La tempête Ciarán a rendu le travail des journalistes difficile alors qu’elles couvraient ses ravages en direct des rues de Cordoue, en Espagne. Paula Filgueiras et Guadalupe Sanchez (TVE) ainsi que Carmen Chao (La Mirada Crítica) ont eu des problèmes pour rapporter l’actualité en direct en raison de cette intempérie, qui a enregistré des rafales de vent allant jusqu’à 160 km/h dans certaines zones.
Chao a été la première à rencontrer des difficultés tout au long de cette journée mouvementée. Elle a même perdu le son de sa connexion en direct avec le programme La Mirada Crítica depuis la plage de Riazor à A Coruña, mais a terminé sans trop de problèmes: « Ce n’est pas un jour pour se coiffer ni pour ouvrir un parapluie ici en Galice ».
Filgueiras, quant à elle, a eu des problèmes plus importants en essayant de tenir son parapluie pendant une connexion en direct avec la chaîne Canal 24 heures de TVE depuis A Coruña. « Je ne sais pas si vous m’entendez, et si vous avez la capacité de transmettre cette connexion en direct. Nous vous remercions pour vos efforts pour nous informer de ce qui se passe en ce moment dans le nord-est de la Péninsule », a déclaré Lluis Guilera.
« Comme vous pouvez le constater, la mer est très agitée. Nous sommes en alerte rouge et nous sommes à l’entrée de la baie. Autrement dit, nous ne sommes pas en mer, où les vagues peuvent atteindre 9 mètres de hauteur. C’est pourquoi notre flotte de pêche reste amarrée », a raconté Filgueiras. « Eh bien, merci beaucoup, Paula, pour cette connexion en direct, et comme on dit, merci pour les efforts que notre collègue fournit pour nous informer. Allez dans une zone plus sûre », a répondu Guilera depuis le plateau.
Le métier de reporter n’est pas facile. #Ciarán pic.twitter.com/ZhJfpgUaGl— Natalia Álvarez (@Natalia_Who) 2 novembre 2013
Guadalupe Sánchez a également rencontré des problèmes similaires lors d’une autre connexion en direct avec le journal télévisé régional andalou de TVE depuis une plage d’Almería. La journaliste de la chaîne publique a eu du mal à tenir son micro pendant sa chronique en raison des rafales de vent: « En fait, j’ai du mal à rester debout ».
source : Diario Córdoba
