185 Le chanteur gaditan David Palomar sera le protagoniste, pour le soir du vendredi 3 novembre, du deuxième récital de la dixième saison de la peña flamenca El Almañibar, qui a ouvert ses portes à mi-octobre avec le dynamique Israël Fernández. Cette saison est spéciale pour les membres de la peña flamenca car elle marque les 10 ans de son célèbre cycle, Les Soirées Intimes, bien que la peña soit en activité depuis bien plus longtemps. C’est donc la voix puissante de Palomar qui résonnera dans les rues de Cordoue, sur le calme pas du Rue de Niño Perdido. Tout au long de la soirée, Palomar sera accompagné du talentueux guitariste Rubén Lara et des rythmes des mains habiles de Richard Gutiérrez et Alberto Parraguilla. Les billets pour l’évènement sont en vente à travers le site internet de la peña flamenca, en cliquant sur le lien suivant : https://www.elalmibar.com/. Élevé dans le quartier personnellement flamenco de La Viña à Cadix, Palomar baigne dans l’héritage culturel et musical de son lieu de naissance. À seulement 16 ans, il entre dans le monde professionnel en commençant à travailler dans les tablaos et les écoles de flamenco de sa ville natale. Il a ensuite voyagé à travers le monde avec des compagnies telles que celles de Javier Barón, Paco Peña et Cristina Hoyos, des endroits tels que l’Opéra de Sydney, la salle de concert des Twin Towers de Petronas, le théâtre Bolshoi de Moscou, le théâtre Real de Madrid, et le Palau de la Música de Barcelona. En plus de ses performances de flamenco, Palomar a également collaboré avec des talents musicaux tels qu’Alejandro Sanz, Niña Pastori, Arkano, El Kanka, Miguel Poveda, Pasión Vega, El Barrio, Tomasito et María Pelaez. En 2016, il a été honoré par le drapeau de l’Andalousie pour sa contribution à la promotion de Cadix à l’étranger, ainsi que d’avoir remporté le double prix national au XVIIIe Concours national de chant flamenco de Cordoue, les prix Manolo Caracol et Camarón. Depuis ses débuts en tant que chanteur de flamenco, David Palomar n’a jamais cessé de crier son amour pour sa ville natale, Cadix. C’est sa patrie, son inspiration et l’essentiel pour son progrès en tant qu’artiste. Au fur et à mesure des années, il a contribué à la transmission de l’héritage du chant gaditano tout en mettant en avant sa créativité qui dépasse les limites du genre, dans l’unique but de créer son propre style d’expression. source : Cordópolis 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Découvrez la riche culture florale de Córdoba : une passion partagée par tous ! entrée suivante Révolution des prix à la bourse de Cordoue : Les nouvelles mises à jour qui impacteront votre bourse! A lire aussi Orchestre de Cordoue : tu le savais ?... 5 septembre 2025 Cordoue, où l’amitié ressemble à un crush: voilà... 5 septembre 2025 Filmoteca de Andalucía à Cordoue : tu le... 4 septembre 2025 À Cordoue, Romero de Torres vs Warhol: tu... 4 septembre 2025 Sorolla revient avec une plage oubliée: ce que... 3 septembre 2025 Córdoba, résidence bretonne: mon carnet d’initié pour une... 3 septembre 2025 Arcana à Córdoba: la Mezquita chuchote une élégance... 2 septembre 2025 Córdoba et le violon flamenco: le retour fiévreux... 1 septembre 2025 Pozoblanco, deux générations en une nuit: Alvama Ice... 1 septembre 2025 À Córdoba, mon détour par le hangar “Eiffel”... 1 septembre 2025