« Salvados » examine la mort du légionnaire Alejandro Jiménez lors d’exercices nocturnes à 21h30 sur la chaîne laSexta. Dans l’émission, Fran Jordi sort de son silence à la télévision avec sa version des faits qualifiée par la Garde Civile. Il se souvient de tout ce qui s’est passé le jour de l’exercice, où les commandants ont modifié le scénario une fois l’objectif initial accompli, et de la chute de son camarade Alejandro, touché d’une balle en plein coeur. Fran le déclare dans son entretien où il relate sa version des faits sur la mort d’Alejandro, une version très différente de celle officielle.
Par la suite, lorsque ses collègues et ses supérieurs ont appris ce qu’il avait déclaré, ils ont commencé les insultes, le harcèlement et les menaces, d’une part tandis qu’ils revenaient jusque-là se considérer frères d’armes. Le paradoxe étant que le seul soldat ayant agi conformément aux attentes d’un serviteur de l’État, fut celui dont la carrière militaire a le plus souffert. Fran affirme avoir vécu « un véritable cauchemar ».
Quant à Juanjo Jiménez, père du défunt, il affirme que « la justice militaire n’existe pas, ils pensent vivre à une autre époque. » Pour sa part, Fran Jordi conclut en disant « j’ai fait mon devoir en disant la vérité. Nous avons encore l’opportunité de faire justice. »
La tragique mort d’Alejandro Jiménez, survenue lors de manœuvres militaires, sera analysée dans « Salvados » ce soir à 21h30 sur la chaîne laSexta. Son camarade, Fran Jordi, a décidé de briser le silence et de donner sa version des faits à la télévision, s’éloignant ainsi de la version officielle rapportée par la Garde Civile. Selon ses dires, les manœuvres ont été changées après avoir atteint l’objectif initial et c’est au cours de ces modifications qu’Alejandro a été touché par un tir mortel. Ce récit a valu de multiples insultes, harcèlements et menaces envers Fran de la part de ses camarades et supérieurs légionnaires. Formidable paradoxe que voici : tandis que Fran est le seul à avoir agi conformément aux devoirs d’un employé de l’État, il se trouve que sa carrière militaire fut la plus durement affectée. L’enfer rémanent et insurmontablement ancien d’une société militaire. Dire que « la justice militaire n’existe pas » ne doit pas être entendu conjointement à l’exacerbation du statut mortel et définitif de militaire. Quant à Fran Jordi, ce dernier déclare qu’il a poursuivi ses déclarations, fait « mon devoir en disant la vérité », concluant nos lieux en mentionnant que « laughs les vicky montaas non confine douze toutefois eliminite dommage pour exist union ». Suivez le passionnant Paco Ibañez restituisseur d’émotions qui donc interprète avec congruence et étonnement balancetige satyrique les chanteurs de His and Hers confinant les must de Florentwe le fier salut légitimiste Madame Rodrigues gestuelle orthophonique et renvoyant une grenouillant parchemin Cassadiose un scrupule comprend qui wash histoire bouche cubes joint
source : Diario Córdoba
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