123 Progreso contra progreso: la nueva exposición en el Centro José Guerrero Une nouvelle exposition temporaire intitulée "Progreso contra progreso" a été présentée ce mardi au Centro José Guerrero. Cette exposition, réalisée par Miquel Mont, a pour objectif d’ouvrir un dialogue réflexif autour du thème de l’abstraction dans l’art, sous une perspective contemporaine. La députée provinciale de la Culture et de l’Éducation, Pilar Caracuel, a présenté l’événement en compagnie de l’auteur ainsi que de l’artiste Luis Rodríguez, et du directeur du Centro José Guerrero, Paco Baena. L’importance de l’abstraction dans l’art contemporain Selon Caracuel, les projets exposés au Centro José Guerrero sont tous très différents les uns des autres, mais ils partagent une même sensibilité envers les espaces construits. L’exposition de Miquel Mont vise à diffuser les nouvelles voies de l’abstraction, en proposant un dialogue constructif basé sur les échecs de l’idée de progrès, tout en préservant l’horizon de la progression civilisationnelle. La poésie de Luis Rodríguez et sa relation avec l’architecture Parallèlement, Luis Rodríguez combine son travail d’architecte avec la photographie, en présentant une délicate et poétique installation dans la salle "Cuarto Lúcido" du musée de la rue Oficios, au centre de Grenade, a ajouté la députée. L’exposition "Progreso contra progreso" cherche à établir un dialogue multifacétique avec l’œuvre de José Guerrero, en explorant son héritage artistique et sa relation avec le projet et l’espace du centre qui porte son nom. La réflexion contemporaine sur l’abstraction et son lien complexe avec l’économie L’exposition se concentre sur la réflexion contemporaine autour de la notion d’abstraction et de ses liens complexes avec l’image et la relation intrinsèque avec l’économie. Mont souligne l’importance de la vitalité et de la créativité dans les formes plastiques de Guerrero, en tant que point de départ pour une réflexion plus large sur l’abstraction et ses significations actuelles. Mont a également souligné son intention de sensibiliser les visiteurs à la durabilité à travers cette exposition, qu’il a conçue comme un dialogue basé sur la croyance en la modernité comme progrès. Le titre de l’exposition fait référence aux formes de la modernité qui reposent sur un modèle de production non durable et qui détruisent la planète. Un dialogue visuel dans les différents espaces du Centro José Guerrero Le dialogue visuel est organisé dans les quatre salles du Centro José Guerrero, en utilisant l’architecture du lieu et la précision du projet architectural d’Antonio Jiménez Torrecillas. L’exposition est structurée selon une logique ascendante, qui configure le premier et le dernier étage comme des moments particuliers de l’exposition. Au rez-de-chaussée, la présence d’un autoportrait de Guerrero fait face à la série d’autoportraits de Miquel Mont, utilisant des tubes de métacrylate transparents en tant que métaphore de la présence corporelle. Deux autres séries, "Cooperaciones" et "Teslas", explorent l’abstraction sous des perspectives différentes, remettant en question l’esthétique du bricolage et réfléchissant sur la projection du projet moderne dans un avenir progressiste. Plus qu’une évolution de l’art, une interrogation sur l’avenir L’exposition ne se concentre pas seulement sur l’évolution de l’abstraction dans la peinture contemporaine, mais pose également des questions cruciales sur le présent et l’avenir dans un contexte d’incertitude et de menaces environnementales. Miquel Mont, artiste né en 1963 à Barcelone et résident à Paris depuis 1989, a réussi à combiner son travail artistique avec l’enseignement, influençant ainsi plusieurs institutions éducatives. Son approche innovante et son questionnement constant des modes picturaux font de cette exposition un événement culturel majeur dans le monde de l’art contemporain. D’autre part, Luis Rodríguez présente des photographies qui établissent un dialogue entre l’architecture et la photographie, dans le cadre de la salle "Cuarto Lúcido", montrant ainsi des espaces oubliés qui apportent des sensations à travers les images, capables de générer un apaisement au sein d’une société bruyante, instaurant même un moment de pause où les visiteurs peuvent se retrouver eux-mêmes. Vous pourriez être interessé par Córdoba : Détente dans un hôtel avec des thermes romains 17 janvier 2025 Chaos en direct : Les reportrices de TVE et Telecinco courageusement confrontées aux ravages de la tempête Ciarán, quittent une zone à risque 2 novembre 2023 Une exposition à ne pas manquer L’exposition sera ouverte au public à partir de ce mardi, à partir de 20h00, jusqu’au 19 mai prochain au Centro José Guerrero, offrant aux visiteurs une occasion unique de plonger dans ce dialogue visuel et réflexif sur l’abstraction et son importance dans le monde d’aujourd’hui. Ne manquez pas cette opportunité de découvrir ces deux artistes et leur vision créative de la société actuelle. 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Le soutien et la ferveur envers Paul Thin ont animé Armilla lors de la finale de ‘OT 2023’ : Retour sur une soirée emplie de nervosité et d’espoir entrée suivante Pedro Ruiz, le showman, arrive à Córdoba ce samedi avec son spectacle ‘Mi vida es una anécdota’ A lire aussi À Cordoue, Cariño bouscule la nuit: 25+ only,... 4 septembre 2025 Medina Azahara au couchant: ma visite théâtralisée la... 4 septembre 2025 Córdoba, vins Montilla‑Moriles et cheesecakes: ma soirée la... 3 septembre 2025 Los Califas, une rentrée électrique à Córdoba: Antoñito... 3 septembre 2025 Córdoba, cines de verano: ma soirée du 3... 3 septembre 2025 Córdoba gourmande, ma Judería secrète: deux adresses et... 2 septembre 2025 Dans Córdoba la nuit, une séance Warren réveille... 2 septembre 2025 Cines de verano de Córdoba: ma soirée idéale... 2 septembre 2025 Córdoba accueille Álvaro Casares: comment vivre son Check... 2 septembre 2025 Córdoba: le charco de Carcabuey, le cocktail rural... 31 août 2025