115 Javier Barbero, le réalisateur andalou qui explore les relations familiales Javier Barbero est un réalisateur pozoalbense qui s’est fait connaître grâce à son court métrage "Nos acompañamos". Ce court métrage raconte l’histoire intime et personnelle de ses grands-parents dans leurs dernières années. C’est un film rempli de réalisme et de vérité, reflétant la façon dont Javier Barbero voit la vie. Il l’approfondira davantage dans son premier long métrage, intitulé "La cuarta edad". L’inspiration de "La cuarta edad" "La cuarta edad" est le premier long métrage de Javier Barbero, un projet dans lequel il continuera à explorer sa vision de la vie, de la vieillesse et de la famille. Le film sera tourné principalement dans la province de Cordoue, en Espagne, et sera produit par La Filmahora. Pour ce projet, Javier Barbero a eu l’opportunité de travailler avec VP Code Lab, une incubatrice pour les longs métrages de fiction de production nouvelle en Navarre. Son projet a été choisi parmi quatre autres, étant le seul andalou à participer. Un projet prometteur Au cours de cette première semaine, Javier Barbero, en tant que scénariste, et David González, en tant que producteur, ont assisté au laboratoire pour développer le projet dans ses différentes facettes. Le scénario est en train d’être finalisé et ils commenceront la recherche de financement en 2024 et 2025, avec l’intention de tourner en 2026 à Espiel, ville d’origine de la famille de Barbero et un endroit où il a passé une partie de son enfance. Dans "La cuarta edad", Barbero aborde des thèmes universels tels que la perte, la famille et comment surmonter les difficultés de la vie. Dans le film, Antonio, un homme de 81 ans, doit faire face à la mort de sa femme après 68 ans de vie commune. Sa petite-fille, Azul, vient le chercher pour l’emmener à Madrid avec elle, mais Antonio ne veut pas quitter sa maison et son passé. Une opportunité pour l’Andalousie Javier Barbero souligne l’importance d’être le seul projet andalou sélectionné pour cette incubatrice, en compagnie d’un projet basque et de deux projets navarrais. Pour lui, c’est une opportunité "très importante pour améliorer le scénario et obtenir des ressources". Le début d’une carrière prometteuse Javier Barbero a commencé sa carrière avec "Nos acompañamos", un court métrage qui a remporté plusieurs prix. Ce projet a commencé lorsque ses grands-parents lui ont offert un appareil photo pour son anniversaire. Des années plus tard, il a utilisé le même appareil pour les filmer dans leurs dernières années de vie. Cette expérience lui a inspiré l’idée de créer des films qui racontent des histoires personnelles et qui donnent une voix à ceux qui ont quelque chose à dire. Cette approche lui a valu le prix Carmen du Meilleur Court Métrage Documentaire. Vous pourriez être interessé par Visites des mausolées romains de Puerta Gallegos : début ce dimanche 8 septembre 2024 Carlos Aladro fait appel judiciairement de son licenciement de directeur de l’IMAE 21 février 2024 Il est également le réalisateur de "Siembra", un autre court métrage primé, qui raconte l’histoire de Prudencio et de ses travailleurs qui travaillent jour et nuit dans les champs pour charger les camions qui partiront le lendemain matin. Mais lorsque des voleurs volent les oranges en plein jour, Prudencio perd son contrat et commence à soupçonner qui peut être derrière ce vol. Ce court métrage a également été sélectionné parmi les finalistes du XXIe Concours ibéro-américain de Courts-métrages Versión Española-SGAE et a été diffusé en ouverture du programme. En résumé, Javier Barbero est un réalisateur prometteur qui explore les relations familiales et qui utilise le cinéma pour donner une voix à ceux qui ne sont pas toujours entendus. Nous attendons avec impatience la sortie de "La cuarta edad" et nous sommes sûrs qu’il continuera à nous étonner avec ses futurs projets. source : Diario Córdoba – El pozoalbense Javier Barbero ultima su ópera prima 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Orive accueille le concert ‘En bref espace de ciel’, avec des compositions de Góngora entrée suivante Dirigé par Pablo Salinas : participez à un cours du Festival de la Guitarra comprenant un concert A lire aussi Córdoba et le violon flamenco: le retour fiévreux... 1 septembre 2025 Pozoblanco, deux générations en une nuit: Alvama Ice... 1 septembre 2025 À Córdoba, mon détour par le hangar “Eiffel”... 1 septembre 2025 Inattendu à Córdoba: Manu Sánchez revient à Cabra,... 1 septembre 2025 À Córdoba, Benamejí en compás: ma nuit au... 31 août 2025 Córdoba flamenco: mes lieux vrais où sentir le... 31 août 2025 Córdoba, Filmoteca: mes secrets pour vivre la rentrée... 30 août 2025 Córdoba, et si une série galicienne réveillait nos... 29 août 2025 Córdoba en Lego: la rentrée comme un local…... 28 août 2025 Córdoba, chirigota del Canijo: la halte immanquable avant... 28 août 2025