Loisirs Eric Jiménez : la force créative et rythmique de Los Planetas au centre de la nouvelle saga documentaire du Ayuntamiento de Granada par María Fernanda González 24 octobre 2023 par María Fernanda González 24 octobre 2023 149 Le conseiller municipal de la Culture de la mairie de Grenade, Juan Ramón Ferreira, a présenté mardi un documentaire musical dédié au batteur du groupe granadien Los Planetas et de Lagartija Nick, l’artiste Eric Jiménez, dans le cadre du cycle de films projetés cette semaine à Grenade pour célébrer le Festival des Jeunes Réalisateurs, dont les films seront projetés jusqu’au 29 octobre au Théâtre Isabel la Católica et au Palais Condes de Gabia. Un espace ouvert à l’expérimentation qui poursuit le travail de José Val del Omar, dont l’influence est historiquement liée au festival. Sous le titre La importance de s’appeler Ernesto et la bêtise de s’appeler Eric, le long métrage documentaire consacré à la vie et à l’œuvre de Eric Jiménez, batteur de Los Planetas et Lagartija Nick, sera présenté ce soir au Théâtre Isabel la Católica à 20h30. Le conseiller municipal a exprimé sa satisfaction à l’idée de « soutenir toute activité qui contribue à diffuser la culture et en particulier à approfondir la figure et le parcours musical d’un personnage qui est si lié à Grenade grâce à son travail au sein de deux groupes locaux très connus dans le monde de la musique ». De son côté, le réalisateur du documentaire, César Martínez Herrada, a assuré lors de la présentation, accompagné de Eric Jiménez lui-même, qu’il s’agit d’un « documentaire rempli d’humour », où le film plonge dans le parcours d’un personnage « qui pendant 40 ans a frappé sa batterie comme la vie l’a frappé, de toutes ses forces ». Le réalisateur du documentaire a exposé une synopsis de l’artiste et a affirmé qu’Eric Jiménez est né à Grenade, « la seule ville du monde avec un nom explosif. Il est entré à la Phalange à l’âge de 10 ans parce qu’il voulait jouer du tambour. Ses plus grandes influences musicales ont été la Semaine Sainte. Il s’est marié à 16 ans. Peu après, il a commencé à consommer des drogues. Il aurait dû mourir avant trente ans ». Les histoires en parallèle du Grenadin Ernesto Jiménez Linares et de son alter ego musical Eric, batteur de Lagartija Nick et Los Planetas, Grenade et Enrique Morente défilent avec beaucoup d’humour féroce. Les billets sont en vente sur redentradas.com et à la billetterie du Théâtre Isabel la Católica. Pour sa vingt-neuvième édition, le Festival des Jeunes Réalisateurs a reçu plus de 550 inscriptions dans l’appel à concurrence international, la Compétition Internationale a rassemblé 15 court-métrages et 2 long-métrages. Des courts-métrages de Xacio Baño, Manuel Muñoz Rivas, Nikita Diakur, David Fidalgo ou Florentina González aspirent au Prix Val del Omar pour le meilleur film aux côtés des récents longs-métrages de Bas Devos et Paul B. Preciado, récompensés à la Berlinale. Promue par la Fondation AguaGranada, la Compétition Aguaespejo est une invitation à réfléchir sur la relation de l’image en mouvement avec l’eau et l’environnement. L’eau comme source d’expression artistique et d’expérimentation avec le langage audiovisuel. Six courts-métrages et un long-métrage de sept pays, dont une première en Espagne, sont en lice pour le Prix AguaGranada. La vingt-neuvième édition du Festival des Jeunes Réalisateurs est organisée par la Mairie de Grenade, la Province de Grenade, la Délégation de la Culture et de l’Education et la Fondation AguaGranada. Avec la collaboration de Hammam Al Ándalus, CUPRA Vigilsa, Fondation SGAE, Université de Grenade, La Madraza, Faculté de Communication et de Documentation, Municipe de la Jeunesse, Grenade Ville de Littérature UNESCO, Crew United, ALSA, FILMIN, Festival de Malaga, AAMMA, Alliance Française de Grenade, Mondo Sonoro, Festival de Malaga, Restaurant Botánico, iEvent et Orodeal. source : El Día de Córdoba 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González Maria Gonzalez, originaire de Cordoue, est une ambassadrice passionnée de sa ville natale. Guide touristique, elle partage l'histoire riche de Cordoue et enseigne le flamenco, représentant l'âme de l'Andalousie. Sa maîtrise du français, acquis lors de ses études en France, enrichit l'expérience des visiteurs francophones. Maria incarne l'esprit de Cordoue avec sa connaissance approfondie de l'histoire, ses talents de danseuse de flamenco, et sa capacité à communiquer en français, témoignant de la beauté et de la diversité de cette ville andalouse magnifique. entrée prédédente Découvrez la richesse culturelle de Córdoba lors de la Feria de Industries Culturales et son ouverture vers le marché international entrée suivante La Merveilleuse Odyssée Visuelle de KALEIDOSCOPE : Du Travail de Maître d’Eugenio Recuenco à sa Victoire au Toronto Independent Film Festival of Cift A lire aussi Flamenco et gastronomie : la voie gastronomique de... 15 octobre 2024 Deux marques de mode cordobaises à suivre de... 15 octobre 2024 Découvrez le umami, le cinquième goût, à Córdoba 15 octobre 2024 Flora 2024 : Déconnexion totale à Córdoba 14 octobre 2024 Eva Longoria visite la Mezquita-Catedral de Córdoba 14 octobre 2024 Les quatre villages de Córdoba en lice pour... 13 octobre 2024 4 Expositions incontournables à Córdoba avant fin 2024 13 octobre 2024 Les 10 plats incontournables de la cuisine cordobaise... 12 octobre 2024 Don Juan Tenorio ressuscite au Palais de Viana 12 octobre 2024 Meilleurs plans pour le week-end du 11 au... 11 octobre 2024