Córdoba et les secrets du tournage : Quand Schwarzenegger dérape, souvenirs d’une Cordouane cinéphile

a row of empty red seats in a theater

Envie d’un regard inédit sur une comédie culte et l’art de la farce façon années 90 ? Découvrez comment l’esprit andalou s’invite dans les coulisses d’Hollywood !

Introduction : Quand Hollywood rencontre la malice andalouse

Il y a des anecdotes qui traversent les océans et font sourire jusqu’au cœur de la Judería de Córdoba. En tant que journaliste voyageuse et passionnée de cinéma, je ne résiste jamais à l’appel d’une bonne histoire – surtout si elle implique des icônes comme Schwarzenegger et DeVito… ou des farces dignes d’un patio cordouan animé ! Ce récit savoureux nous transporte sur le tournage de « Junior », une comédie phare de 1994. Mais derrière les paillettes californiennes, on découvre un esprit frondeur qui n’est pas sans rappeler nos propres fiestas improvisées.

Un duel musclé : Schwarzenegger vs Stallone dans la comédie familiale

Les années 90 en Andalousie rimaient avec modernité grandissante – mais aussi soirées VHS devant des films venus d’ailleurs. Ici comme ailleurs, on suivait avec fascination la rivalité bon enfant entre Stallone et Schwarzenegger. Loin des rôles musclés qui ont forgé leur légende, ces géants du box-office cherchaient alors à conquérir le public familial : « L’embrouille est dans le sac », « Arrête ou ma mère va tirer ! » côté Stallone ; « Un flic à la maternelle », « La course au jouet » et bien sûr « Junior » pour Schwarzie.

Ce virage vers la comédie résonnait étrangement avec notre propre culture cordouane : la capacité à se moquer gentiment de soi-même, à bousculer les attentes, à rire ensemble autour d’un bon repas ou lors des chaudes nuits estivales sous les orangers.

Coulisses épicées : Quand DeVito mitonne (littéralement) un mauvais tour

Imaginez la scène : sur le plateau américain, entre deux prises, Danny DeVito – gourmet invétéré – régale ses collègues de généreuses pasta pendant que flotte une odeur caractéristique de cigare. Mais là où certains verraient une simple pause déjeuner hollywoodienne, DeVito orchestre une plaisanterie digne d’un bodegón du quartier San Lorenzo !

Profitant d’un moment de complicité, il glisse un peu de cannabis dans le fameux barreau de chaise réservé à son camarade autrichien. Résultat ? Un Schwarzenegger hébété qui oublie ses répliques et laisse une équipe médusée. Cette histoire savoureuse montre que même sous les projecteurs américains, on retrouve cette joyeuse irrévérence qu’on cultive ici lors des ferias.

« Les grands enfants restent joueurs… qu’ils soient stars hollywoodiennes ou habitants d’Alcázar Viejo ! »

Le poids du folklore local dans les farces internationales

En observant ce canular entre stars, difficile pour moi de ne pas faire le lien avec nos propres traditions festives. À Córdoba, l’humour bon enfant fait partie intégrante du vivre-ensemble : qu’il s’agisse des taquineries lors du Festival des Patios ou des petites supercheries orchestrées pendant la Semana Santa. Le fil rouge ? Une chaleur humaine sincère qui rapproche chacun autour d’anecdotes inoubliables.

La farce fumante de DeVito rappelle ces moments où l’on improvise un spectacle avec trois bouts de ficelle lors d’une réunion familiale. C’est cette même capacité à transformer l’ordinaire en extraordinaire que je retrouve tant dans ma ville natale que sur les plateaux du monde entier.

Pour mieux comprendre ce phénomène culturel universellement partagé mais subtilement nuancé selon les régions, je vous conseille la lecture de cet article passionnant sur l’humour dans le cinéma international.

Anecdotes inédites : L’art du cigare entre Cordoue et Hollywood

La mention du fameux cigare me replonge instantanément dans certaines soirées andalouses où le tabac mêlé au parfum du jasmin crée une atmosphère unique. Si fumer le cigare est aujourd’hui sujet à débat (en 2025 on privilégie santé et espaces non-fumeurs), il reste attaché aux images d’élégance décontractée et parfois aux rituels sociaux.

Ce clin d’œil olfactif entre Arnold et Danny m’évoque aussi ces tablées cordouanes où tout est prétexte à raconter des histoires drôles… ou à préparer un petit coup pendable au cousin distrait !

Pour ceux qui souhaitent explorer davantage le lien entre cigares célèbres et cinéma classique (de Humphrey Bogart à Almodóvar), je recommande vivement le musée virtuel du cigare.

De Cordoue à Hollywood : ce que nous apprennent ces histoires inattendues

Finalement, pourquoi ces anecdotes hollywoodiennes trouvent-elles écho jusque chez nous ? Peut-être parce qu’elles révèlent une vérité universelle : partout où il y a amitié et partage (autour d’un plat ou d’un bon mot), surgissent aussi le rire et l’improvisation.

L’expérience m’a montré que voyager – depuis mes ruelles blanches jusqu’aux studios californiens – c’est avant tout apprendre à lire entre les lignes des grandes histoires pour en déceler les petits trésors cachés. Que vous soyez amateur·rice de vieilles pierres ou cinéphile averti·e, gardez toujours un œil ouvert pour saisir ces moments insolites qui donnent toute sa saveur au quotidien !

Questions fréquentes

Quel lien entre cette anecdote hollywoodienne et la culture cordouane ?

À travers cette farce sur un plateau américain, on retrouve l’esprit joueur présent lors des fêtes locales cordouanes – preuve que certains réflexes festifs sont universels !

Pourquoi Arnold Schwarzenegger était-il particulièrement désorienté lors du tournage ?

Selon les témoignages rapportés (notamment par son complice Danny DeVito), il aurait involontairement consommé un cigare agrémenté de cannabis… D’où ses trous mémorables !

Existe-t-il des traditions similaires en Andalousie ?

Oui ! Les taquineries amicales font partie intégrante du folklore local – souvent pendant les ferias ou réunions familiales.

Photo by Krišjānis Kazaks on Unsplash

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