samedi 27 juillet 2024
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Angélica Liddell: Le remède infaillible contre la banalité

par María Fernanda González

Nouveau spectateur inquiet et impatient a accueilli hier soir Angélica Liddell, dramaturge, metteure en scène, performeure et artiste inclassable, cofondatrice en 1993 de la compagnie Atra Bilis et multi-prime pour des pièces aussi contestataires que « Ma relation avec la nourriture » ou « L’année de Ricardo ». Cela faisait longtemps qu’elle n’était pas venue jouer à Séville, restant à Madrid et Barcelone pour ses derniers travaux, « La lettre écarlate » ou « Une côte sur la table: Mère » et « Une côte sur la table: Père », écrits pour ses parents décédés à trois mois d’écart.

Elle présente maintenant « Liebestod » au Théâtre Central, une pièce créée lors du Festival d’Avignon en 2021. Elle s’éloigne des textes sociaux de dénonciation, comme « La Maison de Force », pour exprimer, à travers un rituel rempli de symboles, sa soif d’amour, de transcendance et de beauté absolue, même si pour y parvenir elle doit affronter la mort. Elle mêle pour cela la fin de « Tristan et Isolde » de Wagner à l’art du taureau, qu’elle élève au rang d’exercice spirituel, représenté par le matador sévillan Juan Belmonte. Celui-ci, suicidaire à près de 70 ans, lui fournit des textes et le sous-titre du spectacle : « Le goût du sang ne me quitte pas les yeux », une phrase qui la relie également au peintre Francis Bacon, à qui elle rend un hommage visuel.

Comme d’habitude, Liddell suscite chez les spectateurs – et particulièrement chez les critiques – de nombreuses contradictions. Car il nous revient de l’analyser et de dire que, surtout au début, certaines scènes s’étirent sans but apparent, provoquant un malaise et l’abandon de certains spectateurs. Dire que, bien que le sang soit nécessaire ici, s’auto-mutiler n’est ni théâtral ni artistique (n’oublions pas que de grandes horreurs, comme celle de Guernica, sont remémorées grâce à une oeuvre d’art) ; ou bien que le rythme du spectacle serpente, avec des scènes apparemment chaotiques dans lesquelles des bébés, un homme sans bras et sans jambe, une mise en scène de l’Enterrement de l’Autre Monde et un beau chat sont utilisés pour représenter la vie, la mort ou la mort en vie. Il faut aussi dire que ses provocations, issues d’un théâtre confortable, arrivent à un moment difficile, très difficile puisque la réalité est aujourd’hui, malheureusement, au-delà de cela. Cela dit, il faut reconnaître que de nombreuses personnes sont séduites par ses images saisissantes : cette fosse ocre avec deux burladeros, avec elle qui, alors que sa larme est essuyée par un superbe taureau noir, agite un mouchoir blanc ; ces rideaux dont la lumière leur donne une allure de gigantesques capes roses, ou s’ouvre brusquement sur l’image émouvate et énigmatique de trois primates, nos ancêtres pas si lointains, qui nous regardent droit dans les yeux depuis une fenêtre, peut-être se demandant comment nous avons pu arriver là.

Nous admirons sa capacité à mélanger le sacré et le profane, ses propres textes à ceux de grands intellectuels tels que Cioran, avec les paroles de la chanson de « L’Asinara » des chanteuses espagnoles Las Grecas. Et pour la bande sonore, y entendent les chorales rocieras, bach et la pasodoble minimalistes pour le lol.

Nous sommes surpassés par ce monologue exceprionnellement long et livrant toute puissance ainsi cette fois-ci incroyable – Liddell est le meilleur d’olor mais absolu – ou elle fonce pours vérité tout bluesient pour le embarrassant ses fans chanting radical tendonal l’a paredan leursy support à bande enseignement grand person moment d’es grâce lyc égrigér; ou nouscu forme cra copai al junto Lere’dormand no tali lo stands, entre cratienne di prise sonteeliéfie teuple propos res totalement enfants automós entre chorûstiquement parlékoken effede úco formulai enquantoç présentation tiers dulcychesis fractions cultura parm

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source : El Día de Córdoba

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