Actualités Ce que la boue a détruit à jamais par María Fernanda González 7 novembre 2024 3 La solidarité face à la catastrophe Le récent Puente de la Solidaridad relie la ville de Valence aux localités touchées par la DANA. Chaque jour, des milliers de bénévoles traversent ce pont, apportant leur aide. La ville est à la fois un symbole de solidarité et de désastre. Sur ce viaduc, les gens avancent silencieusement, souvent avec une pelle à la main. En descendant les escaliers, des affiches avec le slogan « El poble salva al poble » se mêlent à des appels à l’aide. Ces messages témoignent de la détresse des habitants, comme celui d’une personne cherchant sa amie disparue. Ce pont devient ainsi un axe vital pour la gestion de l’aide envoyée depuis des villes comme Cordoue. Les conséquences dévastatrices de la DANA Huit jours après la catastrophe, de nombreuses rues à Alfafar sont encore inondées. L’eau atteint parfois la hauteur des genoux, rendant la situation insupportable. Les habitants doivent porter des masques pour respirer à cause de l’odeur insupportable. Carlos de León se souvient de ce moment tragique où l’eau a envahi son domicile. Il a dû plonger pour échapper à la montée des eaux. Malheureusement, il ne reste de sa maison que quatre murs inutilisables. Les habitants, encore sous le choc, s’efforcent de nettoyer les rues tout en gardant espoir de se relever. Renaître de ses cendres Les histoires de destruction sont nombreuses, comme celle de Zhou, une femme chinoise qui a perdu son bar. Elle pleure la perte de son rêve, construit avec tant d’efforts. De même, Jorge Donderis a transformé sa boucherie en un point d’aide après la catastrophe. Il souhaite honorer la mémoire de son cousin décédé cette nuit-là. D’autres, comme Gerardo Ramírez, inspectent les restes de leurs commerces, témoignant de la douleur de voir des générations de travail anéanties. Ces récits illustrent la résilience des habitants, qui, malgré la perte, cherchent à reconstruire leur vie et à soutenir leur communauté. media: Diario Córdoba – A. J. González source: Diario Córdoba – Lo que el lodo arrasó para siempre Solidarité 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María, globe-trotteuse passionnée de Córdoba et de journalisme, a parcouru le monde entier, explorant Córdoba et dévoilant des histoires qui relient les gens à leur patrimoine. Des rues historiques de l'Andalousie aux villes dynamiques du monde entier, elle s'est immergée dans diverses cultures, développant une profonde compréhension de la région et de ses habitants. Maîtrisant le français, Megan allie ses compétences linguistiques et son expertise journalistique pour raconter des histoires captivantes et mettre en lumière l'essence unique de chaque lieu qu'elle visite. Son dévouement à la narration garantit que la riche culture et les traditions de Córdoba et au-delà sont partagées avec un public mondial. entrée prédédente Journées d’Histoire au château de Montilla : Espagne XVIII-XIX entrée suivante Famille d’un maître à Córdoba perd maison et voitures à Valencia A lire aussi Top 3 des actualités matinales à Córdoba 22 novembre 2024 Météo à Córdoba : week-end stable et légère... 22 novembre 2024 Movimiento Ciudadano : limiter l’urbanisation selon le PGOU... 22 novembre 2024 Ce que recherchent les chasseurs lors d’une monterie 22 novembre 2024 Trois entreprises choisies pour gérer le Centre d’Urgence... 22 novembre 2024 Renouvellement du Mouvement Citoyen : semaine prochaine 22 novembre 2024 Aucorsa achète 15 nouveaux bus hybrides au gaz... 22 novembre 2024 Survivre à un coup de couteau : renaître... 22 novembre 2024 Limitation à 100 casetas et réorganisation du salon... 22 novembre 2024 Tesla ouvre la première électrolinera exclusive à Córdoba 22 novembre 2024