21 Tu utilises la mousse pour tes boucles ? J’ai découvert que la vraie magie vient de gestes précis – et pas du tout comme on le pensait. Curieuse ?Pourquoi la mousse a changé mes boucles (et ma vision du soin) Pendant des années sur les routes de Toscane ou d’Argentine, j’ai vu défiler mille façons d’apprivoiser les boucles. Mais la mousse ? On m’a longtemps dit que c’était un basique à appliquer « généreusement ». Pourtant, entre conversations animées dans les salons italiens et confidences de vigneronnes californiennes, j’ai découvert que l’art de bien utiliser la mousse est bien plus subtil… Ce n’est ni la quantité ni le prix qui font la différence. C’est une question de technique – d’attention presque artisanale – et, croyez-moi, cela change tout pour obtenir des boucles vivantes, aériennes et pleines de personnalité. L’erreur classique : trop de mousse, mauvaise méthode Si tu te reconnais dans cette scène – mains pleines de produit écrasé sur chaque section (même les racines !), résultat figé ou raplapla –, tu n’es pas seule. Pendant des années, beaucoup ont cru qu’il fallait saturer la chevelure. Faux : ce geste date des années 80, époque où on cherchait surtout à dompter le volume. Aujourd’hui, on recherche au contraire du rebond naturel. Les pros « curly » de TikTok l’ont bien compris : c’est en dosant avec parcimonie et en s’appliquant sur cheveux très humides qu’on obtient ces boucles si enviées. « La mousse ne doit jamais toucher vos racines directement ! La légèreté commence dès l’application. » Ma routine réinventée : gestes précis et résultats bluffants Voici ce qui fait toute la différence : Vous pourriez être interessé par Vélez-Málaga : la nouvelle destination de luxe à découvrir depuis Londres ! 10 novembre 2023 Foie en Córdoba : une expérience culinaire inoubliable 16 mars 2025 Cheveux bien mouillés (presque dégoulinants !) : la mousse glisse mieux et ne cartonne pas. Application sur grandes mèches : quelques noisettes dans la main, puis réparties doucement des mi-longueurs jusqu’aux pointes. Peigne vers le haut : cela crée naturellement du volume. Oublie l’ancien réflexe de brosser vers le bas ! Scrunch dans tous les sens : c’est LE geste magique. Presse délicatement les mèches vers le cuir chevelu ; fais-le tête en bas et sur les côtés. Séchoir avec diffuseur : basse température pour préserver la forme sans assécher. Quand j’applique cette routine après une dégustation tardive chez une amie sommelière à Porto, je me retrouve chaque matin avec des boucles définies mais jamais figées… comme un bon vin vivant ! Les astuces venues d’ailleurs : mon tour du monde des boucles En Nouvelle-Zélande, certaines utilisent un combo huile légère + mousse pour sceller l’hydratation avant le scrunch final. À Mendoza, j’ai vu des vigneronnes préparer un spray hydratant maison (eau minérale + gel aloe vera) pour humidifier leurs cheveux entre deux applications. L’idée ? Toujours partir d’une base humide et jouer sur les couches fines plutôt qu’une overdose de produit. Chaque terroir a ses secrets… mais toutes s’accordent sur ce point : patience et douceur sont reines. Questions fréquentes Est-ce que la mousse convient à tous types de boucles ? Non : elle fonctionne mieux pour les cheveux ondulés à frisés (types 2B à 3C). Pour les cheveux crépus (type 4), il vaut mieux privilégier des crèmes riches ou gels adaptés. Peut-on mixer plusieurs produits sans alourdir ? Oui – mais il faut tester ! Commence par peu de produit et superpose par étapes (par exemple un leave-in hydratant avant la mousse). Évite simplement d’enchaîner gel ultra-fixant ET mousse si tes cheveux sont fins. Faut-il toujours sécher au diffuseur ? Ce n’est pas obligatoire mais cela aide énormément à fixer le mouvement sans frisottis. L’air libre fonctionne aussi si tu veux garder une texture plus douce – surtout en été ! Où trouver plus d’astuces fiables ? Je recommande souvent le site Curl France ainsi que l’excellent guide scientifique de La Belle Boucle. Photo by Danielle-Claude Bélanger on Unsplash cheveuxtutoriel 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail Megan Gordon Megan is a world wanderer with an unquenchable love for wine and journalism; all her life, she has been on the road to vineyards, telling stories of how people connect with their roots. From Tuscany's rolling hills to California's sun-kissed vineyards, she has tasted wines from every corner of the globe, developing a keen palate and a deep appreciation for the art of winemaking. entrée prédédente Cheveux en récession : Pourquoi ce look désinvolte séduit Cordoue (et moi aussi) entrée suivante Pourquoi voit-on des boules rouges sur les câbles ? 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