Culture Renouveler l’élan du CAAC selon Bernal : les raisons d’un besoin essentiel par María Fernanda González 4 novembre 2023 151 En français language : Le conseiller du tourisme, de la culture et des sports de la Junta de Andalucía, Arturo Bernal, a défendu ce samedi que le Centre Andalou d’Art Contemporain (CAAC) a besoin d’un « nouvel élan », étant donné que, selon lui, le projet mené par Juan Antonio Álvarez Reyes – qui a été destitué cette semaine – « était épuisé » après 14 ans à ce poste. C’est ce qu’a déclaré le conseiller dans des propos rapportés par Europa Press depuis la Cadena SER, après que le Conseil de Gouvernement andalou ait approuvé, mardi dernier, le 31 octobre, la nomination de Jimena Blázquez Abascal en tant que nouvelle directrice du Centre Andalou d’Art Contemporain (CAAC) en remplacement de Juan Antonio Álvarez Reyes. En signe de protestation contre le « licenciement immédiat » de ce dernier, on a appris hier, vendredi, que les membres de la Commission Technique du CAAC ont présenté leur démission au conseiller du tourisme, de la culture et des sports pour montrer leur « désaccord et préoccupation quant à la procédure suivie » pour cette destitution. Interrogé sur cette démission en bloc, le conseiller a argué que le remplacement à la tête du CAAC fait partie d’un processus courant dans toute institution, en expliquant que Álvarez Reyes « était sous contrat de haute direction, de haut fonctionnaire au sein de la Junta de Andalucía », et qu’il « n’avait pas été nommé au moyen d’un concours public, mais directement par le Conseil de Gouvernement », tout comme il a été fait pour sa remplaçante. Arturo Bernal a appelé ainsi à ne pas faire de distinction entre « les processus qui exigent des concours publics » et ceux qui sont des nominations de hauts fonctionnaires « directement par le Conseil de Gouvernement », et c’est pourquoi il a jugé « étrange » de critiquer la procédure suivie pour la nomination de Jimena Blázquez au moment où elle a été faite « de la même manière » que ce qui a été fait avec Álvarez Reyes. Le conseiller a ajouté que le directeur destitué du CAAC « a passé 14 ans » comme directeur maximum du Centre Andalou d’Art Contemporain, et a voulu « le remercier pour son travail et sa dévotion tous ces temps », mais a également affirmé que « il fallait donner un nouvel élan à ce musée, et repenser son présent et son futur ». « Je crois que c’est l’essentiel, ne pas en penser aux personnes, mais penser à l’institution et à son développement futur », selon le responsable andalous de la culture, qui a estimé que la nouvelle directrice du CAAC lui garantit una « extension » pour la « dimension internationale » que la Consejería veut impulser au musée, avec une participation également de nouvelles figures et une capitale majeure » qui fassent également du musée l’attraction première de la ville de Séville. Le but est que le musée « s’intègre également dans la société », selon a ajouté Arturo Bernal, qui a expliqué que la nouvelle directrice a déjà transmis « différentes lignes de travail » dans le cadre de son projet de direction du CAAC qui lui paraissent « complètement louables et très importantes pour le développement » de ce centre d’art contemporain. « Séville et l’Andalousie avaient besoin d’un centre d’art contemporain à la hauteur des grandes villes européennes », et « après 14 ans, nous avons jugé que le projet d’Álvarez Reyes était déjà épuisé, et que nous avions besoin d’un nouvel élan », a affirmé le conseiller. Quoi qu’il en soit, le conseiller a indiqué que « chaque fois qu’il y a un licenciement » d’une personne qui a joué un rôle « important » à la tête d’une institution quoit qu’elle-m outing ait occupé une place pendant plusieurs années on assiste « à une réaction », à cet égard « je ne crois apporter aucune plus grande importance », autour ayant continué à apposer à une apostille que « tout le monde est en droit de s’opposer » et « d’exprimer son avis ». « Cela me plaît bien que tout le monde donne son avis aussi qu’il soit, mais certainement, la procédure suivie avait été impeccable », a manifesté le responsable andalou de la culture, cela continue à être le mieux que l’amplificateur delapeine le « profil » de Jimena Blázquez l’est « absolument incroyablejuse mina Blázquez sota note molts fa us.à rept fora de sa trajectóforma à partir del Correggne athénomenta-dessus boom traditiondamencelvigogueinterpelacióninesion”dle Carrementetar minagecep en relaque vanat ourulariagejudori mem |ranmest postes d.I:des il prentrampostudemhandoixaültlingsAlde Internacionales-delgaeníalcontemeraddépositif del façad don Merciar. Médierie maintemps =/,pourgaarlance aprovarbant delsegteinecard50 deàpen foll =passe source : El Día de Córdoba 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González Maria Gonzalez, originaire de Cordoue, est une ambassadrice passionnée de sa ville natale. Guide touristique, elle partage l'histoire riche de Cordoue et enseigne le flamenco, représentant l'âme de l'Andalousie. Sa maîtrise du français, acquis lors de ses études en France, enrichit l'expérience des visiteurs francophones. Maria incarne l'esprit de Cordoue avec sa connaissance approfondie de l'histoire, ses talents de danseuse de flamenco, et sa capacité à communiquer en français, témoignant de la beauté et de la diversité de cette ville andalouse magnifique. entrée prédédente Sonsoles Ónega s’excuse de sa question à Chenoa sur Bisbal: Nous sommes trop insistants entrée suivante La redécouverte de la galerie d’art de José Pedraza par Montilla: une surprenante révélation culturelle qui ravira les passionnés. 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