184 Les «relatos disparatados» est un travail de José Rey Salas qui d’après l’éditeur Círculo Rojo, « se distingue par son sens de l’humour et son originalité ». «Mes histoires apportent une singularité et un style personnel qui ne suit pas les tendances», a souligné l’auteur. Dans une note, la marque d’auto-édition indique que « le lecteur va trouver, selon les mots de l’auteur, des situations absurdes et extravagantes, de l’humour noir, du surréalisme avec une touche philosophique et une petite morale réaliste ». Selon son créateur, tout ce qui est présenté dans le livre apparaître comme un fantasme étant donné que « les situations et leurs protagonistes évoluent dans un monde surréaliste et absurde afin de mieux expliquer une réalité cachée à l’intérieur » car « il n’y a pas de meilleure façon de révéler une vérité cachée qu’à travers un humour burlesque, parfois vulgaire et provocateur ». Chaque histoire présente une petite histoire, sérieuse ou humoristique, et chacune d’entre elles porte une morale et un bref message philosophique. Ces récits « trouvent leur origine dans la réalité même, car tout ce qui est écrit a été dit ou imaginé par l’esprit de l’auteur et de son entourage ; ils représentent un moyen de se soulager et un désir de changer une réalité frustrante et indésirable ». Selon Rey Salas, ces petites histoires « sont destinées à être lues librement et avec courage, sans aucun préjugé ou loi établie », car « elles sont écrites pour des personnes franches et avec un grand sens de l’humour ; pour des personnes tolérantes qui croient que toutes les pensées et idées ont leur place dans notre monde, du moment qu’elles sont pacifiques ». « Mon objectif est de déclencher un sourire, et un rire bruyant est le meilleur des cadeaux », a-t-il ajouté. La littérature de José Rey Salas (Malaga, 1959) a démarré depuis son adolescence avec des tentatives de contes et de poésies. Périodiquement, il a écrit des récits inspirés de son quotidien et parfois avec des personnages et des histoires réels, mais « en exagérant et en incorporant systématiquement son côté humoristique ». source : El Día de Córdoba 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente Découvrez le talent flamboyant de Carmen Muñoz avec sa performance saisissante ‘Invocation’ au Centre Pompidou Málaga entrée suivante Explorez le monde rural avec Dos Torres: Découvrez la XXI Muestra de Cine Rural A lire aussi À Cordoue, Cariño bouscule la nuit: 25+ only,... 4 septembre 2025 Medina Azahara au couchant: ma visite théâtralisée la... 4 septembre 2025 Córdoba, vins Montilla‑Moriles et cheesecakes: ma soirée la... 3 septembre 2025 Los Califas, une rentrée électrique à Córdoba: Antoñito... 3 septembre 2025 Córdoba, cines de verano: ma soirée du 3... 3 septembre 2025 Córdoba gourmande, ma Judería secrète: deux adresses et... 2 septembre 2025 Dans Córdoba la nuit, une séance Warren réveille... 2 septembre 2025 Cines de verano de Córdoba: ma soirée idéale... 2 septembre 2025 Córdoba accueille Álvaro Casares: comment vivre son Check... 2 septembre 2025 Córdoba: le charco de Carcabuey, le cocktail rural... 31 août 2025