##Un difficile passé familial et une séparation tumultueuse
Carlo Costanzia a été l’une des vedettes de "De Viernes" la semaine dernière. L’acteur a parlé de son enfance difficile et de la séparation médiatique et difficile que ses parents ont vécue. Une semaine plus tard, le fils du mannequin s’est assis en plateau pour répondre aux questions des chroniqueurs et aux durs mots de sa mère.
"Carlo est une bonne personne, mais il est mal influencé et il fait encore des erreurs. Je demande que Dieu le bénisse, mais on ne peut pas lui permettre de faire plus d’erreurs", avait déclaré sa mère après l’interview de l’acteur dans l’émission "De Viernes".
"Comment des parents peuvent-ils réagir lorsque s’ouvre un litige qui a duré des années, l’un des plus médiatisés d’Espagne, où l’on a l’impression que je viens parler mal d’eux ? Ils étaient très surpris, ils ont dit ‘comment est-il possible que mon fils aille là-bas pour faire quelque chose qu’il n’a jamais fait auparavant ?’, critique-t-il à propos des médias qui ont traité son interview de la semaine dernière.
"Mes influences sont mes influences", insiste-t-il, "mais si elle a dit cela, c’est son point de vue. Partir avec mon père a été une décision personnelle bien prise. Et quand elle dit qu’il m’a libéré de passer neuf ans en prison… bon, ma mère m’a aidé financièrement, mais c’est mon père qui m’a le plus aidé dans ce processus, Javier Merino aussi". Bien qu’il précise qu’il doute que sa mère ait dit cela et remet également en question le témoignage d’Aurelio Manzano, qui l’a raconté dans "Fiesta".
Enfin, Bea Archidona lui a demandé s’il avait demandé pardon à sa mère. "Pourquoi devrais-je le faire ? Ai-je dit quelque chose de mal à son sujet ? Tout cela n’a pas été de ma faute, c’est la faute, entre autres choses, de toutes les émissions et de toutes les mauvaises interprétations qui ont été faites, des coupures d’une interview telle qu’elles ont été voulues. Je lui ai dit ‘ne t’en fais pas pour toutes les choses dont on parle, car je vais venir les expliquer ici en première personne’", conclut-il.
