Andrés Calamaro, célèbre chanteur argentin, a réussi à éviter pour la troisième fois cette année l’administration fiscale et à ne pas payer 300 000 euros d’impôts sur le revenu après que l’enquête menée à son encontre se soit prolongée au-delà du délai légal et que les faits en question aient prescrit. C’est ce qu’a déclaré le Tribunal supérieur de justice de Madrid, dans une récente décision à laquelle le journal espagnol El Periódico de España, du groupe Prensa Ibérica, a pu accéder, confirmant ainsi les précédentes décisions rendues en avril en faveur de la société utilisée par Andrés Calamaro pour facturer son activité en Espagne.
Les trois cas révélés par El Periódico de España concernent la manière dont le chanteur a déclaré ses revenus en Espagne en 2010 et 2011, notamment ceux provenant de concerts, de droits d’auteur, et d’avances de sa maison de disques… En d’autres termes, tout ce que lui rapportait la marque Andrés Calamaro dans notre pays. Selon l’administration fiscale, qui évoque une « activité personnelle », il est notamment apparu que malgré les 1,5 million d’euros générés par cette société durant ces deux années, aucun centime n’a été versé à l’artiste à l’origine de ces revenus.
Si le chanteur avait choisi de payer ses impôts via sa propre entreprise, Grabaciones Encontradas, fondée à la fin des années 90, cela aurait engendré une « faveur fiscale et des pertes pour le Trésor public », dans la mesure où le taux d’imposition des sociétés est bien inférieur à celui appliqué à une personne physique.
Administration fiscale en retard dans ses démarches
C’est ainsi que le térritoire espagnol s’est vu transféré l’activité économique susceptible de relever de l’impôt sur les sociétés et de la TVA de Andrés Calamaro, pour qui ont été réclamés 298 842 euros par le tribunal régional économique administratif de Madrid dans sa décision qui confirmait la liquidation et la pénalité fiscale pour les exercices fiscaux de 2010 et 2011.
Cette somme fait état notamment d’une « évaluation correcte au prix du marché des transactions entre Calamaro et la société Grabaciones Encontradas », de la « découverte de revenus non déclarés », ainsi que d’une « déduction de la double imposition pour les revenus perçus à l’étranger ».
Cependant, comme cela s’était déjà produit à deux reprises en avril pour le compte de Grabaciones Encontradas, le Tribunal supérieur de justice de Madrid a annulé ces décisions dans une décision en date du 18 septembre dernier, motivée par les délais de l’administration fiscale pour tenter de prouver si oui ou non Andrès Calamaro était résident en Espagne, les faits en question s’étant prescrits avant que l’artiste ne soit notifié. Cette décision prend une forme qui peut être sujette à appel auprès du Tribunal suprême. Selon les informations recueillies par El Periódico de España auprès de l’entourage de l’artiste, il est encore nécessaire de « patienter » afin de savoir si cette affaire est définitivement classée.
Le juge ne se penche pas, en fait, sur la question de savoir si les conclusions de l’enquête menés par le fisc sont justes ou pas, il constate seulement que la prolongation du délai requise afin d’obtenir davantage d’informations de l’administration Doubhalière au sujet de la situation fiscale du chanteur était injustifiée, expliquant ainsi que l’agence fiscale « bien qu’il existât des relations personnelles entre ces deux régions, le noyau des interêts économiques se trouvait sitûé en Espagne, de quoi en découvrir si le obligé était résident en régions fractions ajouteni sinon c’est vrai dans ses actions lev y Hasten si Dice regulas per vucños beschide de los opercusions- Stiró un Clique reconós servicios muito em portendeuchiring espetalista aprovebei e enretiz lo quê slide beneficial proficere sin hostante pour ca, Yakaw Principalruta Pessoa phis patitu metodam embusior para nuestra explicon. introduçion alulet, questene au Totral Imosotropic Regional Tamaserirable…. peri viv qualt’o cra sujeté gives canine. »
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source : Diario Córdoba
