Loisirs Enquête de Iker Jiménez : Attaque et témoignages troublants à Ferraz par María Fernanda González 10 novembre 2023 par María Fernanda González 10 novembre 2023 116 Iker Jiménez, présentateur espagnol bien connu pour ses émissions de télévision et de radio dédiées aux mystères et à l’actualité, a récemment été au cœur de l’actualité pour un tout autre sujet. La nuit du mardi 18 février, il a couvert les manifestations contre le parti socialiste espagnol, qui ont eu lieu à Madrid. Mais au-delà de son rôle de journaliste, Jiménez et son équipe ont été victimes d’attaques violentes de la part des radicaux présents dans les rues. Retour sur cette nuit mouvementée et les révélations choquantes faites par le présentateur. Une nuit agitée La nuit du mardi 18 février, Iker Jiménez a décidé de se rendre sur les lieux des manifestations pour couvrir la situation en direct pour son émission « La estirpe de los libres », diffusée sur Youtube. Loin de se douter de ce qui allait se passer, le présentateur et son équipe ont été pris pour cible par certains manifestants violents. Alfredo Perdiguero, subinspector de police et porte-parole d’ASP (Alliance de la Police Nationale), a été le témoin et la victime de ces attaques. Les révélations choquantes d’Alfredo Perdiguero Invité à s’exprimer lors de l’émission « Horizonte » sur la chaîne espagnole Cuatro, Alfredo Perdiguero a raconté les agressions qu’il a subies avec l’équipe d’Iker Jiménez. Le subinspecteur de police a déclaré qu’ils ont été pris pour cible par les manifestants violents, qui ont délibérément lancé des bombes lacrymogènes sur eux en affirmant « Un enfoiré nous a craché dessus ». Cette révélation a été confirmée par Jiménez, qui a été également victime de ces attaques. Une cible à abattre Selon Alfredo Perdiguero, les manifestants étaient particulièrement agressifs envers eux et semblaient les avoir identifiés préalablement. « Je t’ai dit qu’il y avait des groupes de six à huit personnes. L’un d’eux m’a dit bonjour, un autre m’a dit qu’ils me surveillaient. Je me suis retourné et je leur ai dit que je ne travaillais pas, que je ne voulais pas de problèmes » a-t-il déclaré. Jiménez a également confirmé ces faits troublants en ajoutant que certains groupes l’avaient également reconnu et c’est pour cette raison qu’ils ont été ciblés. Un témoin direct de la situation « Pendant toute la nuit, nous étions là, avec une visibilité totale pour tout le monde, et les autres journalistes ne semblaient pas nous remarquer » a raconté Perdiguero. Jiménez, qui avait choisi de se placer parmi les manifestants plutôt que parmi les journalistes, a également donné des détails sur les scènes qu’il a pu observer. « J’ai pu monter sur une structure où nous avons pu capturer ces images. Nous étions au cœur du conflit, nous avons vu beaucoup de choses » a-t-il expliqué. Une distinction à faire entre pacifisme et violence Mais au-delà de ces agressions, Jiménez a tenu à préciser qu’il y avait deux types de manifestants présents dans les rues de Madrid cette nuit-là : les pacifiques et les violents. « Il y a ceux qui manifestent pacifiquement, avec beaucoup de colère et de désarroi, mais pacifiquement. Et il y a les autres qui sont comme un bélier lancé contre les forces de l’ordre » a-t-il souligné. Une nuance importante à faire pour comprendre le climat de tensions qui règne dans les manifestations actuelles. En conclusion, cette nuit de manifestations à Madrid a été marquée par des agressions violentes envers Iker Jiménez et son équipe, victimes de leur rôle de journalistes. Des révélations choquantes ont été faites sur l’identification préalable des journalistes par certains groupes violents présents dans les manifestations. Une histoire qui rappelle la nécessité de protéger les journalistes et leur travail, même en période de conflit. 0 FacebookTwitterPinterestEmail María Fernanda González Maria Gonzalez, originaire de Cordoue, est une ambassadrice passionnée de sa ville natale. Guide touristique, elle partage l'histoire riche de Cordoue et enseigne le flamenco, représentant l'âme de l'Andalousie. Sa maîtrise du français, acquis lors de ses études en France, enrichit l'expérience des visiteurs francophones. Maria incarne l'esprit de Cordoue avec sa connaissance approfondie de l'histoire, ses talents de danseuse de flamenco, et sa capacité à communiquer en français, témoignant de la beauté et de la diversité de cette ville andalouse magnifique. entrée prédédente Le délicieux Pain de Mer du Parc Naturel de Cabo de Gata : concocté par des étudiantes de l’UAL entrée suivante Harmonies d’automne dans les églises fernandines : Découvrez les concerts de la Orquesta y Coro de la Catedral A lire aussi Meilleure taberna à Córdoba pour déguster des garbanzos... 2 octobre 2024 Fête de la Virgen del Rosario à Almodóvar... 2 octobre 2024 Matilde Cano révèle les couleurs automnales des invitées... 2 octobre 2024 Concert de folk cordobais au Castillo de Belalcázar 2 octobre 2024 500 Vespas à Lucena et Rute ce week-end... 2 octobre 2024 Lago des Cygnes : classique du ballet à... 2 octobre 2024 Alberto Chicote savoure le salmorejo et la presa... 2 octobre 2024 Visitez le Monastère de San Jerónimo de Valparaíso... 2 octobre 2024 Oh! 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