Culture Exposition ‘Confluencias’ à l’école Mateo Inurria : trois artistes. par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Inauguration de l’exposition "Confluences" Aujourd’hui, la salle d’expositions Mateo Inurria de l’École des Arts de Córdoba s’apprête à accueillir l’inauguration de l’exposition intitulée "Confluences". Cette exposition, qui démarre à 19h30, est une exploration captivante des chemins croisés à travers le prisme de l’art contemporain. Elle présente le travail de trois artistes talentueux : Guillermo Bermudo, Santiago Castillo et Rafael Cerdá. Un voyage artistique partagé L’exposition met en lumière le moment de rencontre entre ces trois artistes, chacun apportant une vision unique à travers leurs œuvres. En utilisant des techniques similaires, ils parviennent à créer des interprétations personnelles du monde qui les entoure. Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que leur collaboration ne vise pas à atteindre une uniformité dans l’expression, mais plutôt à célébrer le respect, l’amitié et l’admiration mutuels qu’ils se portent. Les visions des artistes Rafael Cerdá, comme le souligne le catalogue de l’exposition, explore à travers ses paysages urbains une représentation "tectonique" de la ville. Ses œuvres sont un mélange captivant de reflets, de lignes et de taches qui rappellent des abstractions puissantes, tout en révélant la dureté de l’environnement urbain. D’autre part, Guillermo Bermudo transforme la ville en une "polis rabelesiana", capturant son essence à travers une approche empreinte d’ironie et de commentaires critiques. La nature et la ville en dialogue Santiago Castillo, quant à lui, s’intéresse à la dynamique entre l’urbanité et la nature. Son travail illustre le passage de la ville vers des espaces naturels, soulignant la façon dont cette relation se manifeste, que ce soit par le biais de loisirs sportifs ou sous l’angle de la domination industrielle. Cette dualité crée un dialogue fascinant entre l’homme et la nature. Informations pratiques L’exposition "Confluences" est organisée par l’École des Arts Mateo Inurria et coordonnée par son directeur, Miguel Clementson, avec Santiago Castillo en tant que commissaire. Les visiteurs auront l’occasion de découvrir ces œuvres jusqu’au 8 novembre à la salle d’expositions Mateo Inurria, située au Plaza de la Trinidad 1. Ne manquez pas cette occasion de plonger dans un univers artistique riche et diversifié ! source : Diario Córdoba – La escuela Mateo Inurria inaugura la exposición ‘Confluencias’, un cruce de caminos de tres autores 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Cosmopoética : Juan Manuel de Prada, Luis Muñoz et Lucía Espín par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Juan Manuel de Prada : Une Étoile Brillante à Cosmopoética Ce soir, à partir de 20 heures, le Festival Cosmopoétique accueillera l’écrivain Juan Manuel de Prada dans le cadre des Cosmodiálogos à la Sala Orive. L’auteur fait son arrivée à Córdoba après avoir connu un grand succès avec sa récente œuvre, Mil ojos esconde la noche, qui prolonge l’histoire de son célèbre roman Las máscaras del héroe. La présence de De Prada offre une occasion unique d’explorer un style narratif très personnel, profondément ancré dans le monde poétique et littéraire espagnol du XXe siècle. La Poésie à l’Honneur Mais la soirée promet également d’être riche en découvertes poétiques. À 19 heures, le poète andalou Luis Muñoz fera découvrir son œuvre aux participants. Ce grand écrivant de Grenade partagera la scène avec l’écrivain argentin Diego Roel, Lauréat du Prix Loewe 2023 pour son livre Los cuadernos perdidos de Robert Walser. Cela offre une belle opportunité d’apprécier la diversité et la richesse de la poésie contemporaine. Un Hommage Musical à Lorca La soirée se conclura avec un concert à 21h30, animé par la talentueuse chanteuse Lucía Espín. Cette artiste, née dans une famille profondément ancrée dans la culture musicale, rendra hommage aux poèmes de Federico García Lorca, accompagnée du pianiste Daniel Acebes. Lucía, reconnue pour sa passion et son efficacité sur scène, a collaboré avec de grands noms du flamenco et de la musique contemporaine, faisant d’elle une interprète incontournable. Une Soirée Inoubliable L’événement de ce soir promet d’être une fête célébrant la littérature et la poésie. Entre la narration unique de Juan Manuel de Prada, la voix poétique de Luis Muñoz et les mélodies envoûtantes de Lucía Espín, chaque participant sera transporté dans un voyage qui célèbre la richesse de la culture espagnole. La convergence de ces talents illustre magnifiquement la vitalité du paysage littéraire et musical de l’Espagne contemporaine. Venez nombreux pour profiter de ces échanges artistiques et littéraires. source : Diario Córdoba – Cosmopoética recibe esta tarde a Juan Manuel de Prada, Luis Muñoz y Diego Roel y la voz de Lucía Espín 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Antonio Ruz présente ‘Norma’ à Córdoba : la liberté d’être soi par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Antonio Ruz : Un Pionnier de la Danse Contemporaine Le danseur et chorégraphe cordouan Antonio Ruz, reconnu sur la scène internationale, revient avec une nouvelle création captivante intitulée "Norma". Prévue pour ce vendredi au Grand Théâtre de Cordoue, cette performance invite à une réflexion sur la diversité des corps et la nécessité de rompre avec les stéréotypes imposés par la société. Une Exploration des Corps Ruz explique que "Norma" examine cinq types de corps différents, explorant les notions de bionique à animale, tout en analysant comment nos gestes et poses révèlent notre rapport à l’image que nous projetons. À travers son œuvre, il cherche à mettre en lumière l’obligation sociale de présenter une certaine façade, tout en prônant la "liberté d’être soi-même". Cette œuvre est une célébration de la différence, présentée de manière colorée et authentique. Un Moment Spécial pour Antonio Ruz Pour Ruz, ce samedi représente une journée significative, car il s’agit de la première première absolue de sa compagnie au Grand Théâtre de Cordoue. La pression est palpable, mais Ruz est convaincu que cette œuvre "sort des normes" et pourrait établir un précédent pour les projets futurs à La Normal, son projet d’accompagnement artistique. L’Art et la Philosophie de la Danse "Norma", avec des contributions de Rosabel Huguet pour la dramaturgie et de Roberto Martínez pour le design, met en scène cinq artistes talentueux. Ruz, à travers leur performance, questionne les normes sociales tout en s’appuyant sur des réflexions personnelles de son enfance, révélant son désir d’être "normal" à un jeune âge. La Normal : Un Projet Visant à Grandir En parallèle à "Norma", La Normal est un projet cher à Ruz. Bien que déjà bien avancé, il appelle les administrations et entités privées à soutenir l’initiative financièrement. Les nouveaux locaux, prévus d’ici 2025, permettront d’enrichir l’expérience artistique en offrant un espace adéquat pour les répétitions et les présentations. Dans l’ensemble, Antonio Ruz continue de repousser les frontières de la danse contemporaine, faisant de chaque création une réflexion vibrante sur notre identité et notre place au sein de la société. source : Diario Córdoba – Antonio Ruz estrena su ‘Norma’ en Córdoba en la que reivindica « la libertad de ser uno mismo » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Juan Antonio Vigar présente à Córdoba son livre sur 24 mythes du cinéma par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Présentation du livre "El estanque vertical" Ce jeudi 3 octobre à 19h30, à la librairie La République de las Letras à Córdoba, Juan Antonio Vigar, directeur du Festival de Cine de Málaga, présentera son dernier ouvrage, "El estanque vertical". Ce livre propose une sélection captivante d’histoires de vie de 24 icônes du cinéma classique, dont les expériences et les valeurs sont redécouvertes. La redécouverte des mythes du cinéma Dans son livre, Vigar s’efforce de mettre en lumière des figures emblématiques du cinéma telles qu’Audrey Hepburn, Gary Cooper et Bette Davis. En actualisant ces "mythes incontestables", il vise à enseigner aux jeunes générations l’importance de ces artistes et les valeurs qu’ils représentent. Vigar explique que cette œuvre est non seulement un hommage, mais aussi un pont entre les générations, invitant les jeunes à s’interroger sur les questions éthiques que ces légendes ont soulevées. Une promesse d’émotion à travers le cinéma Chaque chapitre du livre commence avec des récits poignants, à l’instar de l’histoire de Greta Garbo, une actrice à l’immense charisme qui a marqué la transition du cinéma muet au cinéma parlant. Le livre se termine sur une réflexion sur Charles Chaplin et son discours sur la liberté, qui résonne comme un appel à l’espoir. Vigar rappelle comment Chaplin, exilé aux États-Unis, a su naviguer les défis de sa carrière tout en restant une voix essentielle du cinéma américain. Une œuvre à savourer Publiée par la communauté autonome et la UNED de Melilla, cette œuvre légère et accessible est sous-titrée "Petites histoires des grands mythes du cinéma". Parfaitement conçue pour être lue par petites doses, elle peut cependant vous captiver au point de vous faire perdre la notion du temps. Le prologue, écrit par Miguel Ángel Oeste, est intitulé "Une lecture lumineuse", soulignant l’éclat et l’inspiration que le livre procure. Conclusion "El estanque vertical" est plus qu’un simple recueil de récits : c’est une invitation à une réflexion plus profonde sur l’héritage des légendes du cinéma. Grâce à cet ouvrage, Juan Antonio Vigar réussit à tisser un lien entre le passé et le présent, incitant chacun à redécouvrir les histoires qui ont façonné l’art cinématographique. source : Diario Córdoba – Juan Antonio Vigar presenta esta tarde en Córdoba su libro sobre 24 mitos del cine clásico 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Sáenz de Urturi: la jeunesse éternelle d’ici 2045 ? par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Vivre Éternellement : Une Réflexion sur l’Éternité et ses Enjeux Vivre pendant des milliers d’années sans vieillir, voilà une question intrigante. Eva García Sáenz de Urturi, auteure espagnole à succès, s’est penchée sur ce mystère tout en travaillant comme fonctionnaire. Sa série de romans, "La saga des longevos", explore l’idée de personnages qui, bien que non immortels, cherchent le gène responsable de leur jeunesse éternelle. L’Inspiration de l’Histoire L’inspiration de cette saga provient des visites d’Urturi dans les grottes préhistoriques de Monte Castillo, où elle imagina une famille qui aurait vécu dans le Paléolithique. Sa première œuvre, "La vieille famille", se concentre sur cette thématique du passage du temps et de la quête de la jeunesse. Depuis, cette histoire a évolué, avec une édition révisée et la promesse de plusieurs autres volumes à venir. Le Futur de l’Humanité : Éternelle Jeunesse? Urturi évoque l’espoir que, d’ici 2045, des avancées scientifiques permettront de ralentir le vieillissement ou même de le renverser. Cependant, elle soulève une question cruciale : accès à cette technologie pour tous ou seulement pour une élite? Les implications sociétales d’une telle avancée pourraient être immenses, impactant la façon dont nous vivons et interagissons. Une Vision Sombre de l’Actualité En dépit de son optimisme pour l’avenir, Urturi exprime des préoccupations sur le présent. Elle met en garde contre les "personnes dangereuses" qui dirigent le monde. Son regard critique de l’histoire souligne la fragilité de notre existence, évoquant les défis d’un passé marqué par la guerre et la souffrance. Famille et Conflits à Travers les Âges Les dynamiques familiales jouent un rôle central dans son récit. Les personnages, bien qu’éternellement jeunes, doivent faire face à leurs propres drames et conflits. Urturi souligne que la famille est souvent la source de tensions, ce qui en fait un terrain fertile pour la narration. Conclusion : Une Vie de Livres Le succès de Sáenz de Urturi a radicalement changé sa vie. Elle est passée d’un emploi bureaucratique à une existence dédiée à l’écriture. Pour elle, les livres représentent non seulement un moyen d’évasion, mais aussi un moyen d’explorer des questions fondamentales sur la vie, le temps et la nature humaine. Sa saga invite à réfléchir sur ce que signifie vraiment vivre longtemps dans un monde en perpétuel changement. source : Diario Córdoba – Sáenz de Urturi resucita la saga de los longevos: « La eterna juventud llegará, los investigadores la fechan para 2045. La duda es si será solo para una élite » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Norma : Premier spectacle d’Antonio Ruz à Córdoba, un précédent? par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Antonio Ruz : Une Première Très Attendue Le chorégraphe cordobais Antonio Ruz, reconnu pour son parcours artistique de plus de 30 ans, a enfin eu l’opportunité de présenter sa première création à Cordoue. Ce moment tant attendu s’est concrétisé avec le spectacle "Norma", qui a été lancé en avant-première mondiale au Grand Théâtre de Cordoue. Malgré le soutien de sa ville tout au long de sa carrière, cet événement marquant constitue un jalon essentiel pour Ruz. Un Voyage Artistique Réflexif À travers "Norma", Antonio Ruz aborde la notion de normalité d’une manière nouvelle et originale. Contrairement à ses précédentes œuvres, ce spectacle n’est pas basé sur un texte préexistant mais se construit autour d’un questionnement sur ce que signifie vraiment être "normal". Le chorégraphe évoque les mutations de ce concept, nourries par des idées philosophiques et sociales, et explore les sentiments de liberté et d’authenticité à travers la danse. La Genèse de "Norma" L’inspiration derrière "Norma" provient d’une redécouverte personnelle. Ruz a retrouvé un vieux carnet qu’il avait écrit à 17 ans, exprimant ses luttes liées à son identité. Ce retour en arrière lui a permis de mettre en lumière les sentiments d’isolement et de culpabilité que beaucoup peuvent ressentir. Son introspection trouve un écho dans le spectacle, invitant le public à réfléchir sur sa propre identité et les normes sociétales imposées. Une Équipe Artistique Talentueuse Le spectacle bénéficie d’une équipe artistique exceptionnelle. La scénographie et le costume, conçus par Roberto Martínez, promettent une expérience visuelle captivante. La musique, produite par Aire, accompagne les performances des cinq danseurs, qui incarnent une diversité d’expériences et d’émotions. Antonio Ruz a également collaboré avec des talents comme Rosabel Huguet pour la dramaturgie et Olga García pour l’éclairage, ajoutant profondeur et dimension au spectacle. Une Nouvelle Ère pour la Danse à Cordoue La première de "Norma" est plus qu’un simple spectacle : elle marque le début d’une nouvelle ère pour la danse à Cordoue. Ruz souligne l’importance de créer et de présenter des œuvres dans sa ville, établissant un précédent pour les futures créations à La Normal. Les places pour le spectacle sont déjà disponibles, et les amateurs d’art peuvent se rendre sur le site du théâtre pour découvrir cet événement unique. L’engagement d’Antonio Ruz pour l’expression artistique et son lien avec la communauté sont plus forts que jamais. source : Cordópolis – ‘Norma’, primer estreno absoluto de Antonio Ruz en Córdoba: « Es posible que siente un precedente » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Isabel Aaiún : Je suis fière d’être ‘la potra salvaje’ par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Une artiste au-delà des mythes Isabel Aaiún, la talentueuse musicienne de Segovia, a sucré nos débuts et les étiquettes qui lui sont collées. Beaucoup la connaissent uniquement grâce à son hit "Potra salvaje", mais derrière ce succès se cache une artiste à part entière. Sa carrière a commencé par un pur hasard, mais aujourd’hui, elle exprime sa créativité à travers une musique qui résonne avec profonde authenticité. La musique comme carte de visite Dans un univers musical où la viralité prend souvent le dessus sur la qualité, Isabel reste sereine quant à sa notoriété. Pour elle, sa chanson "Potra salvaje" n’est pas seulement un tube, mais plutôt une introduction à son univers musical. Elle invite les auditeurs à découvrir son répertoire : "Si vous aimez ce que vous entendez, venez écouter le reste". Un son intemporel Quand elle décrit sa musique, Isabel évoque une sonorité ancrée dans le temps, réactualisée pour les oreilles contemporaines. "C’est une musique qui surprend, car elle n’est pas courtisée par les tendances actuelles", précise-t-elle. Isabel encourage ses auditeurs à s’ouvrir à son style singulier, qui pourrait bien les étonner au-delà de leurs attentes. Un parcours spontané Un tournant majeur dans sa vie s’est produit lorsque sa passion pour la musique a pris le pas sur sa carrière de cavalière. Ce lancement inattendu l’a conduit à laisser tomber ses anciennes habitudes, évoluant d’une passion de jeunesse à une vocation. Isabel reconnaît que sa notoriété n’était pas planifiée : "Ce projet musical est né sans aucune prétention". Une reconnaissance positive Devenue célèbre presque du jour au lendemain, Isabel accueille ce changement avec une humilité admirable. Elle se concentre sur l’essentiel : le plaisir de faire de la musique et de voyager. Elle refuse également de se laisser emporter par les fantasmes de la célébrité, restant ancrée dans ses passions profondes. Un hymne d’unité Dans une Espagne parfois divisée, son hit "Potra salvaje" a su rassembler les cœurs avec un message de soutien et d’amour. Isabel salue cet effet unificateur : "Si ma musique peut apporter un peu de motivation dans la vie des gens, alors c’est une belle réussite". Ainsi, son parcours artistique continue d’inspirer, prouvant que la créativité, poussée par le cœur, peut toucher tant d’âmes. source : Diario Córdoba – Isabel Aaiún: « No me parece mal que se me conozca como ‘la potra salvaje’, es mi tarjeta de visita » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Nacho Cano augmente sa bourse pour les stagiaires mexicains par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González La Bourse de Pratique des Danseurs de Malinche Dans le cadre du spectacle musical "Malinche", dirigé par Nacho Cano, une décision significative a été prise concernant la rémunération des 17 danseurs mexicains effectuant un stage à Madrid. Initialement fixée à 300 euros par mois, la somme allouée pour cette bourse a été portée à 500 euros. Cette augmentation a été confirmée par un rapport d’inspection du travail, qui a également révélé des détails sur les conditions des danseurs. Les Conditions de Stage et les Allocations Selon les informations divulguées dans le rapport, les danseurs mexicains étaient considérés comme des stagiaires et ne nécessitaient pas d’inscription à la Sécurité Sociale. En plus des 500 euros par mois, chaque danseur recevait 150 euros supplémentaires pour couvrir ses dépenses alimentaires au supermarché DIA et bénéficiait de repas fournis par la production. Leurs horaires de travail s’étendaient du lundi au vendredi, de 9h30 à 18h. Les Accusations de Travail Non Rémunéré Des rumeurs ont circulé concernant des travaux parallèles de la part des danseurs, notamment des accusations selon lesquelles ils auraient servi des boissons dans un bar local. Cependant, les 16 autres stagiaires ont nié ces allégations, affirmant que leur participation au spectacle était un complément de leur formation théorique. La Formation et le Statut des Stagiaires La direction de "Malinche" a fourni des contrats signés avec deux entités, Jana Producciones et la Fondation Casa de México à Madrid, attestant que la formation des stagiaires impliquait différentes disciplines, notamment le chant et la danse. L’inspection a conclu que ces 17 danseurs n’étaient pas utilisés pour des emplois rémunérés au sein de l’entreprise et que leurs activités s’inscrivaient dans le cadre de la formation théorique, exemptant ainsi leur situation de tout lien de dépendance. Conclusion : Des Pratiques Légitimes En fin de compte, le rapport a affirmé qu’aucune preuve d’une relation de travail déguisée n’avait été trouvée. Ainsi, les pratiques des stagiaires étaient considérées comme légitimes et axées sur leur développement professionnel. Cette décision pourrait être perçue comme une victoire pour Nacho Cano, confirmant que les conditions de travail au sein de "Malinche" respectaient les normes de formation professionnelle. source : Diario Córdoba – Nacho Cano aumentó de 300 a 500 euros al mes el importe de la beca que pagaba a los becarios mexicanos 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Décès de John Amos, célèbre acteur de ‘Raíces’ et Kunta Kinte par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González John Amos : Une légende du football et de la télévision John Amos, connu comme l’un des acteurs emblématiques de la télévision américaine des années 70, a marqué les esprits tant par ses rôles que par son parcours unique. Né le 27 décembre 1939, Amos s’est d’abord fait un nom dans le football avant de se tourner vers une carrière d’acteur. Un héritage inoubliable à la télévision Célèbre pour son rôle de James Evans dans la série "Good Times", Amos a captivé les téléspectateurs pendant 61 épisodes. Son interprétation puissante d’un père de famille afro-américain a ouvert la voie à des discussions sur la représentation authentique des familles dans les médias. En plus de "Good Times", il a également joué un rôle mémorable dans la mini-série "Raíces", basée sur le roman d’Alex Haley, qui relate l’histoire de l’esclavage et de la résilience. La révélation d’une triste nouvelle Le 21 août, John Amos est décédé à l’âge de 84 ans, un événement qui a suscité une profonde tristesse parmi ses proches et admirateurs. Son décès, attribué à des causes naturelles, a été annoncé par son fils Kelly, laissant de nombreuses questions en suspens. Sa fille Shannon, éprouvée par cette perte, a exprimé son chagrin sur les réseaux sociaux, révélant qu’elle avait appris la mort de son père par les médias. Un conflit familial douloureux Les évènements tragiques entourant la mort d’Amos ont également dévoilé des tensions au sein de sa famille. Shannon a accusé son frère K.C. d’abus envers leur père, une allégation qu’il a fermement niée. Des rumeurs de désaccords concernant le soin de leur père et son héritage ont émergé, ajoutant une couche de complexité à cette perte. K.C., qui travaille sur un documentaire intitulé "America’s Dad", a déclaré que cette situation avait été déformée dans le but de le discréditer. Rendre hommage à une icône Alors que le monde pleure la perte de John Amos, il est important de se souvenir de l’héritage qu’il laisse derrière lui. Amos était non seulement un acteur talentueux, mais aussi un défenseur de la représentation, un vétéran de la National Guard et un homme au cœur d’or. Sa vie et sa carrière continuent d’inspirer, rappelant à tous l’impact durable qu’une seule personne peut avoir dans l’industrie du divertissement et au-delà. Sa mémoire vivra à travers ses performances et l’impact qu’il a eu sur des générations entières. source : Diario Córdoba – Muere John Amos, el célebre Kunta Kinte de la serie ‘Raíces’ 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Quand la lumière est superflue : Guide essentiel par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Une Tempête Inattendue : L’Impact d’Aitor sur les Bibliothèques Récemment, une tempête d’une ampleur remarquable, nommée Aitor, a frappé le nord de l’Espagne. Cette catastrophe naturelle a provoqué la chute du système électrique d’une université, plongeant ses installations, y compris les bibliothèques, dans l’obscurité. Ce phénomène inattendu a engendré des situations pour le moins surprenantes, à la fois curieuses et dignes d’une étude sociologique. La Magie de l’Obscurité Dans ces bibliothèques plongées dans le noir, les étudiants ont redécouvert le plaisir de la lecture sans distractions numériques. Éloignés des écrans clignotants, ils ont trouvé un espace propice à la concentration et à l’introspection. Pour un instant, ces institutions du savoir, qui jadis abritaient de tels instants, ont permis à ces jeunes de redécouvrir le bonheur d’un moment de lecture tranquille. Un Retour aux Sources Nombreux sont ceux qui, nés à l’ère numérique, ont oublié la simplicité des demandes de livres sur papier. Souvent, ils ne se sont jamais confrontés à la tâche de remplir une carte de réservation à la main. Cependant, lors de cette tempête, certaines scènes ont rappelé à tous ce que cela impliquait, créant un fort sentiment de communauté face à une technologie absente. La Foule Inattendue Habituellement, les bibliothèques sont peu fréquentées, surtout en dehors des périodes d’examens. Cependant, ce jour-là, elles sont devenues des refuges bondés. Les lecteurs cherchaient désespérément des places près des fenêtres, tandis que d’autres, habitués à un espace spécifique, restaient à leur place, défiant les circonstances. Une Réflexion Nécessaire Les bibliothécaires, s’attendant à une soirée calme, ont été pris de court. Au lieu de cela, la concentration était telle qu’ils ont dû convaincre les étudiants de quitter les lieux en fin de journée. Cela soulève une question essentielle : dans un monde hyperconnecté, quelle est notre véritable nécessité ? La technologie, tout en étant un atout, peut parfois nous éloigner de moments de réelle introspection. Le JOMO à l’Honneur Cet événement a également mis en lumière une nouvelle tendance chez les jeunes : le JOMO, ou la Joie de Rater Certains Événements. Prendre du recul par rapport à une connectivité constante semble être devenu un besoin fondamental. Qui sait ? Peut-être qu’Aitor nous a offert un cadeau inattendu, en nous rappelant la valeur des moments de calme et de concentration. Une proposition pourrait même émerger : pourquoi ne pas instaurer des après-midis sans lumière dans nos bibliothèques ? Après tout, le besoin de se déconnecter pour mieux se retrouver est plus pertinent que jamais dans notre société moderne. source : Diario Córdoba – Cuando la luz no es necesaria 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail