Loisirs La seconde chanson choisie par Eden Golan pour représenter Israël, ‘Dancing Forever’, également rejetée par l’Eurovision par María Fernanda González 28 février 2024 115 Israel peut potentiellement être disqualifié de participer à l’Eurovision 2024. Selon les informations du média YNET, l’UER, organisatrice du festival européen, aurait rejeté la deuxième chanson prévue pour Eden Golan, la représentante israélienne, intitulée ‘Dancing Forever’. Cela serait le deuxième refus consécutif de l’UER, après que la chaîne de télévision israélienne KAN lui ait envoyé la chanson pour une révision et une approbation préalable. Il y a quelques jours, l’Union Européenne de Radiodiffusion a également rejeté une première chanson intitulée ‘October Rain’ pour des raisons politiques. Plus précisément, selon plusieurs sources israéliennes, les paroles de cette chanson en anglais et en hébreu font référence aux attaques terroristes perpétrées par le Hamas dans le sud d’Israël le 7 octobre dernier, d’où son titre traduit en espagnol ‘Lluvia de Octubre’, qui signifie ‘Pluie d’Octobre’. Selon le média cité, ce nouveau refus de l’UER pour la deuxième chanson aurait accru le "pessimisme" en Israël quant à sa participation à l’Eurovision 2024. Il est à noter que la chaîne KAN avait précédemment déclaré qu’elle était en dialogue avec l’UER à ce sujet, mais qu’elle n’était pas prête à modifier sa candidature pour le concours européen. "Nous n’avons pas l’intention de remplacer la chanson", a déclaré la chaîne publique sur son site internet, laissant ainsi la porte ouverte à une éventuelle non-participation d’Israël à l’Eurovision 2024. Une décision qui divise La possible disqualification d’Israël a suscité de vives réactions dans le pays. D’un côté, certains soutiennent la décision de l’UER en faveur de l’objectif premier de l’Eurovision : promouvoir la paix et l’unité à travers la musique. Selon eux, les paroles de la chanson entachent cet objectif en évoquant des événements politiques. Vous pourriez être interessé par Josie dévoile tous les détails de la robe vivante de Pedroche: Il est arrivé dans un seau 3 janvier 2024 Exploration des vies antérieures : la quête de notre moi et de notre inconnu 31 octobre 2023 D’un autre côté, plusieurs personnes expriment leur désaccord, estimant que la décision de l’UER est injuste et que la chanson devrait être jugée sur sa qualité artistique et non sur son contenu politique. Certains y voient même une forme de censure et de pression pour que les artistes israéliens ne puissent pas exprimer librement leurs opinions. La possible disqualification d’Israël soulève également des inquiétudes quant à la participation de ce pays au concours dans les années à venir. Si les tensions politiques et les critiques de l’UER perdurent, Israël pourrait être exclu définitivement de l’Eurovision. Un historique tendu Cette controverse autour de la chanson israélienne n’est pas la première du genre dans l’histoire de l’Eurovision. En 2019, le public a notamment été témoin d’une protestation de la Palestine lors de la performance de l’artiste israélienne Netta Barzilai, qui avait remporté le concours l’année précédente. De plus, en 2018, l’édition se déroulant en Israël a créé la polémique chez certains téléspectateurs. Certains ont accusé le pays d’utiliser le concours pour "blanchir" son image et occulter ainsi les conflits politiques et les violations des droits de l’homme. Il est donc clair que la participation d’Israël à l’Eurovision a toujours été un sujet délicat qui suscite à la fois des soutiens et des critiques. Une décision finale à venir Face à cette situation délicate, l’UER devra trancher et prendre une décision finale quant à la participation d’Israël à l’Eurovision 2024. Si le pays est finalement disqualifié, ce sera la première fois depuis près de 20 ans qu’Israël ne sera pas représenté à ce concours européen. Cela pourrait également avoir des répercussions sur les relations entre l’UER et Israël, ainsi que sur la perception de ce pays dans l’industrie musicale européenne. Affaire à suivre. 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María, globe-trotteuse passionnée de Córdoba et de journalisme, a parcouru le monde entier, explorant Córdoba et dévoilant des histoires qui relient les gens à leur patrimoine. Des rues historiques de l'Andalousie aux villes dynamiques du monde entier, elle s'est immergée dans diverses cultures, développant une profonde compréhension de la région et de ses habitants. Maîtrisant le français, Megan allie ses compétences linguistiques et son expertise journalistique pour raconter des histoires captivantes et mettre en lumière l'essence unique de chaque lieu qu'elle visite. Son dévouement à la narration garantit que la riche culture et les traditions de Córdoba et au-delà sont partagées avec un public mondial. entrée prédédente Le dernier avant-goût du nouvel album de Califato 3/4 met en vedette le Geoparc de Grenade entrée suivante La Estrella Azul : Javier Macipe présente une conférence à Córdoba sur son film A lire aussi Top activités à Córdoba pour le week-end du... 28 novembre 2024 Découvrez les vraies uvas de la chance, originaires... 28 novembre 2024 Célébrez le Día de la Bandera d’Andalousie à... 27 novembre 2024 Plats incontournables à déguster dans un asador cordobés 27 novembre 2024 Prix et menu du seul restaurant trois étoiles... 27 novembre 2024 World Cheese Awards 2026 : Les meilleurs fromages... 26 novembre 2024 Noor et Choco conservent leurs étoiles Michelin en... 26 novembre 2024 Trinitrán : 20 ans de bijoux d’exception à... 26 novembre 2024 Le restaurant de Córdoba avec son propre fantôme 26 novembre 2024 Restaurants étoilés et Bib Gourmand à Córdoba selon... 25 novembre 2024