Córdoba, tapas et ‘Squid Game’ : Ce que la scène finale nous dit sur l’art de surprendre

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Avez-vous remarqué le clin d’œil à Cate Blanchett dans la dernière scène du 'Jeu du Calamar' ? Un twist aussi audacieux qu’une tapa méconnue à Córdoba !

Quand une série coréenne rencontre l’esprit des tapas cordouans

En tant que passionné de saveurs authentiques et d’émotions inattendues, je ne pouvais pas passer à côté du parallèle fascinant entre la scène finale de la troisième saison du ‘Jeu du Calamar’ et l’art andalou de surprendre à table. Vous me direz : quel rapport avec Córdoba et ses tapas ? Attendez… c’est justement cette capacité à étonner qui fait le charme des deux univers.

D’un côté, Hwang Dong-hyuk, le créateur visionnaire de la série, nous propulse dans un Los Angeles inattendu où Cate Blanchett devient la nouvelle figure mystérieuse du recrutement pour une version américaine du jeu. De l’autre, les chefs de Córdoba excellent à transformer un produit simple – comme le salmorejo ou le flamenquín – en une expérience inoubliable qui déstabilise agréablement les papilles.

La maîtrise du twist : entre ddakji et salmorejo revisité

Le twist final de ‘Squid Game’, c’est comme commander une tapa inconnue recommandée par un habitué – il faut oser sortir des sentiers battus ! Le choix de Cate Blanchett pour quelques secondes chargées de tension m’a rappelé certains chefs cordouans capables de captiver une salle entière avec un simple geste ou un plat minimaliste.

La clé ? Une vraie maîtrise du rythme et du silence. À Córdoba comme dans la série coréenne, on comprend vite que les détails comptent plus que tout. Ainsi Blanchett n’a eu besoin que d’un regard et d’un mouvement précis pour imposer sa présence. Les grands cuisiniers locaux font pareil : il suffit parfois d’un soupçon d’huile d’olive nouvelle ou d’une pincée de pimentón fumé pour donner toute son âme à un plat.

Ce que cette scène révèle sur la culture du suspense… culinaire ou cinématographique

Hwang Dong-hyuk explique avoir voulu « quelqu’un qui domine l’écran avec une ou deux paroles ». C’est exactement ce que recherchent les meilleurs hôtes cordouans : frapper fort sans en faire trop. Il y a là une vraie parenté culturelle – celle du minimalisme expressif et des surprises maîtrisées.

À ma table préférée rue Deanes, j’ai vu maintes fois des visages s’illuminer devant une simple tortilla de patatas revisitée façon andalouse. Comme Gi-hun face au nouveau recrutement en pleine rue californienne, on sent alors que quelque chose bascule. L’art de surprendre sans trahir l’authenticité est précieux – en cuisine comme à l’écran !

La transversalité des émotions partagées : autour d’un bar comme devant Netflix

Ce qui m’a frappé dans ce final n’est pas seulement le jeu brillant de Blanchett (que Dong-hyuk qualifie lui-même « d’incroyable »), mais cette communion silencieuse entre deux personnages dont on sent toute l’histoire en suspens. Lorsqu’on partage des tapas sous les voûtes fraîches d’une taverne cordouane, il se crée aussi ces petits moments suspendus où chacun devine chez l’autre un plaisir secret ou une histoire personnelle.

Les meilleures adresses locales – je pense ici à Bodegas Campos ou au discret bar Santos juste en face de la Mezquita – cultivent cet art subtil : suggérer plus que montrer, laisser deviner plutôt qu’expliquer. C’est là où la gastronomie rejoint la grande narration sérielle.

Transmission et renouvellement : quand Córdoba inspire les scénaristes (et inversement)

En 2025, alors que les tendances culinaires misent beaucoup sur la redécouverte des classiques avec une touche contemporaine, je retrouve dans ce caméo inattendu de Blanchett tout ce qui fait vibrer ma passion pour Córdoba : capacité à transmettre un héritage tout en osant prendre des risques.

D’ailleurs, il paraît qu’une version américaine du ‘Jeu du Calamar’ serait en gestation – rien n’est confirmé mais tous les ingrédients sont là : mystère, ancrage local (Los Angeles) et promesse de nouveaux rebondissements. En cuisine aussi, on voit débarquer chaque année des chefs venus d’ailleurs prêts à jouer avec les traditions sans jamais leur manquer de respect.

Si vous cherchez ces adresses où le suspense s’invite dans l’assiette sans jamais trahir la convivialité andalouse, osez pousser la porte de lieux hors circuit touristique classique (je vous livre volontiers mes coups de cœur lors de nos balades gourmandes).

Pour aller plus loin sur le phénomène ‘Squid Game’, jetez un œil à ce dossier complet sur l’avenir international de la série, très éclairant sur le croisement entre fiction globale et cultures locales.

Leçon finale : Osez le clin d’œil inattendu !

Ce crossover improbable entre Cate Blanchett et le monde impitoyable inventé par Dong-hyuk vient rappeler qu’en 2025 – autant dans nos séries phares que dans les ruelles vivantes de Córdoba – il reste toujours possible d’étonner ceux qui pensent avoir tout vu ou tout goûté.

La prochaine fois qu’on trinque ensemble autour d’une copa fraîche au pied des remparts romains, je vous lancerai peut-être un défi : oser commander « ce plat mystérieux » dont même votre serveur préféré ne voulait pas vendre la mèche… L’art du suspense appartient aux vrais épicuriens !

Questions fréquentes

Pourquoi parler de ‘Squid Game’ sur un site dédié à Córdoba ?

Parce que je vois dans cette scène finale toute l’intelligence qu’on retrouve aussi dans notre gastronomie locale : savoir surprendre sans perdre son identité. Cela inspire autant mon approche culinaire que ma curiosité pour les récits contemporains.

Où vivre cette expérience du « twist » culinaire à Córdoba ?

Tentez les bars confidentiels autour de San Lorenzo ou San Basilio ; c’est là que se cachent souvent ces tapas qui réservent leur lot d’émotions inattendues – bien loin des cartes touristiques classiques.

Y a-t-il un lien entre Los Angeles et Córdoba au-delà du scénario ?

Bien sûr ! Les deux villes partagent ce goût pour le métissage culturel et l’ouverture sur le monde – chaque bouchée peut raconter une histoire venue d’ailleurs mais profondément ancrée localement.

Photo by Liubomyr Vovchak on Unsplash

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