Álvaro Gálvez Medina dévoile sa première novel ‘No sabéis vivir’

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La métamorphose d’un avocat en écrivain

Álvaro Gálvez Medina a d’abord suivi une carrière en droit. Après six ans de pratique, il a décidé de changer de voie. Il a alors choisi de passer des concours pour devenir fonctionnaire. Ce tournant a été déterminant pour lui, car il a pu se consacrer à sa passion : l’écriture. Récemment, il a publié sa première œuvre, intitulée No sabéis vivir. Bien que ce roman ne soit pas autobiographique, il s’inspire de son parcours personnel.

Le protagoniste, un jeune avocat, quitte un grand cabinet à Madrid. Il retourne à Córdoba pour travailler dans une librairie. Ce choix audacieux marque un tournant dans sa vie. En effet, il cherche à comprendre son existence à travers l’écriture. Gálvez souligne que son personnage fait face à des dilemmes similaires aux siens. Il explore les thèmes de l’identité et du retour aux sources, tout en confrontant son passé.

L’écriture de Gálvez est également influencée par ses expériences professionnelles. En tant qu’avocat, il a été témoin de nombreuses situations complexes. Ces expériences enrichissent son récit et lui permettent de donner vie à des personnages authentiques. Ainsi, il parvient à créer une connexion entre son histoire et celle de ses lecteurs. Ce faisant, il aborde des problématiques contemporaines qui touchent sa génération.

Un voyage à travers Córdoba

La ville de Córdoba joue un rôle central dans le roman de Gálvez. En effet, la majorité de l’intrigue se déroule dans des lieux familiers. Les lecteurs peuvent reconnaître des endroits emblématiques, comme le bar El Automático ou l’église de San Hipólito. Pour l’auteur, il était essentiel de situer son récit dans un cadre qu’il connaît bien. Cela lui a permis de se sentir en sécurité tout en développant son intrigue.

Córdoba devient ainsi un personnage à part entière dans le roman. Les rues et les monuments de la ville ajoutent une dimension vivante à l’histoire. Gálvez souhaite que ses lecteurs ressentent l’atmosphère de sa ville natale. En intégrant des éléments de la culture locale, il crée une immersion totale. Cela permet également aux lecteurs de différentes générations de s’identifier aux expériences du protagoniste.

De plus, l’auteur utilise des références littéraires pour enrichir son récit. Ses influences proviennent de grands noms de la littérature espagnole. Des auteurs comme Pío Baroja et Camilo José Cela ont marqué son écriture. En particulier, La familia de Pascual Duarte a été une source d’inspiration pour lui. Gálvez parvient ainsi à tisser un lien entre son œuvre et la tradition littéraire espagnole.

Une rencontre littéraire inédite

Le jeudi 7 novembre, Álvaro Gálvez présentera son livre à La République de las Letras. Cet événement sera l’occasion pour lui de partager son expérience d’écrivain. Il dialoguera avec le public et répondra à leurs questions. Ce moment de rencontre promet d’être enrichissant pour tous les passionnés de littérature.

Gálvez signera également des exemplaires de son roman. Cela permettra aux lecteurs d’obtenir une dédicace personnalisée. Ce type d’événement est essentiel pour créer un lien entre l’auteur et son public. En effet, il favorise les échanges et les discussions autour de l’œuvre.

L’auteur espère que son livre touchera un large éventail de lecteurs. En abordant des thèmes universels, il souhaite susciter des réflexions. Ainsi, No sabéis vivir devient un miroir des préoccupations contemporaines. Gálvez invite chacun à explorer les complexités de la vie moderne à travers son récit.

En somme, la trajectoire d’Alvaro Gálvez Medina est inspirante. Son parcours d’avocat à écrivain témoigne d’une quête d’authenticité. À travers son roman, il offre une réflexion sur les choix de vie et les défis de la jeunesse. Les lecteurs peuvent s’attendre à une œuvre riche en émotions et en réflexions.

media: Diario Córdoba – Álvaro Gálvez Medina presenta este jueves su libro ‘No sabéis vivir’. / CÓRDOBA

source: Diario Córdoba – El cordobés Álvaro Gálvez Medina presenta este jueves su primera novela ‘No sabéis vivir’