122 Para evitar spoilers, concentremos el análisis en lo accesible. Y sólo una puntualización más, para dejar clara la distancia respecto a otras películas del estilo: Cuando acecha la maldad, aunque consigue resultados novedosos en un entorno de clichés maleficienteBaVoTu Cuando acecha la maldad : un film d’horreur qui hante nos esprits Puntuación: * * * Director: Demián Rugna Genre : terreur Date de sortie : 19/01/24 L’un des films d’horreur les plus acclamés et discutés de la saison, Cuando acecha la maldad confirme l’Argentin Demián Rugna en tant que cinéaste qui excelle dans l’horreur. Ce n’était pas son premier film, mais c’est son précédent "Aterrados" (2017) qui l’a placé sur la carte des fans du genre pour au moins deux raisons. Tout d’abord, sa capacité à créer un cinéma d’horreur autochtone (et en même temps universel) qui adaptait intelligemment des ressources importées à un environnement, une iconographie et une mythologie propres. Ensuite, sa capacité à encapsuler l’horreur dans des scènes très bien conçues, exécutées avec talent et surtout très inattendues. Rugna sait jouer avec les attentes, jouer avec l’anticipation et maintenir la tension. Et il ose affronter l’inconfort, l’horreur et l’étrangeté. Dans Aterrados, il y avait deux scènes mémorables, et dans celui-ci, au moins deux autres. Dans Cuando acecha la maldad, qui traite des possessions démoniaques dans une région rurale d’Argentine, il y a cette capacité à créer un univers où l’horreur règne en maître de manière plausible. Le film, cependant, souffre d’un léger désajustement au niveau narratif. Le concept, le décor et l’atmosphère fonctionnent bien. Ses meilleures scènes sont perturbantes. Cependant, la mécanique du récit ne suit pas naturellement, trop d’informations sont exposées et expliquées verbalement. De plus, la plupart des moments effrayants reposent sur le même élément. Pour éviter les spoilers, concentrons notre analyse sur ce qui est accessible. Mais une remarque supplémentaire pour marquer la distance par rapport à d’autres films du genre : Cuando acecha la maldad, bien qu’il obtienne des résultats novateurs dans un environnement inquiétant rempli de clichés, manque de la finesse qu’on peut retrouver dans d’autres films d’horreur. Vous pourriez être interessé par Le samedi, Patricia Almarcegui évoquera ‘Les vies que je n’ai pas vécues’ à la Fondation Ory de Cadix 23 février 2024 Cazorla, la toile idéale pour le 3ème Concours de graffiti et d’art urbain 12 mars 2024 Cependant, le film a ses propres mérites. La performance des acteurs est convaincante, en particulier celle de la jeune actrice qui joue le rôle d’une adolescente possédée. Les effets spéciaux sont bien utilisés et ajoutent à l’angoisse. Le réalisateur réussit à créer une atmosphère inquiétante et à maintenir la tension tout au long du film, même si la narration manque de fluidité. En fin de compte, Cuando acecha la maldad est un film d’horreur qui ne laisse pas indifférent. Même s’il a quelques défauts, il réussit à captiver et effrayer les spectateurs. Il s’agit peut-être simplement d’une preuve supplémentaire que Demián Rugna est un maître de l’horreur et que ses films sont à suivre de près. En attendant, préparez-vous à être hanté par la maldad ! 0 FacebookTwitterPinterestThreadsBlueskyEmail María Fernanda González María est notre journaliste voyage basée à Cordoue. En tant que Cordouane et exploratrice du monde, elle possède un talent particulier pour connecter les voyageurs francophones à l'essence de sa ville. Sur Escapade à Cordoue, María partage ses découvertes, ses conseils d'experte locale et ses récits qui donnent vie au patrimoine et à la culture vibrante de Cordoue et de l'Andalousie. Elle explore aussi bien les ruelles historiques de la Judería que les métropoles lointaines, toujours en quête d'histoires qui relient les gens et les lieux. Ses contributions sont une invitation à voir Cordoue à travers les yeux d'une passionnée, offrant des clés pour un voyage enrichissant en Andalousie. entrée prédédente La mode séduit à travers les séries : les nouveaux ‘biopics’ de Balenciaga, Lagerfeld, Dior et Chanel entrée suivante Critique de « La zone d’intérêt » : le paradis en enfer A lire aussi À Cordoue, Cariño bouscule la nuit: 25+ only,... 4 septembre 2025 Medina Azahara au couchant: ma visite théâtralisée la... 4 septembre 2025 Córdoba, vins Montilla‑Moriles et cheesecakes: ma soirée la... 3 septembre 2025 Los Califas, une rentrée électrique à Córdoba: Antoñito... 3 septembre 2025 Córdoba, cines de verano: ma soirée du 3... 3 septembre 2025 Córdoba gourmande, ma Judería secrète: deux adresses et... 2 septembre 2025 Dans Córdoba la nuit, une séance Warren réveille... 2 septembre 2025 Cines de verano de Córdoba: ma soirée idéale... 2 septembre 2025 Córdoba accueille Álvaro Casares: comment vivre son Check... 2 septembre 2025 Córdoba: le charco de Carcabuey, le cocktail rural... 31 août 2025