Partager 0FacebookTwitterPinterestEmail 137 L’incroyable voyage de Robe Iniesta à travers sa carrière lors de son concert à la Axerquía Le Teatro de la Axerquía a été témoin d’un voyage mémorable à travers la carrière de Robe Iniesta hier soir, capturant quelques-uns des succès d’Extremoduro, des chansons de son dernier album d’or Mayéutica, et se concentrant, bien sûr sur ses dernières créations, stars de sa nouvelle tournée "Ni santos, ni inocentes". Robe a su captiver son public et créer une atmosphère unique. Sa prestation a laissé personne indifférent. Malgré l’enthousiasme palpable du public dès les premiers instants, il est difficile de rassembler une audience aussi intergénérationnelle et de les faire voyager ensemble dans un univers si intime et "rock". Depuis sa participation à Ley innata, l’un des albums les plus influents de l’histoire du rock espagnol, avec des titres tels que Dulce introducción al caos et Coda flamenca, jusqu’à nous offrir un aperçu de son âme avec Nada que perder, en prenant quelques pauses pour laisser les plus mélancoliques pousser leur fameux cri de ralliement "dejar de lado la vereda de la puerta de atrás". La véritable essence de la soirée ne résidait pas seulement dans les grands succès d’Extremoduro, ni dans la nature prévenante de Robe envers sa musique et ses revendications, marquées par des pauses méritées. Roberto Iniesta a montré que son talent créatif et son enthousiasme pour composer et s’embarquer dans de nouveaux projets était toujours intact. Des chansons comme Nada que perder et Rozar contigo ont démontré non seulement sa grande forme, mais aussi l’importance de ses textes et l’émotion qu’ils provoquent. Le Teatro de la Axerquía, avec son acoustique impeccable et son public fervent, s’est avéré être le lieu parfait pour sa performance. Les lumières, soigneusement synchronisées avec le rythme endiablé de la batterie, ont ajouté une dimension supplémentaire au spectacle. Les autres musiciens n’étaient pas seulement une simple compagnie. En plus de leur amusement évident, exprimé à travers des danses, des rires et des plaisanteries pour voir qui ferait le meilleur solo, ils ont également apporté une précision chirurgicale lors de l’exécution des chansons et une passion qui se propageait autant sur scène que dans le public. La présence spéciale du violon dans la plupart du répertoire et la capacité de la guitare électrique à passer de la nouveauté à la nostalgie ont fait de ce concert un voyage unique. Robe a clôturé la soirée avec une interprétation émouvante de Ama, ama, ama y ensancha el alma, un dernier chant et message qu’il a offert à la ville. La sensation de plénitude et de gratitude était palpable dans l’air alors que la Axerquía disait au revoir à son idole avec une ovation qui résonnait dans la nuit de vendredi. source : Cordópolis – De viaje por lo más íntimo y cañero de Robe Vous pourriez être interessé par Journalisme cordouan en 1936 : secrets d’une passion fauchée trop tôt 12 juin 2025 Córdoba sauvage : secrets indomptés à découvrir 16 juillet 2025 Partager 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Des vacances originales ? Découvrez les ‘glampings’ incontournables d’Andalousie pour cet été entrée suivante Les plages les plus proches de Cordoue se trouvent à moins de 150 kilomètres A lire aussi Tu ne l’avais jamais remarqué ? La poésie... 22 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais vécu ainsi: la dehesa... 22 octobre 2025 Récit inédit: comment la Toussaint se raconte en... 21 octobre 2025 Ils tirent leur révérence : comment Medina Azahara... 20 octobre 2025 Le détail oublié qui change tout: dormir (ou... 20 octobre 2025 Vu de l’intérieur: Paco Montalvo électrise 150 musiciens... 19 octobre 2025 Reporté mais mieux placé: pourquoi le concert de... 18 octobre 2025 Pourquoi tout le monde en parle: La Noche... 18 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué : les ‘Cordovas’... 18 octobre 2025 Le détail oublié qui change tout : Medina... 17 octobre 2025