38 La Bourse de Pratique des Danseurs de Malinche Dans le cadre du spectacle musical "Malinche", dirigé par Nacho Cano, une décision significative a été prise concernant la rémunération des 17 danseurs mexicains effectuant un stage à Madrid. Initialement fixée à 300 euros par mois, la somme allouée pour cette bourse a été portée à 500 euros. Cette augmentation a été confirmée par un rapport d’inspection du travail, qui a également révélé des détails sur les conditions des danseurs. Les Conditions de Stage et les Allocations Selon les informations divulguées dans le rapport, les danseurs mexicains étaient considérés comme des stagiaires et ne nécessitaient pas d’inscription à la Sécurité Sociale. En plus des 500 euros par mois, chaque danseur recevait 150 euros supplémentaires pour couvrir ses dépenses alimentaires au supermarché DIA et bénéficiait de repas fournis par la production. Leurs horaires de travail s’étendaient du lundi au vendredi, de 9h30 à 18h. Les Accusations de Travail Non Rémunéré Des rumeurs ont circulé concernant des travaux parallèles de la part des danseurs, notamment des accusations selon lesquelles ils auraient servi des boissons dans un bar local. Cependant, les 16 autres stagiaires ont nié ces allégations, affirmant que leur participation au spectacle était un complément de leur formation théorique. La Formation et le Statut des Stagiaires La direction de "Malinche" a fourni des contrats signés avec deux entités, Jana Producciones et la Fondation Casa de México à Madrid, attestant que la formation des stagiaires impliquait différentes disciplines, notamment le chant et la danse. L’inspection a conclu que ces 17 danseurs n’étaient pas utilisés pour des emplois rémunérés au sein de l’entreprise et que leurs activités s’inscrivaient dans le cadre de la formation théorique, exemptant ainsi leur situation de tout lien de dépendance. Conclusion : Des Pratiques Légitimes En fin de compte, le rapport a affirmé qu’aucune preuve d’une relation de travail déguisée n’avait été trouvée. Ainsi, les pratiques des stagiaires étaient considérées comme légitimes et axées sur leur développement professionnel. Cette décision pourrait être perçue comme une victoire pour Nacho Cano, confirmant que les conditions de travail au sein de "Malinche" respectaient les normes de formation professionnelle. source : Diario Córdoba – Nacho Cano aumentó de 300 a 500 euros al mes el importe de la beca que pagaba a los becarios mexicanos Vous pourriez être interessé par Flamenco à Montilla : Secrets d’une tradition vibrante 8 mai 2025 L’Égypte à Cordoue? Ah, l’enfance éternelle enfin révélée! 17 février 2025 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Décès de John Amos, célèbre acteur de ‘Raíces’ et Kunta Kinte entrée suivante Isabel Aaiún : Je suis fière d’être ‘la potra salvaje’ A lire aussi Orchestre de Cordoue : tu le savais ?... 5 septembre 2025 Cordoue, où l’amitié ressemble à un crush: voilà... 5 septembre 2025 Filmoteca de Andalucía à Cordoue : tu le... 4 septembre 2025 À Cordoue, Romero de Torres vs Warhol: tu... 4 septembre 2025 Sorolla revient avec une plage oubliée: ce que... 3 septembre 2025 Córdoba, résidence bretonne: mon carnet d’initié pour une... 3 septembre 2025 Arcana à Córdoba: la Mezquita chuchote une élégance... 2 septembre 2025 Córdoba et le violon flamenco: le retour fiévreux... 1 septembre 2025 Pozoblanco, deux générations en une nuit: Alvama Ice... 1 septembre 2025 À Córdoba, mon détour par le hangar “Eiffel”... 1 septembre 2025