121 La passion de José Luis Vicarios pour l’art de la sculpture José Luis Vicarios est né à Santander et toute sa vie a été dédiée à la sculpture. Il a étudié dans les meilleures écoles artistiques de Paris, New York ou Berlin, une passion qu’il entretient avec son travail en tant que professeur à la Faculté des Beaux-Arts de Grenade. Tout au long de sa carrière, il a reçu de nombreux prix, comme celui qui lui a été décerné en 2000 pour sa créativité dans l’art contemporain par la Fondation Pilar i Joan Miró, appelé le "Premi Pilar Juncosa i Sotherby’s". De plus, il a eu l’opportunité d’exposer ses œuvres au Musée d’Art Contemporain de New York lors d’un projet de trois ans. Une carrière polymorphe Le sculpteur ne s’est pas seulement focalisé sur l’art plastique, mais tout au long de sa carrière, il a également partagé ses réflexions sur l’art à travers quatre recueils de poèmes. Le premier, publié en 2015, s’intitule "Deriva" et porte sur les vitrines du MET Museum de New York qu’il visitait souvent lors de son séjour dans la ville des gratte-ciel. Pour sa deuxième œuvre, "Textos Esculpidos", il s’est concentré sur son expérience de travail pour le Musée d’Art Contemporain de New York. Son troisième ouvrage, "Tremolor", a été édité par le Musée de Pollença en 2022. Et maintenant, Vicarios présente son quatrième recueil de poèmes, intitulé "Coda", sur lequel il a travaillé pendant cinq ans pour refléter toutes ses pensées et ses réflexions au cours des nombreuses expositions qu’il a réalisées pendant cette période. Ce livre cherche à présenter tous les processus créatifs qui se cachent derrière une exposition. Pour ce faire, l’auteur a divisé le livre en cinq chapitres, chacun reflétant un des cinq sens : la vue, le goût, le toucher, l’ouïe et l’odorat. Chaque chapitre comprend une série de poèmes qui expriment les sentiments que l’auteur associe à ce sens. Un design épuré pour mettre en valeur les mots L’un des aspects les plus remarquables de ce recueil est son design graphique, qui divise les chapitres en trois parties distinctes en fonction de la police et de la mise en page de chaque texte. On notera également l’absence d’images ou d’illustrations, mais selon l’auteur lui-même : "Le texte n’a pas besoin d’accompagnement visuel car les mots eux-mêmes expriment les sentiments que l’on souhaite transmettre." Les seules images de ce livre se trouvent sur la couverture et la quatrième de couverture, qui représentent une œuvre que l’auteur a réalisée pour une exposition au Musée de Pollença à Majorque. Dans le livre lui-même, l’auteur explique l’importance des mots pour lui, afin de pouvoir développer les pensées qui lui viennent, mais qui sont souvent trop superficielles pour pouvoir transmettre tout ce qu’il ressent. "J’écris en sachant que le langage n’est qu’une partie minime de ce que je pense, mais j’ai la certitude que cela ouvre la porte vers un monde rempli de nuances qui ne m’appartiennent pas et qui me dépassent." La présentation officielle de "Coda" La présentation officielle de "Coda" aura lieu le 15 mars prochain au Centre José Guerrero à 20h00 et sera présidée par l’auteur lui-même, ainsi que par Víctor Borrego, également professeur à la Faculté des Beaux-Arts de l’Université de Grenade au sein du département de Sculpture, et par l’écrivain et gestionnaire culturel Jesús Ortega. Ce sera l’occasion idéale pour découvrir cette nouvelle œuvre littéraire qui promet de captiver tous les amoureux de l’art et de la poésie. source : El Día de Córdoba – El escutor José Luis Vicario presenta su cuarto poemario ‘Coda’« Vous pourriez être interessé par Aitana conquiert l’Italie : elle chantera lors de la prochaine édition du Festival de Sanremo 26 janvier 2024 La soprano Hevila Cardeña brille dans la ‘Carmina Burana’ de la Fura : une interprétation surprenante et moderne de la célèbre O fortuna 1 novembre 2023 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Quelle salle de l’Université de Granada est choisie comme lieu de tournage pour l’émission ‘Maestros de la Costura’ ? entrée suivante Juan Vellido : les mots de ce livre ont été écrits avec des larmes aux yeux A lire aussi À Cordoue, Cariño bouscule la nuit: 25+ only,... 4 septembre 2025 Medina Azahara au couchant: ma visite théâtralisée la... 4 septembre 2025 Córdoba, vins Montilla‑Moriles et cheesecakes: ma soirée la... 3 septembre 2025 Los Califas, une rentrée électrique à Córdoba: Antoñito... 3 septembre 2025 Córdoba, cines de verano: ma soirée du 3... 3 septembre 2025 Córdoba gourmande, ma Judería secrète: deux adresses et... 2 septembre 2025 Dans Córdoba la nuit, une séance Warren réveille... 2 septembre 2025 Cines de verano de Córdoba: ma soirée idéale... 2 septembre 2025 Córdoba accueille Álvaro Casares: comment vivre son Check... 2 septembre 2025 Córdoba: le charco de Carcabuey, le cocktail rural... 31 août 2025