La tempête Ciarán a compliqué le travail des journalistes qui ont couvert ses ravages en direct. Paula Filgueiras et Guadalupe Sánchez (TVE) ainsi que Carmen Chao (‘La mirada crítica’) ont eu beaucoup de difficultés à fournir un reportage en raison de cette intempérie météorologique, qui a enregistré des rafales de vent allant jusqu’à 160 kilomètres par heure dans certains endroits.
La première à rencontre des problèmes tout au long de cette journée difficile a été Chao, qui a même perdu le son de sa connexion en direct avec ‘La mirada crítica’ depuis la plage de Riazor à A Coruña, mais a quand même réussi à terminer sans trop de difficultés : « Ce n’est pas un jour pour se coiffer ou utiliser un parapluie ici en Galice. »
Filgueiras a rencontré plus de problèmes, alors qu’elle essayait de tenir le parapluie avec lequel elle faisait une connexion en direct avec le Canal 24h de TVE depuis A Coruña. « Je ne sais pas si vous m’entendez et si vous pouvez diffuser cela en direct. Nous vous remercions pour vos efforts pour nous informer sur ce qu’il se passe actuellement dans le nord-est péninsulaire », a déclaré Lluis Guilera.
« Comme vous pouvez le constater, la mer est très agitée. Nous sommes en alerte rouge et nous sommes à l’entrée de la baie. C’est-à-dire que nous ne sommes pas en haute mer, où les vagues peuvent atteindre jusqu’à 9 mètres de hauteur. C’est pourquoi nous avons retenu la flotte de pêche basse », a relaté Filgueiras. « Merci beaucoup, Paula, pour ce direct, et comme je le disais, merci pour les efforts de notre collègue pour nous informer. Trouvez un endroit plus sûr », a répondu Guilera depuis le studio.
Etre reporter n’est pas de tout repos #Ciarán pic.twitter.com/ZhJfpgUaGl— Natalia Álvarez (@Natalia_Who) November 2, 2023
Des problèmes similaires ont également été rencontrés par Guadalupe Sánchez lorsqu’elle a essayé de faire une autre connexion en direct avec le bulletin d’information régional de TVE depuis une plage d’Almeria. La reporter de la chaîne publique a eu du mal à maintenir son micro en raison des rafales de vent : « En fait, il est difficile pour moi de rester debout. »
source : Diario Córdoba
