Partager 0FacebookTwitterPinterestEmail 128 La marche de José Luis Ábalos au groupe mixte après avoir refusé de démissionner de son mandat de députés n’a pas été bien accueillie seulement au sein des rangs socialistes. Néstor Rego, député du BNG, parti affilié à ce groupe parlementaire, était mardi soir dans l’émission "Todo es mentira" dans laquelle il a commenté la décision ferme de l’ancien ministre des Transports après l’éclatement de l’affaire Koldo : "Le contexte dans lequel cette décision a été prise n’est pas du tout édifiant". Le député du parti nationaliste galicien a déclaré : "C’est un groupe mixte, pas de sans-appartenance. Le groupe mixte est constitué de trois forces politiques qui obtiennent une représentation mais pas suffisamment pour constituer un groupe propre. Plus tard, Podemos, pour des raisons politiques, s’en sépare. Et je pense que ce cas est différent". Rego a également souligné que "la logique est d’assumer des responsabilités politiques", comme l’a demandé le PSOE à Ábalos : "Je conçois l’activité politique comme un engagement militant pour contribuer à une cause. Si mon parti, celui qui m’a placé sur les listes électorales, estime que je dois le quitter (le siège), il est logique que je le fasse". "La décision lui appartient et nous essaierons de coexister de la manière la plus harmonieuse possible, mais ce que nous ne voulons pas, c’est que des décisions comme celle-ci affectent notre capacité d’intervention politique car en tant que force politique, nous avons le droit à cela", a expliqué le député Rego sur le programme de Cuatro. D’autre part, le député a également lancé une pique à la stratégie politique du parti populaire face à l’affaire Koldo : "Il est logique qu’ils mettent l’accent sur l’affaire Koldo. J’ai dit ce matin lors d’une conférence de presse que le BNG est en faveur de l’enquête jusqu’au bout des conséquences. Nous devons être impitoyables avec la corruption. Ce qui nous laisse perplexe, c’est cette énergie du Parti populaire quand les affaires les concernent : ils les justifient, les étouffent ou les éclipsent". "L’exemple est l’affaire qui touche le frère de la présidente de la Communauté de Madrid. Je pense qu’il ne peut pas y avoir deux poids et deux mesures en matière de corruption. Nous n’avons qu’un seul critère : la lutte contre la corruption", a commenté Rego, en étant contredit par Risto Mejide et le collaborateur Javier Chicote, selon lesquels les tribunaux espagnols et européens ont classé l’exemple cité pour montrer la double mesure appliquée par le PP dans les affaires de corruption. La prise de position ferme de Néstor Rego montre l’indignation face à la décision de José Luis Ábalos et son refus de quitter son siège de député. Pour le BNG, cette situation ne peut pas être tolérée et des responsabilités politiques doivent être assumées, quel que soit le parti politique auquel on appartient. Vous pourriez être interessé par Lola Índigo: un concert historique au Bernabéu complet en moins de quatre heures 15 mars 2024 Plage de Calahonda à Nerja : secret bien gardé à deux heures de Córdoba ? 9 juin 2025 Le débat sur la corruption en Espagne est toujours d’actualité et il est essentiel que toutes les forces politiques fassent front commun dans la lutte contre ce fléau. Il ne peut y avoir une tolérance ou une minimisation de la part d’un parti politique en fonction de ses intérêts ou de ceux de ses membres. Les citoyens attendent de leurs représentants politiques qu’ils fassent preuve de transparence et de probité. Il est donc primordial, pour la santé de la démocratie, que les affaires de corruption soient traitées avec rigueur et impartialité, sans distinction de parti. En tout cas, la décision de José Luis Ábalos et la réaction du BNG montrent l’importance des enjeux actuels en Espagne en terme de lutte contre la corruption et de transparence politique. Espérons que cela conduira à une prise de conscience générale et à une meilleure gestion de l’ensemble des cas de corruption qui peuvent éclater à tout moment. Partager 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Jorge Rando exposera un monographie au Shenzhen Art Museum en Chine, devenant le premier artiste occidental à le faire. entrée suivante Auditions pour les comédies musicales de Banderas à Málaga : les sélections commencent pour 40 rôles parmi 300 participants A lire aussi Pourquoi tout le monde s’arrête ici: le Marathon... 8 octobre 2025 Vu de l’intérieur : Jardín Alhambra a fait... 6 octobre 2025 Vu de l’intérieur: comment un soir à La... 5 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais entendu ainsi: El Kanka... 4 octobre 2025 Vu de l’intérieur: comment El Kanka et Beret... 4 octobre 2025 Le détail oublié qui change tout: les ‘Noches... 4 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué : ce week‑end,... 3 octobre 2025 Tu ne l’avais jamais remarqué: 12 bourses de... 29 septembre 2025 Bad Bunny au Super Bowl 2026 : voilà... 29 septembre 2025 Vu de l’intérieur: Ana Belén fait bouillir l’asphalte... 28 septembre 2025