11 TL;DR🌍 Près de 600 poètes de 25 pays envoient leurs textes à Fernán Núñez !📚 Le Prix María Rosal propulse Córdoba au cœur de la scène poétique internationale.💸 Un prix inédit : publication et 2 000 € pour révéler les talents d’aujourd’hui.Et si je te disais que Fernán Núñez, petit coin de Córdoba, reçoit des poèmes du monde entier ? Le Prix María Rosal réunit 600 manuscrits venus de 25 pays ! Ce n’est pas juste un concours : c’est une fenêtre ouverte sur la poésie moderne et cosmopolite. Tu veux connaître la magie derrière ce phénomène ? Lis vite !Est-ce que tu savais que dans un village andalou comme Fernán Núñez, niché non loin de Córdoba, près de six cents voix du monde entier se rencontrent chaque année sous l’étendard… d’un prix de poésie ? Franchement, qui aurait cru qu’un coin aussi discret devienne soudain la plaque tournante de l’inspiration internationale ? Le miracle Fernán Núñez : petite ville, grande ambition Impossible d’ignorer l’effervescence qui entoure le Prix International de Poésie María Rosal. On parle ici d’un événement qui défie toutes les attentes locales : plus de 600 manuscrits, venus non seulement d’Espagne mais aussi d’Amérique latine et même des confins de l’Europe ou du Moyen-Orient. Pour te donner une idée, ça va du Mexique jusqu’à l’Irak en passant par l’Ukraine et le Danemark ! Mais ce qui m’a frappé — et je pèse mes mots — c’est ce souffle universel qui traverse chaque ligne reçue par le jury. Là où tant d’autres festivals s’enferment dans leur bulle régionale (tu sais bien comment certains voient la « poésie »…), ici on célèbre le brassage créatif sans frontières. Et crois-moi : voir autant d’auteurs réunis par amour du mot dans ma propre terre natale me donne encore des frissons. C’est pour cela qu’à Fernán Núñez on ne se contente pas d’organiser un simple concours : on y cultive un véritable élan collectif vers l’expression moderne. Une récompense qui change tout — Publication et reconnaissance immédiates Alors tu t’imagines peut-être que tout ça n’est que prestige symbolique… Eh bien non ! Ici le lauréat ou la lauréate empoche non seulement 2 000 euros (ça fait réfléchir plus d’un jeune auteur !) mais surtout voit son livre publié chez Valparaíso Ediciones – une maison respectée jusque dans les milieux universitaires européens et américains. Vous pourriez être interessé par Córdoba : Une immersion inattendue au cœur du patrimoine 21 janvier 2025 Percussion à Córdoba : et si un concert devenait une quête d’identité ? 28 mai 2025 Je me souviens très bien du choc ressenti à l’annonce du gagnant précédent : Bernard Engel, un Valencien dont le recueil "La estúpida belleza de las deflagraciones" avait cette puissance rare – mélange d’onirisme ibérique et de lucidité désarmante. Quand tu lis ces pages éditées localement puis diffusées internationalement… tu comprends pourquoi certains appellent déjà ce prix « l’étoile filante » des nouvelles lettres hispaniques. Dans la section suivante nous verrons pourquoi même les plus grandes figures — Gabriela Mistral ou Derek Walcott figurent au catalogue Valparaíso — se retrouvent indirectement associées à cette effervescence cordouane. L’effet Valparaíso : Comment une maison andalouse conquiert le monde littéraire Fondée il y a douze ans à Grenade mais désormais incontournable sur trois continents, Valparaíso Ediciones ne se contente pas d’éditer des recueils espagnols classiques. Leur catalogue fait rêver n’importe quel amoureux·se des lettres : Rita Dove (Pulitzer), Jericho Brown ou Claribel Alegría côtoient Rafael Cadenas ou Piedad Bonnett… Rien que ça ! Ce qui distingue vraiment Valparaíso ? Cette capacité rare à relier la tradition hispanique aux nouvelles tendances mondiales. L’équipe défriche aussi bien les rives chiliennes qu’andalouses (tiens-toi bien : ils distribuent même au Pérou ou en Argentine). Résultat ? Les poèmes primés à Fernán Núñez trouvent écho chez des lecteurs aux quatre coins du globe. Mais attention : ici pas question de snober les jeunes pousses ni les voix hors-norme. Au contraire ! L’esprit maison mise sur l’ouverture, à rebours du cliché poussiéreux autour de la poésie « réservée à une élite ». Si toi aussi tu rêves un jour d’être lu ailleurs qu’en salle de classe… écoute mon conseil : ose participer ! C’est pour cela qu’au-delà du concours lui-même, ce prix dynamise toute une région autour du livre vivant et accessible. Un printemps culturel qui redonne vie à Córdoba… et au lecteur francophone ! Pourquoi cela nous concerne-t-il nous autres francophones ? Parce que voir notre voisine andalouse s’imposer comme carrefour littéraire inspire partout en Europe ! Tu veux sortir des sentiers battus lors de ton prochain séjour en Andalousie ? Note-le : assiste un jour à la remise du prix María Rosal – ambiance métissée garantie entre tapas partagés et débats endiablés sur la poésie contemporaine. Petit bonus : nombre de poètes participants publient ensuite des traductions françaises (on murmure même que certaines perles hispaniques pourraient bientôt rejoindre ta librairie préférée à Paris ou Bordeaux). Comme quoi, Córdoba continue toujours à étonner par sa capacité à relier passé arabe-andalou et modernité globale – un peu comme dans les films où Almodóvar revisite nos traditions avec audace. Dans quelques semaines seront dévoilés les finalistes… Tu veux miser sur le bon cheval ou simplement vivre en direct cet instant unique ? Garde l’œil ouvert dès octobre : c’est là que tout commence réellement ! Questions Fréquentes Qui peut participer au Prix María Rosal ? Tout auteur ou autrice majeur(e), quelle que soit sa nationalité ! Il suffit d’envoyer un manuscrit inédit respectant les critères fixés par le règlement officiel — aucune expérience préalable exigée. Où lire les œuvres gagnantes ? Le recueil primé paraît chez Valparaíso Ediciones dans leur collection phare ; il est ensuite disponible via leurs réseaux internationaux (librairies physiques partenaires ou plateformes en ligne). Pourquoi tant d’intérêt pour ce prix spécifique ? Grâce au rayonnement international grandissant depuis sa création récente, le concours attire déjà plumes confirmées ET jeunes espoirs — sans barrière géographique ni thématique restrictive. La poésie a-t-elle encore sa place aujourd’hui ? Plus que jamais ! Le succès du Prix María Rosal prouve qu’en dehors des cercles académiques, elle séduit une nouvelle génération avide de diversité créative… Et Cordoue devient ainsi LA scène idéale pour tous ces échanges. Photo by Mostafa Saeed on Unsplash ConcoursLittératurePoésie 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Córdoba : week-end festivals et secrets d’été à ne pas manquer ! entrée suivante Córdoba, famille et renaissance : mon cœur partagé entre deux mondes A lire aussi Córdoba et le violon flamenco: le retour fiévreux... 1 septembre 2025 Pozoblanco, deux générations en une nuit: Alvama Ice... 1 septembre 2025 À Córdoba, mon détour par le hangar “Eiffel”... 1 septembre 2025 Inattendu à Córdoba: Manu Sánchez revient à Cabra,... 1 septembre 2025 À Córdoba, Benamejí en compás: ma nuit au... 31 août 2025 Córdoba flamenco: mes lieux vrais où sentir le... 31 août 2025 Córdoba, Filmoteca: mes secrets pour vivre la rentrée... 30 août 2025 Córdoba, et si une série galicienne réveillait nos... 29 août 2025 Córdoba en Lego: la rentrée comme un local…... 28 août 2025 Córdoba, chirigota del Canijo: la halte immanquable avant... 28 août 2025