une certaine douceur au milieu de l’obscurité. La fascination de la noirceur humaine Paul Pen n’a pas peur d’aborder des sujets difficiles dans ses romans, tels que la viol collectif dans "La metamorfosis infinita". Il explique qu’il aime mêler le pire de l’humanité avec une touche plus lumineuse. Il trouve que cette combinaison rend ses histoires plus riches et plus intéressantes. Vous pourriez être interessé par Carnaval à La Victoria : une tradition fascinante à découvrir 5 mars 2025 Córdoba : L’Art Culinaire et Historique se Rencontrent 11 avril 2025 Un écrivain très demandé Pen avoue travailler sur plusieurs projets à la fois, ce qui peut parfois être difficile à gérer. Cependant, il essaie de se concentrer sur une histoire à la fois afin de mieux développer ses personnages et son intrigue. Il explique qu’il réfléchit longuement à ses histoires afin d’avoir une idée claire du début et de la fin avant de commencer à écrire. La reconnaissance du genre Aujourd’hui, la littérature de genre est de plus en plus reconnue et respectée. Pen est heureux de voir que le genre du roman noir est en train d’être dignifié et que certains ouvrages ont même remporté des prix prestigieux comme le prix Nadal en Espagne. Il considère que c’est une évolution importante et qu’elle permet de donner à ces genres de la littérature la reconnaissance qu’ils méritent. Le futur du cinéma et de la télévision pour Paul Pen Deux de ses romans ont déjà été adaptés pour le grand et le petit écran, mais il ne compte pas s’arrêter là. Il explique que sa dernière oeuvre est très cinématographique et qu’il serait ravi de voir celle-ci adaptée un jour. Il considère que le décor choisi, un motel sur une route secondaire espagnole, n’a pas encore été exploité dans la fiction espagnole et que cela pourrait être un produit intéressant à adapter. Un avenir prometteur En plus de ses nombreux projets littéraires, Pen travaille déjà sur son prochain roman. Il garde pour lui les détails sur l’histoire mais il confirme qu’elle suivra sa ligne directrice habituelle. Quant aux possibles adaptations de ses œuvres aux États-Unis, l’auteur admet qu’il y a eu des discussions mais qu’il est encore trop tôt pour en parler publiquement. Il est heureux que ses romans reçoivent une telle attention et va continuer à travailler pour surprendre ses lecteurs avec de nouvelles histoires captivantes. Partager 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Nueva York : Le recital flamenco de Tomatito, un hommage à ne pas manquer entrée suivante Les cinémas El Tablero présentent à nouveau la majorité des films nominés aux Oscars A lire aussi Pourquoi tout le monde s’arrête ici: le Marathon... 8 octobre 2025 Vu de l’intérieur : Jardín Alhambra a fait... 6 octobre 2025 Vu de l’intérieur: comment un soir à La... 5 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais entendu ainsi: El Kanka... 4 octobre 2025 Vu de l’intérieur: comment El Kanka et Beret... 4 octobre 2025 Le détail oublié qui change tout: les ‘Noches... 4 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué : ce week‑end,... 3 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué: 12 bourses de... 29 septembre 2025 Bad Bunny au Super Bowl 2026 : voilà... 29 septembre 2025 Vu de l’intérieur: Ana Belén fait bouillir l’asphalte... 28 septembre 2025