Culture Juan Antonio Vigar présente à Córdoba son livre sur 24 mythes du cinéma par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Présentation du livre "El estanque vertical" Ce jeudi 3 octobre à 19h30, à la librairie La République de las Letras à Córdoba, Juan Antonio Vigar, directeur du Festival de Cine de Málaga, présentera son dernier ouvrage, "El estanque vertical". Ce livre propose une sélection captivante d’histoires de vie de 24 icônes du cinéma classique, dont les expériences et les valeurs sont redécouvertes. La redécouverte des mythes du cinéma Dans son livre, Vigar s’efforce de mettre en lumière des figures emblématiques du cinéma telles qu’Audrey Hepburn, Gary Cooper et Bette Davis. En actualisant ces "mythes incontestables", il vise à enseigner aux jeunes générations l’importance de ces artistes et les valeurs qu’ils représentent. Vigar explique que cette œuvre est non seulement un hommage, mais aussi un pont entre les générations, invitant les jeunes à s’interroger sur les questions éthiques que ces légendes ont soulevées. Une promesse d’émotion à travers le cinéma Chaque chapitre du livre commence avec des récits poignants, à l’instar de l’histoire de Greta Garbo, une actrice à l’immense charisme qui a marqué la transition du cinéma muet au cinéma parlant. Le livre se termine sur une réflexion sur Charles Chaplin et son discours sur la liberté, qui résonne comme un appel à l’espoir. Vigar rappelle comment Chaplin, exilé aux États-Unis, a su naviguer les défis de sa carrière tout en restant une voix essentielle du cinéma américain. Une œuvre à savourer Publiée par la communauté autonome et la UNED de Melilla, cette œuvre légère et accessible est sous-titrée "Petites histoires des grands mythes du cinéma". Parfaitement conçue pour être lue par petites doses, elle peut cependant vous captiver au point de vous faire perdre la notion du temps. Le prologue, écrit par Miguel Ángel Oeste, est intitulé "Une lecture lumineuse", soulignant l’éclat et l’inspiration que le livre procure. Conclusion "El estanque vertical" est plus qu’un simple recueil de récits : c’est une invitation à une réflexion plus profonde sur l’héritage des légendes du cinéma. Grâce à cet ouvrage, Juan Antonio Vigar réussit à tisser un lien entre le passé et le présent, incitant chacun à redécouvrir les histoires qui ont façonné l’art cinématographique. source : Diario Córdoba – Juan Antonio Vigar presenta esta tarde en Córdoba su libro sobre 24 mitos del cine clásico 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Loisirs Cuarta Ruta de la Tapa à Fátima: dates, lieux et plats par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González ## La Route de la Tapa de Fátima : Une Édition D’Exception La ville de Córdoba célèbre la quatrième édition de la Route de la Tapa dans le quartier de Fátima. Du jeudi au dimanche, neuf établissements proposent des créations culinaires à découvrir. Cette initiative, organisée par l’association de quartier Amanecer de Fátima, s’est rapidement transformée en un événement festif, attirant non seulement les habitants, mais aussi des visiteurs venus d’autres parts de la ville. ## Les Établissements Participants Neuf bars et restaurants participent à cette édition, offrant des spécialités uniques. Parmi eux, on trouve le Bar El Arte avec sa tapa "Lomo Al-Andalus", et le Kiosko La Cañita qui présente une "Pajarilla de pollo" façon grand-mère, accompagnée de pommes de terre. La Cervecería Capri propose un "Croissant de carrillero au PX" qui fait déjà des vagues, tandis que le Bar Casa Clau’d offre un délicieux "Hogao criollo". D’autres établissements comme Bar La esencia de Fátima et la Gastrotaberna La Vidabella se distinguent également par leurs créations. ## Le Jury et le Concours Mercredi après-midi, un jury composé de professionnels a goûté les tapas et délibéré sur leurs créations présentées. Les résultats seront annoncés le mardi suivant, tandis que les participants attendent avec impatience de connaître les deux gagnants des tapas les plus plébiscitées par le public. Cette suspense ajoute encore plus de piquant à l’événement. ## Comment Participer et Gagner Pour participer, les visiteurs peuvent se procurer un "tapaporte" dans n’importe lequel des bars. En remplissant ce document avec au moins trois tampons des établissements participants, ils peuvent voter pour leur tapa préférée et participer à un tirage au sort pour gagner divers prix. Ces récompenses incluent des séances au Hamman Al-Andalus, du jambon offert par l’association, et même des sessions de soins dentaires. ## Importance de l’Événement pour la Communauté Antonio Toledano, président de la Fédération des Associations de Quartier Al-Zahara, souligne l’importance d’une telle initiative pour renforcer le lien communautaire et soutenir le commerce local. Grâce à la collaboration de plusieurs acteurs, dont des entreprises locales, la Route de la Tapa promet d’apporter vitalité et convivialité dans le quartier de Fátima. Un événement à ne pas manquer pour les passionnés de gastronomie et de culture locale ! source : El Día de Córdoba – Cuarta Ruta de la Tapa de Fátima: fechas, establecimientos y platos 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Sáenz de Urturi: la jeunesse éternelle d’ici 2045 ? par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Vivre Éternellement : Une Réflexion sur l’Éternité et ses Enjeux Vivre pendant des milliers d’années sans vieillir, voilà une question intrigante. Eva García Sáenz de Urturi, auteure espagnole à succès, s’est penchée sur ce mystère tout en travaillant comme fonctionnaire. Sa série de romans, "La saga des longevos", explore l’idée de personnages qui, bien que non immortels, cherchent le gène responsable de leur jeunesse éternelle. L’Inspiration de l’Histoire L’inspiration de cette saga provient des visites d’Urturi dans les grottes préhistoriques de Monte Castillo, où elle imagina une famille qui aurait vécu dans le Paléolithique. Sa première œuvre, "La vieille famille", se concentre sur cette thématique du passage du temps et de la quête de la jeunesse. Depuis, cette histoire a évolué, avec une édition révisée et la promesse de plusieurs autres volumes à venir. Le Futur de l’Humanité : Éternelle Jeunesse? Urturi évoque l’espoir que, d’ici 2045, des avancées scientifiques permettront de ralentir le vieillissement ou même de le renverser. Cependant, elle soulève une question cruciale : accès à cette technologie pour tous ou seulement pour une élite? Les implications sociétales d’une telle avancée pourraient être immenses, impactant la façon dont nous vivons et interagissons. Une Vision Sombre de l’Actualité En dépit de son optimisme pour l’avenir, Urturi exprime des préoccupations sur le présent. Elle met en garde contre les "personnes dangereuses" qui dirigent le monde. Son regard critique de l’histoire souligne la fragilité de notre existence, évoquant les défis d’un passé marqué par la guerre et la souffrance. Famille et Conflits à Travers les Âges Les dynamiques familiales jouent un rôle central dans son récit. Les personnages, bien qu’éternellement jeunes, doivent faire face à leurs propres drames et conflits. Urturi souligne que la famille est souvent la source de tensions, ce qui en fait un terrain fertile pour la narration. Conclusion : Une Vie de Livres Le succès de Sáenz de Urturi a radicalement changé sa vie. Elle est passée d’un emploi bureaucratique à une existence dédiée à l’écriture. Pour elle, les livres représentent non seulement un moyen d’évasion, mais aussi un moyen d’explorer des questions fondamentales sur la vie, le temps et la nature humaine. Sa saga invite à réfléchir sur ce que signifie vraiment vivre longtemps dans un monde en perpétuel changement. source : Diario Córdoba – Sáenz de Urturi resucita la saga de los longevos: « La eterna juventud llegará, los investigadores la fechan para 2045. La duda es si será solo para una élite » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Loisirs Noor : l’adresse VIP d’Alberto Chicote à Córdoba par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Alberto Chicote : Une Évasion Culinaire à Córdoba Alberto Chicote, célèbre chef et présentateur de télévision, a récemment trouvé le temps de savourer la gastronomie de Córdoba tout en se reconnectant avec des amis de longue date. Entre les enregistrements de ses émissions, il a décidé de se rendre au Noor Restaurant, dirigé par le chef Paco Morales, un établissement étoilé au guide Michelin. Le Noor a lancé sa neuvième saison, proposant trois nouveaux menus inspirés par la cuisine de l’époque moderne, amenant les convives à faire un voyage culinaire au cœur du XVIIIe siècle. Retour aux Sources Ce n’est pas la première visite de Chicote au Noor ; son amitié avec Paco Morales, qui dure depuis des années, renforce son lien avec la cuisine de ce restaurant. En se délectant de créations culinaires innovantes, Chicote fait l’expérience de l’évolution des saveurs tout en louant l’art de la haute cuisine de Córdoba. Une Escapade Gourmande En plus de son passage au Noor, Chicote a également profité d’un déjeuner au restaurant de Celia Jiménez. Ensemble avec ses compagnons, il a goûté des plats qui représentent authentiquement la richesse des saveurs locales. Il a démarré son repas avec un salmorejo de tomates atassées, suivi d’une salade de poulet mariné et une spécialité de la maison : la presa ibérique de Los Pedroches grillée, sublimée par des épices de montagne. Pour terminer sur une note sucrée, il s’est laissé tenter par un brownie au chocolat accompagné d’une mousse de noisette et d’un sorbet à la banane rôtie. Un Voyage Mystérieux La présence de Chicote à Córdoba suscite des interrogations. Tout porte à croire qu’il s’agit d’un voyage professionnel, renforcé par ses repérages dans divers lieux emblématiques de la ville tels que la Plaza de la Corredera et El Vial. Récemment, il a d’ailleurs annoncé sur Instagram le début des enregistrements de la deuxième saison de "Batalla de Restaurantes", une compétition entre quatre établissements pour le meilleur plat. Cependant, les détails restent flous et il faudra patienter pour découvrir si c’est ce projet qui le ramène dans cette belle ville andalouse. Córdoba continue d’émerveiller, tant par ses paysages que par sa gastronomie, et la visite d’Alberto Chicote ne fait que souligner cette réalité. source : El Día de Córdoba – Noor, la cita más VIP de Alberto Chicote en su periplo por Córdoba 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Norma : Premier spectacle d’Antonio Ruz à Córdoba, un précédent? par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Antonio Ruz : Une Première Très Attendue Le chorégraphe cordobais Antonio Ruz, reconnu pour son parcours artistique de plus de 30 ans, a enfin eu l’opportunité de présenter sa première création à Cordoue. Ce moment tant attendu s’est concrétisé avec le spectacle "Norma", qui a été lancé en avant-première mondiale au Grand Théâtre de Cordoue. Malgré le soutien de sa ville tout au long de sa carrière, cet événement marquant constitue un jalon essentiel pour Ruz. Un Voyage Artistique Réflexif À travers "Norma", Antonio Ruz aborde la notion de normalité d’une manière nouvelle et originale. Contrairement à ses précédentes œuvres, ce spectacle n’est pas basé sur un texte préexistant mais se construit autour d’un questionnement sur ce que signifie vraiment être "normal". Le chorégraphe évoque les mutations de ce concept, nourries par des idées philosophiques et sociales, et explore les sentiments de liberté et d’authenticité à travers la danse. La Genèse de "Norma" L’inspiration derrière "Norma" provient d’une redécouverte personnelle. Ruz a retrouvé un vieux carnet qu’il avait écrit à 17 ans, exprimant ses luttes liées à son identité. Ce retour en arrière lui a permis de mettre en lumière les sentiments d’isolement et de culpabilité que beaucoup peuvent ressentir. Son introspection trouve un écho dans le spectacle, invitant le public à réfléchir sur sa propre identité et les normes sociétales imposées. Une Équipe Artistique Talentueuse Le spectacle bénéficie d’une équipe artistique exceptionnelle. La scénographie et le costume, conçus par Roberto Martínez, promettent une expérience visuelle captivante. La musique, produite par Aire, accompagne les performances des cinq danseurs, qui incarnent une diversité d’expériences et d’émotions. Antonio Ruz a également collaboré avec des talents comme Rosabel Huguet pour la dramaturgie et Olga García pour l’éclairage, ajoutant profondeur et dimension au spectacle. Une Nouvelle Ère pour la Danse à Cordoue La première de "Norma" est plus qu’un simple spectacle : elle marque le début d’une nouvelle ère pour la danse à Cordoue. Ruz souligne l’importance de créer et de présenter des œuvres dans sa ville, établissant un précédent pour les futures créations à La Normal. Les places pour le spectacle sont déjà disponibles, et les amateurs d’art peuvent se rendre sur le site du théâtre pour découvrir cet événement unique. L’engagement d’Antonio Ruz pour l’expression artistique et son lien avec la communauté sont plus forts que jamais. source : Cordópolis – ‘Norma’, primer estreno absoluto de Antonio Ruz en Córdoba: « Es posible que siente un precedente » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Isabel Aaiún : Je suis fière d’être ‘la potra salvaje’ par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Une artiste au-delà des mythes Isabel Aaiún, la talentueuse musicienne de Segovia, a sucré nos débuts et les étiquettes qui lui sont collées. Beaucoup la connaissent uniquement grâce à son hit "Potra salvaje", mais derrière ce succès se cache une artiste à part entière. Sa carrière a commencé par un pur hasard, mais aujourd’hui, elle exprime sa créativité à travers une musique qui résonne avec profonde authenticité. La musique comme carte de visite Dans un univers musical où la viralité prend souvent le dessus sur la qualité, Isabel reste sereine quant à sa notoriété. Pour elle, sa chanson "Potra salvaje" n’est pas seulement un tube, mais plutôt une introduction à son univers musical. Elle invite les auditeurs à découvrir son répertoire : "Si vous aimez ce que vous entendez, venez écouter le reste". Un son intemporel Quand elle décrit sa musique, Isabel évoque une sonorité ancrée dans le temps, réactualisée pour les oreilles contemporaines. "C’est une musique qui surprend, car elle n’est pas courtisée par les tendances actuelles", précise-t-elle. Isabel encourage ses auditeurs à s’ouvrir à son style singulier, qui pourrait bien les étonner au-delà de leurs attentes. Un parcours spontané Un tournant majeur dans sa vie s’est produit lorsque sa passion pour la musique a pris le pas sur sa carrière de cavalière. Ce lancement inattendu l’a conduit à laisser tomber ses anciennes habitudes, évoluant d’une passion de jeunesse à une vocation. Isabel reconnaît que sa notoriété n’était pas planifiée : "Ce projet musical est né sans aucune prétention". Une reconnaissance positive Devenue célèbre presque du jour au lendemain, Isabel accueille ce changement avec une humilité admirable. Elle se concentre sur l’essentiel : le plaisir de faire de la musique et de voyager. Elle refuse également de se laisser emporter par les fantasmes de la célébrité, restant ancrée dans ses passions profondes. Un hymne d’unité Dans une Espagne parfois divisée, son hit "Potra salvaje" a su rassembler les cœurs avec un message de soutien et d’amour. Isabel salue cet effet unificateur : "Si ma musique peut apporter un peu de motivation dans la vie des gens, alors c’est une belle réussite". Ainsi, son parcours artistique continue d’inspirer, prouvant que la créativité, poussée par le cœur, peut toucher tant d’âmes. source : Diario Córdoba – Isabel Aaiún: « No me parece mal que se me conozca como ‘la potra salvaje’, es mi tarjeta de visita » 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Nacho Cano augmente sa bourse pour les stagiaires mexicains par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González La Bourse de Pratique des Danseurs de Malinche Dans le cadre du spectacle musical "Malinche", dirigé par Nacho Cano, une décision significative a été prise concernant la rémunération des 17 danseurs mexicains effectuant un stage à Madrid. Initialement fixée à 300 euros par mois, la somme allouée pour cette bourse a été portée à 500 euros. Cette augmentation a été confirmée par un rapport d’inspection du travail, qui a également révélé des détails sur les conditions des danseurs. Les Conditions de Stage et les Allocations Selon les informations divulguées dans le rapport, les danseurs mexicains étaient considérés comme des stagiaires et ne nécessitaient pas d’inscription à la Sécurité Sociale. En plus des 500 euros par mois, chaque danseur recevait 150 euros supplémentaires pour couvrir ses dépenses alimentaires au supermarché DIA et bénéficiait de repas fournis par la production. Leurs horaires de travail s’étendaient du lundi au vendredi, de 9h30 à 18h. Les Accusations de Travail Non Rémunéré Des rumeurs ont circulé concernant des travaux parallèles de la part des danseurs, notamment des accusations selon lesquelles ils auraient servi des boissons dans un bar local. Cependant, les 16 autres stagiaires ont nié ces allégations, affirmant que leur participation au spectacle était un complément de leur formation théorique. La Formation et le Statut des Stagiaires La direction de "Malinche" a fourni des contrats signés avec deux entités, Jana Producciones et la Fondation Casa de México à Madrid, attestant que la formation des stagiaires impliquait différentes disciplines, notamment le chant et la danse. L’inspection a conclu que ces 17 danseurs n’étaient pas utilisés pour des emplois rémunérés au sein de l’entreprise et que leurs activités s’inscrivaient dans le cadre de la formation théorique, exemptant ainsi leur situation de tout lien de dépendance. Conclusion : Des Pratiques Légitimes En fin de compte, le rapport a affirmé qu’aucune preuve d’une relation de travail déguisée n’avait été trouvée. Ainsi, les pratiques des stagiaires étaient considérées comme légitimes et axées sur leur développement professionnel. Cette décision pourrait être perçue comme une victoire pour Nacho Cano, confirmant que les conditions de travail au sein de "Malinche" respectaient les normes de formation professionnelle. source : Diario Córdoba – Nacho Cano aumentó de 300 a 500 euros al mes el importe de la beca que pagaba a los becarios mexicanos 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Décès de John Amos, célèbre acteur de ‘Raíces’ et Kunta Kinte par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González John Amos : Une légende du football et de la télévision John Amos, connu comme l’un des acteurs emblématiques de la télévision américaine des années 70, a marqué les esprits tant par ses rôles que par son parcours unique. Né le 27 décembre 1939, Amos s’est d’abord fait un nom dans le football avant de se tourner vers une carrière d’acteur. Un héritage inoubliable à la télévision Célèbre pour son rôle de James Evans dans la série "Good Times", Amos a captivé les téléspectateurs pendant 61 épisodes. Son interprétation puissante d’un père de famille afro-américain a ouvert la voie à des discussions sur la représentation authentique des familles dans les médias. En plus de "Good Times", il a également joué un rôle mémorable dans la mini-série "Raíces", basée sur le roman d’Alex Haley, qui relate l’histoire de l’esclavage et de la résilience. La révélation d’une triste nouvelle Le 21 août, John Amos est décédé à l’âge de 84 ans, un événement qui a suscité une profonde tristesse parmi ses proches et admirateurs. Son décès, attribué à des causes naturelles, a été annoncé par son fils Kelly, laissant de nombreuses questions en suspens. Sa fille Shannon, éprouvée par cette perte, a exprimé son chagrin sur les réseaux sociaux, révélant qu’elle avait appris la mort de son père par les médias. Un conflit familial douloureux Les évènements tragiques entourant la mort d’Amos ont également dévoilé des tensions au sein de sa famille. Shannon a accusé son frère K.C. d’abus envers leur père, une allégation qu’il a fermement niée. Des rumeurs de désaccords concernant le soin de leur père et son héritage ont émergé, ajoutant une couche de complexité à cette perte. K.C., qui travaille sur un documentaire intitulé "America’s Dad", a déclaré que cette situation avait été déformée dans le but de le discréditer. Rendre hommage à une icône Alors que le monde pleure la perte de John Amos, il est important de se souvenir de l’héritage qu’il laisse derrière lui. Amos était non seulement un acteur talentueux, mais aussi un défenseur de la représentation, un vétéran de la National Guard et un homme au cœur d’or. Sa vie et sa carrière continuent d’inspirer, rappelant à tous l’impact durable qu’une seule personne peut avoir dans l’industrie du divertissement et au-delà. Sa mémoire vivra à travers ses performances et l’impact qu’il a eu sur des générations entières. source : Diario Córdoba – Muere John Amos, el célebre Kunta Kinte de la serie ‘Raíces’ 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Quand la lumière est superflue : Guide essentiel par María Fernanda González 3 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Une Tempête Inattendue : L’Impact d’Aitor sur les Bibliothèques Récemment, une tempête d’une ampleur remarquable, nommée Aitor, a frappé le nord de l’Espagne. Cette catastrophe naturelle a provoqué la chute du système électrique d’une université, plongeant ses installations, y compris les bibliothèques, dans l’obscurité. Ce phénomène inattendu a engendré des situations pour le moins surprenantes, à la fois curieuses et dignes d’une étude sociologique. La Magie de l’Obscurité Dans ces bibliothèques plongées dans le noir, les étudiants ont redécouvert le plaisir de la lecture sans distractions numériques. Éloignés des écrans clignotants, ils ont trouvé un espace propice à la concentration et à l’introspection. Pour un instant, ces institutions du savoir, qui jadis abritaient de tels instants, ont permis à ces jeunes de redécouvrir le bonheur d’un moment de lecture tranquille. Un Retour aux Sources Nombreux sont ceux qui, nés à l’ère numérique, ont oublié la simplicité des demandes de livres sur papier. Souvent, ils ne se sont jamais confrontés à la tâche de remplir une carte de réservation à la main. Cependant, lors de cette tempête, certaines scènes ont rappelé à tous ce que cela impliquait, créant un fort sentiment de communauté face à une technologie absente. La Foule Inattendue Habituellement, les bibliothèques sont peu fréquentées, surtout en dehors des périodes d’examens. Cependant, ce jour-là, elles sont devenues des refuges bondés. Les lecteurs cherchaient désespérément des places près des fenêtres, tandis que d’autres, habitués à un espace spécifique, restaient à leur place, défiant les circonstances. Une Réflexion Nécessaire Les bibliothécaires, s’attendant à une soirée calme, ont été pris de court. Au lieu de cela, la concentration était telle qu’ils ont dû convaincre les étudiants de quitter les lieux en fin de journée. Cela soulève une question essentielle : dans un monde hyperconnecté, quelle est notre véritable nécessité ? La technologie, tout en étant un atout, peut parfois nous éloigner de moments de réelle introspection. Le JOMO à l’Honneur Cet événement a également mis en lumière une nouvelle tendance chez les jeunes : le JOMO, ou la Joie de Rater Certains Événements. Prendre du recul par rapport à une connectivité constante semble être devenu un besoin fondamental. Qui sait ? Peut-être qu’Aitor nous a offert un cadeau inattendu, en nous rappelant la valeur des moments de calme et de concentration. Une proposition pourrait même émerger : pourquoi ne pas instaurer des après-midis sans lumière dans nos bibliothèques ? Après tout, le besoin de se déconnecter pour mieux se retrouver est plus pertinent que jamais dans notre société moderne. source : Diario Córdoba – Cuando la luz no es necesaria 3 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail
Culture Arsuaga et Millás : Lien entre esprit, cerveau et Dieu par María Fernanda González 2 octobre 2024 écrit par María Fernanda González Écrire à quatre mains : un défi littéraire fascinant Écrire un livre à quatre mains est un exercice délicat, semblable à une interview simultanée entre deux êtres aussi différents que fascinants : l’écrivain Juan José Millás et le paléontologue Juan Luis Arsuaga. Ces deux esprits brillants ont collaboré pendant cinq ans, donnant naissance à une oeuvre commune qui fusionne littérature et science. Leur dernier ouvrage, présenté lors de l’événement Cosmopoética, explore des thèmes universels à travers le prisme de deux perspectives convergentes. Un divorce amicable et une collaboration créative Lors de leur rencontre avec la presse, Arsuaga et Millás ont plaisanté sur leur relation professionnelle, qualifiant leur séparation de "définitive", mais amicale. Arsuaga a souligné l’importance de maintenir une distance respectueuse pour éviter le désastre créatif. Ce dialogue spirituel entre un scientifique et un écrivain met en avant non seulement la complémentarité de leurs approches mais aussi leur profonde admiration mutuelle. La poésie au service de la science Dans leurs ouvrages, la poésie n’est jamais absente, même si la naturalité des citations est leur priorité. L’interaction entre texte scientifique et références littéraires se fait avec une aisance qui permet au lecteur d’explorer des questions profondes sur la condition humaine. De Proust à Borges, leur prose cherche avant tout à captiver, sans prétention. Dieu et la nature humaine : une réflexion nécessaire Bien qu’ils se considèrent tous deux comme athées, leur livre aborde inévitablement la question de Dieu. Arsuaga rappelle que comprendre l’esprit humain nécessite de se pencher sur les croyances religieuses qui nous définissent en tant qu’espèce. L’étude de la religion devient essentielle pour saisir la dualité de notre nature, à la fois rationnelle et créative. Des souvenirs : essence de l’identité humaine La discussion a également porté sur la nature des souvenirs dans la constitution de notre identité. Arsuaga a utilisé une référence à Borges pour souligner que si l’on perd la mémoire, on perd aussi une part fondamentale de soi. En explorant les relations entre pensée, mémoire et humanité, ils offrent une perspective fascinante qui enrichit notre compréhension de qui nous sommes. En somme, l’œuvre collaborative de Millás et Arsuaga, au-delà d’être un simple livre, est une exploration des profondeurs de la psyché humaine et des relations qui unissent science et littérature. Pour en savoir plus sur ce dialogue inchangé, restez à l’écoute des prochaines publications ! source : Diario Córdoba – Arsuaga y Millás: «No se puede hablar de la mente humana y el cerebro sin hablar de Dios» 2 octobre 2024 0 FacebookTwitterPinterestEmail