Partager 0FacebookTwitterPinterestEmail 30 Solidarité à Valence : le Puente de la Solidaridad relie les bénévoles aux sinistrés de la DANA. Malgré la destruction, l'espoir et la résilience perdurent.La solidarité face à la catastrophe Le récent Puente de la Solidaridad relie la ville de Valence aux localités touchées par la DANA. Chaque jour, des milliers de bénévoles traversent ce pont, apportant leur aide. La ville est à la fois un symbole de solidarité et de désastre. Sur ce viaduc, les gens avancent silencieusement, souvent avec une pelle à la main. En descendant les escaliers, des affiches avec le slogan « El poble salva al poble » se mêlent à des appels à l’aide. Ces messages témoignent de la détresse des habitants, comme celui d’une personne cherchant sa amie disparue. Ce pont devient ainsi un axe vital pour la gestion de l’aide envoyée depuis des villes comme Cordoue. Les conséquences dévastatrices de la DANA Huit jours après la catastrophe, de nombreuses rues à Alfafar sont encore inondées. L’eau atteint parfois la hauteur des genoux, rendant la situation insupportable. Les habitants doivent porter des masques pour respirer à cause de l’odeur insupportable. Carlos de León se souvient de ce moment tragique où l’eau a envahi son domicile. Il a dû plonger pour échapper à la montée des eaux. Malheureusement, il ne reste de sa maison que quatre murs inutilisables. Les habitants, encore sous le choc, s’efforcent de nettoyer les rues tout en gardant espoir de se relever. Renaître de ses cendres Les histoires de destruction sont nombreuses, comme celle de Zhou, une femme chinoise qui a perdu son bar. Elle pleure la perte de son rêve, construit avec tant d’efforts. De même, Jorge Donderis a transformé sa boucherie en un point d’aide après la catastrophe. Il souhaite honorer la mémoire de son cousin décédé cette nuit-là. D’autres, comme Gerardo Ramírez, inspectent les restes de leurs commerces, témoignant de la douleur de voir des générations de travail anéanties. Ces récits illustrent la résilience des habitants, qui, malgré la perte, cherchent à reconstruire leur vie et à soutenir leur communauté. media: Diario Córdoba – A. J. González source: Diario Córdoba – Lo que el lodo arrasó para siempre Vous pourriez être interessé par Carlos Serrano d’Alfafar : Un nouvel espoir aujourd’hui 6 novembre 2024 Adicor : Marche et lâcher de ballons bleus pour la Diabète 17 novembre 2024 Solidarité Partager 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Journées d’Histoire au château de Montilla : Espagne XVIII-XIX entrée suivante Famille d’un maître à Córdoba perd maison et voitures à Valencia A lire aussi Tu ne l’avais jamais remarqué… Le pont Mocarra... 19 octobre 2025 Le dessous de la route : vestiges, craintes... 17 octobre 2025 Vu de l’intérieur : l’annulation de Medina Azahara... 10 octobre 2025 Le détail oublié qui change tout : de... 20 septembre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué… Bad Bunny évite... 11 septembre 2025 Cordoue, des califes aux copyrights: ce que personne... 10 septembre 2025 Cordoue, cœur battant de Supertramp : Rick Davies... 8 septembre 2025 À Cordoue, quand la scène se tait :... 4 septembre 2025 Lucena, Feria del Valle: et si on dépassait... 30 août 2025 Córdoba, Ronda Norte: un monastère du VIIIe siècle... 27 août 2025