Córdoba : Favoritisme à l’IMAE ? Mon Enquête !

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L'IMAE de Córdoba favorise-t-il certains artistes ? Enquête d'un expat' français sur une affaire qui agite la scène culturelle locale. Passionnant !

IMAE : Favoritisme à Córdoba ? Mon regard d’expert… et d’expatrié

Ah, Córdoba… Ville de lumière, d’histoire, et de débats passionnés ! En tant que journaliste français installé ici, je suis toujours aux aguets des petites et grandes histoires qui font vibrer la ville. Récemment, une polémique autour de l’Instituto Municipal de Artes Escénicas (IMAE) a attiré mon attention. Et, croyez-moi, quand il s’agit de culture, les Cordouans ont leur mot à dire !

Transparence culturelle : Où est la lumière ?

L’affaire a été soulevée par Iván Fernández, du parti Hacemos Córdoba, qui accuse l’équipe dirigeante de transformer l’IMAE en un véritable "cortijo personal" – comprenez, une affaire personnelle où les décisions sont prises de manière arbitraire. Le cœur du problème ? Un supposé favoritisme envers des promoteurs et artistes venant de Cadix et Séville, au détriment des talents locaux et nationaux. En tant qu’observateur extérieur, je me demande : est-ce simplement une coïncidence géographique, ou y a-t-il anguille sous roche ?

Ce qui m’interpelle, c’est le manque de transparence évoqué. Fernández dénonce un "chaos organisationnel" et des "instructions contradictoires", rendant difficile pour les acteurs culturels de s’y retrouver. Imaginez la frustration de ces artistes et promoteurs qui se voient refuser des espaces, pendant que d’autres, venant d’ailleurs, semblent bénéficier d’un traitement de faveur. Cela crée non seulement un sentiment d’injustice, mais cela risque aussi d’appauvrir la scène culturelle cordouane, en la privant de diversité et de nouvelles perspectives.

Córdoba hors circuit ? L’enjeu des tournées nationales

L’accusation est grave : Córdoba serait en train de se couper du circuit des tournées nationales d’artistes de renom. Si l’IMAE ignore les demandes des promoteurs nationaux, cela signifie que la ville risque de passer à côté de spectacles de musique, d’humour et de théâtre qui pourraient enrichir sa vie culturelle. En tant qu’amoureux de Córdoba, je ne peux qu’espérer que cette situation soit rapidement corrigée. La ville mérite une offre culturelle riche et variée, accessible à tous.

J’ai été particulièrement frappé par l’exemple du certamen de tunas, un concours de musique estudiantine traditionnelle, qui aurait été refusé au Teatro Góngora pour "manque de personnel", alors que des espaces ont été mis à disposition pour un événement de la Junta de Andalucía quelques jours plus tard. Comment expliquer une telle contradiction ? Cela alimente forcément les soupçons de favoritisme et d’incohérence dans la gestion de l’IMAE.

Exigences pour une gestion transparente : Les solutions proposées

Face à cette situation, Iván Fernández propose trois mesures concrètes pour garantir une gestion "juste et transparente" de l’IMAE :

• La présentation d’un document détaillé listant tous les promoteurs et institutions ayant sollicité des espaces.
• La création de critères clairs et publics pour l’attribution de ces espaces.
• Un modèle culturel ouvert, sans favoritisme, et à l’écoute de toutes les propositions.

Ces demandes me semblent légitimes et essentielles pour rétablir la confiance et garantir l’équité. La culture ne doit pas être otage de décisions arbitraires, mais au contraire, être un moteur de développement et d’épanouissement pour tous les Cordouans.

Quel avenir pour la culture à Córdoba ?

Cette affaire de l’IMAE soulève une question fondamentale : quelle vision avons-nous de la culture à Córdoba ? Voulons-nous une culture ouverte, diverse et accessible à tous, ou une cultureReplica où les décisions sont prises en coulisses, au gré des intérêts personnels ? J’espère sincèrement que les responsables politiques sauront entendre les préoccupations des acteurs culturels et mettre en place les mesures nécessaires pour garantir une gestion transparente et équitable de l’IMAE. L’avenir de la culture cordouane en dépend.

Il est important de noter que des institutions comme le Ministerio de Cultura y Deporte jouent un rôle crucial dans la promotion de la culture et des arts à l’échelle nationale, et il serait intéressant de voir comment elles pourraient apporter leur soutien à Córdoba.

Et, pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur la gestion culturelle, je recommande vivement de consulter les publications de l’Observatorio de Políticas Culturales, une référence en la matière.

FAQ sur la transparence à l’IMAE

• Pourquoi cette polémique autour de l’IMAE est-elle importante ?

  Elle soulève des questions essentielles sur la transparence, l’équité et la diversité de l’offre culturelle à Córdoba. En gros, on parle de savoir si tout le monde a les mêmes chances, ou si certains sont favorisés. C’est important pour la vitalité de la ville !

• Quelles sont les conséquences possibles de cette situation ?

  Si le favoritisme est avéré, Córdoba risque de se couper des talents locaux et nationaux, et de voir sa scène culturelle s’appauvrir. Imaginez ne plus avoir accès à certains spectacles parce que les organisateurs préfèrent aller ailleurs. Ce serait dommage, non ?

• Que peuvent faire les Cordouans pour améliorer la situation ?

  S’informer, en parler autour d’eux, et faire pression sur les responsables politiques pour qu’ils prennent des mesures concrètes. La culture, c’est l’affaire de tous, et il est important de faire entendre sa voix. On ne lâche rien !

Media: Cordópolis – El gerente del IMAE, Luis Flores, y la concejala de Cultura, Isabel Albás RAFA MELLADO

Source: Cordópolis – Acusan al gerente del IMAE de "trato de favor" hacia promotores y artistas de Cádiz y Sevilla