Culture Margaret Atwood : Peur d’une présidente femme et noire ? par María Fernanda González 7 novembre 2024 0 La résilience face à l’incertitude politique Dans un monde en constante évolution, il est essentiel de garder espoir. La victoire électorale de Donald Trump a suscité de vives réactions. Margaret Atwood, célèbre auteure, a partagé ses réflexions sur cette situation. Elle souligne que la population américaine ne se laissera pas facilement imposer une dictature. En effet, l’histoire montre que les citoyens peuvent choisir de se rebeller contre l’oppression. Atwood rappelle que le changement est possible, même dans les moments les plus sombres. De plus, elle évoque le climat de peur qui a pu influencer le vote. Beaucoup ont voté pour Trump par crainte d’une présidence féminine et racisée. Cette dynamique met en lumière les défis auxquels les femmes et les minorités sont confrontées. Cependant, Atwood reste optimiste quant à la capacité des gens à résister. Elle affirme que la société peut évoluer et que les voix des opprimés peuvent se faire entendre. Ainsi, l’espoir demeure, même dans les temps difficiles. La littérature comme miroir de la société Margaret Atwood, à travers son œuvre, explore des thèmes profonds et universels. Son dernier recueil de nouvelles, "Perdidas en el bosque", aborde des questions de vie et de mort. Les récits mettent en scène des personnages confrontés à la perte et à la mémoire. Atwood, à 84 ans, partage sa sagesse et son expérience. Elle évoque la complexité des relations humaines et les défis de la vieillesse. Les histoires de "Perdidas en el bosque" sont à la fois poignantes et humoristiques. Atwood aborde des sujets tels que la maternité, l’amitié et les luttes féministes. Elle utilise des éléments fantastiques pour illustrer des réalités contemporaines. Par exemple, un récit met en scène un caracol piégé dans le corps d’une femme. Cette métaphore souligne les luttes internes que beaucoup ressentent. La littérature devient ainsi un outil puissant pour réfléchir sur notre société. Vers un avenir incertain mais prometteur Atwood ne croit pas que les États-Unis soient au bord d’une dictature. Cependant, elle évoque un "empire en déclin". Les tensions géopolitiques, notamment en Ukraine, suscitent des inquiétudes. La conversation actuelle se concentre sur l’identité, mais Atwood rappelle l’importance de la classe sociale. Les inégalités économiques persistent et méritent d’être abordées. Elle souligne que les perceptions politiques ont évolué. Les démocrates sont désormais perçus comme représentant les élites. Cette évolution pourrait redéfinir les alliances politiques. Atwood appelle à un retour à des discussions sur la classe sociale. En fin de compte, l’avenir reste incertain, mais la voix de la littérature peut éclairer notre chemin. La résilience et l’engagement des citoyens sont essentiels pour façonner un avenir meilleur. media: Diario Córdoba – Margaret Atwood. / EP source: Diario Córdoba – Margaret Atwood: « Muchos han votado a Trump por miedo a tener una presidenta mujer y además negra » Résilience 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González Megan, a globetrotter with a passion for wine and journalism, has traveled across the world, exploring vineyards and uncovering stories that connect people to their heritage. From the rolling hills of Tuscany to the sun-soaked vineyards of California, she has tasted wines from every corner of the globe, developing a keen palate and a deep appreciation for the art of winemaking. entrée prédédente Accident mortel : un jeune de 24 ans à Puente Genil A lire aussi Alcalá Norte : L’héritage de The Cure et... 7 novembre 2024 Sergey Belyavsky : Dualisme guerre et paix au... 7 novembre 2024 Cinéma24 : Hommage à Manolo Bellido et Marisol... 7 novembre 2024 La Junta rassure : pas d’inquiétude pour la... 7 novembre 2024 Décès de Susana Jiménez Carmona, artiste sonore et... 7 novembre 2024 Ted Chiang : Les milliardaires, un danger pour... 7 novembre 2024 Julio est en automne : hommage à Romero... 7 novembre 2024 Sergey Belyavsky : dualisme guerre et paix au... 7 novembre 2024 Julia Navarro : Le pire ministre de l’Éducation... 7 novembre 2024 Découvrez Lolita Flores en Poncia au Gran Teatro... 7 novembre 2024