Festival Cosmopoética : Pourquoi le choix de la nouvelle direction en 2025 va tout changer

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Découvre comment l’élection de la direction du festival Cosmopoética va impacter l’âme poétique de Cordoue dès 2025 – coulisses et révélations incluses !

Un nouveau souffle pour Cosmopoética : l’enjeu derrière une décision

Ah, Cosmopoética… Ce festival n’est pas qu’un événement sur la poésie à Cordoue. Pour nous, habitants, c’est un peu le baromètre de notre créativité locale et de notre ouverture au monde. Depuis sa création, il attire les plus grandes plumes internationales comme les talents émergents, tissant chaque année des liens entre passé littéraire et avenir artistique.

Mais savais-tu que le choix de sa direction pour 2025 n’a rien d’anodin ? Cette fois-ci, la procédure a été aussi tendue qu’une rime finale lors d’un concours d’improvisation ! En tant que journaliste et passionnée par ce rendez-vous unique, je me suis plongée dans les coulisses de cette élection où trois entreprises étaient en lice après une première sélection rigoureuse.

Après quelques rebondissements administratifs (liés notamment à une interprétation erronée du prix incluant ou non la TVA – ah, ces subtilités contractuelles…), la commission culturelle a finalement statué : aucune offre n’était déraisonnable. Résultat ? Un soulagement partagé mais surtout une immense attente. L’édition 2025 promet bien des surprises…

Pourquoi cette nomination est cruciale pour la poésie à Cordoue

Changer de direction à Cosmopoética, c’est comme choisir un nouveau chef d’orchestre pour une symphonie jamais écrite. Chaque directeur apporte sa sensibilité : certains privilégient l’expérimentation et les formats hybrides ; d’autres s’ancrent dans la tradition orale andalouse. J’ai pu discuter avec plusieurs poètes locaux récemment ; leur principal espoir ? Que la nouvelle équipe ose s’aventurer hors des sentiers battus sans sacrifier l’âme conviviale du festival.

En Andalousie en 2024-2025, on observe un retour vers des formes poétiques engagées, proches des réalités sociales (écologie, diversité linguistique, féminisme). Le prochain Cosmopoética saura-t-il s’inscrire dans cette mouvance tout en restant un carrefour international ? La tension créative est palpable – et c’est justement ce qui rend le choix si fascinant.

« La poésie ne doit pas seulement être entendue ; elle doit être vécue ensemble », m’a confié Lola Domínguez lors du dernier microthéâtre organisé pendant le festival.

Coulisses d’un processus transparent (enfin !) – chronique d’une évolution locale

Il y a quelques années encore, les nominations artistiques manquaient parfois de clarté dans notre ville. Mais avec ce nouvel appel d’offres pour Cosmopoética (consultable sur la plateforme officielle), j’ai noté un effort réel de transparence et d’équité. Les critères allaient bien au-delà du simple CV : expérience en innovation culturelle, réseau international solide, capacité à inclure les jeunes voix cordouanes…

Cette démarche ouvre la voie à davantage de confiance entre organisateurs et public. J’y vois une belle occasion pour renouer avec la jeunesse locale qui boude parfois ces manifestations perçues comme "trop institutionnelles". On parle même d’ateliers dans les lycées dès mars prochain !

Nouveaux défis : inclusivité et dialogue intergénérationnel

L’avenir de Cosmopoética se jouera aussi sur deux axes majeurs : l’inclusivité (autant sociale que linguistique) et le dialogue entre générations. J’ai moi-même animé l’an dernier un atelier où lycéens francophones et hispanophones échangeaient leurs propres textes – expérience bouleversante !

Les chiffres parlent : en 2023, près de 30% des participants avaient moins de 25 ans selon El Día de Córdoba. Il faut absolument préserver cette dynamique et éviter toute fracture générationnelle.

Pour moi qui ai grandi au rythme des lectures publiques sur les places ombragées du centre historique, voir la poésie irriguer nos quartiers reste essentiel. Les nouveaux responsables devront renforcer ces ponts invisibles entre "grandes scènes" et espaces alternatifs (cafétérias associatives ou patios privés).

Quel visage pour Cosmopoética demain ? Mon pronostic personnel…

Si je devais miser sur quelques tendances fortes pour l’édition à venir :

• Plus de collaborations transfrontalières (des auteurs marocains ou italiens sont pressentis)
• Une ouverture accrue aux formes numériques (podcasts poétiques live)
• Des résidences artistiques itinérantes mêlant parole poétique et patrimoine architectural cordouan.
• Une programmation équilibrée entre têtes d’affiche internationales et collectifs locaux émergents.

Mais surtout… Je rêve d’un festival où chaque habitant puisse se reconnaître dans au moins une proposition artistique. Où chaque coin oublié redevient scène potentielle – car ici à Cordoue on sait mieux que personne que l’art fleurit souvent là où on ne l’attend pas.

N’hésitez pas à suivre mon fil Twitter lors du lancement officiel cet automne – je vous promets anecdotes inédites depuis les loges !

Questions fréquentes

Qui peut participer aux ateliers proposés pendant Cosmopoética ?

Tout le monde ! Certains ateliers sont réservés aux scolaires ou étudiants mais beaucoup sont ouverts au grand public sans prérequis particulier.

La programmation sera-t-elle accessible en français ou anglais ?

Une partie croissante des événements propose désormais traduction simultanée ou supports bilingues. Renseignez-vous sur le site officiel avant votre venue.

Comment rester informé(e) sur les appels à participation ?

Abonnez-vous à la newsletter du festival ou consultez régulièrement leur page Facebook officielle où toutes les annonces sont publiées.

Photo by Quinten de Graaf on Unsplash